Dans le Coran, Dieu interdit aux croyