Archive for the ‘Décryptage des codes Juifs’ Category

Les propagandistes juifs: l’homosexuel Ted Anspach en petite forme

Vous vous souvenez, nous avions présenté sur ce blog le documentaire “impartial” et “objectif” du juif homosexuel Ted Anspach sur les “Effroyables imposteurs” que sont censés être en somme tous ceux qui ne sont pas représentés au dîner annuel du CRIJF.

Notre propos a été utilisé par nos amis juifs aux fins de servir de rappel avant la diffusion du dit documentaire. Il est vrai que “l’extrémisme de droite antisémite” est un classique de la rhétorique juive. On a convié Libération-Rothschild, pas moins, à assurer ce petit coup de publicité gratuit aux fins de tonner contre le front antisioniste. On remercie tous les réseaux sionistes de ce coup de publicité gratuit.

Voici l’article:

“Le documentaire «Les effroyables imposteurs» a suscité des réactions véhémentes avant même sa diffusion mardi soir sur Arte. Son réalisateur Ted Anspach a subi des tentatives d’intimidation. Entretien.

Qu’avez-vous voulu montrer en tournant votre documentaire “Les effroyables imposteurs” diffusé mardi soir sur Arte?

J’ai filmé pendant un an des théoristes du complot du 11 septembre, des anti-vaccins, des activistes aux tendances islamistes. L’idée pour moi était de comprendre la mécanique de la rumeur et des théories du complot, je voulais voir comment cela envahit la toile et infiltre les réseaux de communication, et parfois le contenu des médias.

Vous avez eu des problèmes avant même la diffusion de votre documentaire. Lesquels?

Il y a eu un buzz sur le Net et un déferlement de choses véhémentes. Dès lors qu’on dénonce le mécanisme du complot… Des complotistes d’extrême droite ont balancé un article annonçant le documentaire sur le blog de BorisLe Lay qui titrait “l’objectivité irréprochable du juif homoxesuel”. Ils ont balancé mon numéro de téléphone et mon adresse mail à la fin de l’article: ça été très violent. On a reçu des appels à des heures pas possibles.

Que répondez-vous à ceux qui vous accusent, comme Benoît Raphaël de la rédaction du Post, de proposer un documentaire présentant un discours sur le “web-poubelle-de-l’info” ?

C’est de la mauvaise foi absolue. Je ne suis pas anti Internet. Je défends l’avenir du participatif mais cela doit être encadré par des journalistes. C’est l’exemple du journal allemand Spiegel en ligne, l’information fournie par les particuliers est vérifiée par 100 journalistes. C’est différent du journalisme citoyen où l’on trouve de tout et n’importe quoi. Au Post.fr ils sont seulement 10 pour faire ce travail de vérification. Ils ont fait des beaux coups en mettant en avant des erreurs de France 2 mais la théorie du complot y circule aussi de façon farfelue.”

À notre avis, le juif Ted Anspach exagère quelque peu. Comme de nombreux juifs, il invente même des persécutions “téléphoniques”. En effet, nous n’avons pas livré les “coordonnées” de l’intéressé, mais seulement copié un de ses mails adressés à un site homosexuel dans lequel il donnait lui même ces informations. Nous n’y pouvons, en l’espèce, pas grand chose ! On le voit, il s’agit là d’un détail “omis” pour l’occasion. Avouons aussi que donner ses coordonnées sur des sites homosexuels ne donne pas l’image du sérieux requis lorsque l’on veut faire s’effondrer ses ennemis par l’efficacité de sa stature d’investigateur…

Comme il pratique d’ailleurs l’inversion accusatoire en retournant contre des “complotistes” de prétendus desseins alors que nous savons, preuve à l’appui, que le seul et unique projet en oeuvre en 2010 est bien le projet impérial judéo-atlantiste dont Ted Anspach est précisément une cheville ouvrière dans la catégorie “contre-propagande”. C’est pourquoi nous affirmions dans notre article:

“Le juif Ted Anspach s’apprête à fournir pour Arté, la chaîne supervisée par les juifs néo-conservateurs Taubmann et Henri Levy, un documentaire “choc” sur les “effroyables imposteurs”. Le titre explique à lui seul qui sont les cibles de cette attaque en règle: Meyssan et plus largement ceux qui doutent un peu trop des affirmations de la propagande judéo-occidentale.”

http://www.le-projet-juif.info/?p=3493&cpage=1

Ted Anspach joue naturellement les victimes, c’est chez les juifs une tactique de guerre des plus classiques. Elle fonctionne en général sur un public goy abruti. Chez les lecteurs avisés et formés à bonne école, cette rhétorique de la complainte victimaire fait largement un flop. C’est entre autre pourquoi, avec d’autre, nous informons au quotidien des réelles activités juives dans tous les domaines. Il suffit d’ailleurs de lire nos nombreuses archives (sauvegardées au reste par plusieurs collaborateurs), pour se convaincre de cela.

Anspach est un sous traitant juif oeuvrant pour les néo-conservateurs juifs que sont, entre autres, Bernard Henri Lév, Glucksmann père et fils, Pascal Bruckner, Romain Goupil, etc. Une partie de ces derniers étant au surplus superviseurs de la chaîne sioniste “Arté” dont Taubmann, juif radical soutenant entre autre le fils du Shah d’Iran dans son désir de restaurer une dictature monarchiste sur ce pays qui résiste vigoureusement aux menées juives.

Ajoutons au surplus que nous n’avons pas inventé les obsessions sexuelles de Ted Anspach, si répandues dans la communauté. Cela étaye notre propos selon lequel le judaïsme est une prison mentale constituée de plusieurs névroses et dont le pilier est l’inceste communautaire d’après les travaux très documenté de Hervé Ryssen, notamment dans “Psychanalyse du Judaïsme“. De nombreux faits ont d’ailleurs témoigné de cette réalité et l’on citera à titre d’exemple l’existence d’une association américaine de lutte contre l’inceste dans les communautés juives, animée par des juifs eux mêmes.

Ted est donc l’image caricatural du juif actuel. Comme beaucoup de juifs, des bouffées de mythomanie lui font imaginer des “persécutions” devant attester pour les goyim ahuris du sérieux de son propos. Cependant, pour nos lecteurs, un rapide coup d’oeil sur le réseau auquel appartient Ted, en plus de ses penchants sexuels, permet de conclure à un nouveau cas de détresse individuelle au sein de la communauté juive. Il y a certainement là dessous quelque traumatisme familial non traité. Il est de notre avis que plutôt que de pousser le monde à la guerre contre l’Iran et le monde islamique, un bon traitement psychiatrique de choc et une installation à la campagne seront de bien meilleurs moyens de trouver, enfin, la paix avec soi-même. Et naturellement de s’intégrer dans une communauté villageoise catholique, de travailler son potager et de cesser les relations homosexuelles qui ne font que faire revivre de tristes épisodes du passé.

Allez Ted, on t’aime bien va ! Après tout, c’est pas de ta faute…

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Il est des nôtreuh !

Oui, Philippe Seguin mérite tous ces formidables hommages que les hommes politiques de tous bords viennent de lui rendre. Et c’est vrai, il occupait une place qui faisait de lui un grand homme d’Etat. J’ai connu un autre Philippe Seguin. Plus intime, plus chaleureux, plus proche des « tunes », ces juifs tunisiens qui forment à Paris, le « clan des tunes ». Né à Tunis le 21 avril 1943, Philippe Seguin y est resté jusqu’en 1956. Comme Claude Bartelone, Bertrand Delanöé, Pierre Lellouche, Michel Boujenah, Serge Moati, Philippe Seguin n’a jamais renié ses origines tunisiennes. Au contraire, il y était non seulement très attaché mais aussi « pratiquant ». C’est-à-dire qu’il ne manquait jamais de manger toute la cuisine tunisienne qu’il connaissait par cœur. Il adorait le « nikkitouche », le couscous au poisson, les bricks, la « Bkaïla ». A Paris, il se régalait à la Boule Rouge, un restaurant tune, excellent, du 9e arrondissement de Paris. Raymond Haddad, le patron médiatique et toujours accueillant, a tapissé les murs de son restaurant de ses photos qui côtoient celles de Nicolas Sarkozy, François Fillon, Rachida Dati et tant d’autres qui sont passés par la Boule Rouge. «C’est la couscous qui me fait grossir » me disait-il en riant quand je lui signalais son embonpoint un peu trop visible. « La Boule Rouge, c’est ma cantine, je ne peux pas m’en passer ! » ajoutait-il avec une moue un peu fataliste. Il aimait aussi « passer du temps » au Ken Club de Mireille Benzaquen, à Paris, un club privé de remise en forme haut de gamme de 1600 m2 d’installations sportives avec une piscine majestueuse, sur les bords de la Seine, entre le Trocadéro et la Maison de la radio.


La Tunisie était sa seconde patrie. Il passait toujours ses vacances à l’hôtel « Le Résidence » souvent seul, mais toujours entouré d’amis tunes. Il retrouvait toujours les producteur Norbert Saada ou Tarak Ben Ammar. Il y a deux ans, nous avons passé une superbe soirée chez Serge Moati
, à Marsa-Cube. Il y a avait là entre autres, Jacky Moati, une figure « tune », animateur des nuits tunisiennes, et sa femme Monette qui tient, à Paris, le plus beau magasin de lingerie féminine, rue des Saint-Père, «
Sabbia Rosa ». « On en compte pas les sorties en bateau que nous avons faites ensemble se souvient Monette Moati. On jouait aux cartes, on discutait, et puis on prenait un énorme apéritif. Philippe Seguin en raffolait ! » Et puis tout ce beau monde allait se reposer, à Sidi-Bou-Saïd, dans la belle maison des Moati. Dans ce même Sidi-Bou ou se trouve « le café des délices » que chante Patrick Bruel. «Quand j’écoute cette chanson, j’ai les larmes aux yeux » m’a confié Philippe Seguin, ce soir-là. Philippe Seguin était très solidaire. Il souffrait de n’avoir pas connu son père. C’était son chagrin secret. Et c’est sans doute ce qui lui donnait cet air sombre où il se retranchait quand il y pensait. Il était un peu le petit Prince de Saint-Exupéry. Il mettait du temps avant de donner son amitié, et de faire confiance aux gens. « L’amitié c’est comme le bon vin disait-il, il faut attendre qu’elle se décante ». Et quand elle s’était décantée, alors là, il se lâchait. Il riait, il plaisantait, il ironisait sur les choses de la vie, avec beaucoup d’humour. Il avait sa cour. Beaucoup de jolies tunes. C’était un beau séducteur. Avec son regard noir et sa barbe poivre et sel. Et les tunes l’aimaient bien. Serge Moati qui le considérait « comme son frère » était sans doute son ami tune le plus proche. Même à la Cour des Comptes, Philippe Seguin comptait un ami « tune », Daniel Houri, conseiller maître à cette même Cour !


«
L’enfant de Tunisie » comme l’a appelé Frédéric Mitterrand, était sans doute le plus tunisien des Français. Emu par son amour de la Tunisie, le Président Ben Ali qui vient de lui rendre un vibrant hommage, avait même voulu lui offrir l’appartement de l’Avenue de Londres, à Tunis, ou il est né, et ou il passa toute son enfance jusqu’en 1956. Mais Philippe Seguin a préféré le léguer à une association. Il a fait toute sa scolarité au lycée Carnot de Tunis. « C’est au Lycée Carnot que j’ai appris la tolérance » disait-il souvent. Reconnaissant, il a été Président de l’Association des Anciens et Amis du lycée Carnot de Tunis. Comme il a été Président de l’Association des Juifs de Tunisie en France.


Serge Moati a raison : Philippe Seguin aurait fait «
un formidable Président de la République». Et France 2 a bien fait de diffuser à la place de « la mort du juge d’instruction : pour quelle justice » le portrait de Philippe Seguin réalisé par Serge Moati et déjà diffusé sur France 3, le 16 novembre 1996 !


Alain Chouffan

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Claude Sarraute: “On a vendu notre Shoah partout, on est couvert d’argent”

Un petit bijou de parler vrai:

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Les Juifs contre l’Islam et le Nazisme

Ce soir à 20h45, la chaîne ARTE diffusera un reportage inédit : La croix gammée et le turban – La tentation nazie du Grand mufti. Un titre qui fait super peuuur ! Réalisation : Heinrich Billstein. Un documentaire probablement très objectif, comme ARTE sait nous en proposer …

Arté est supervisée par les Juifs néo-conservateurs Taubmann (directeur de la campagne anti-Iran en France) et Henri Lévy.

Cependant ne pleurons pas: cette collaboration entre le monde musulman et l’Europe Nouvelle est une des plus belles pages de gloire des deux civilisations concernées !

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Jean Jacques Goldman, l’immigration et Israël

Dans cette chanson de 1987, le chanteur Juif Jean Jacques Goldman nous parle de ce qui pousse les gens à immigrer vers l’occident. Une vision très romancée qui permet d’humaniser l’immigration et in fine de la légitimer. Mais les Juifs sont rusés ! La chanson est réversible: il s’agit ni plus ni moins qu’une ôde à l’Alyah en Israël.

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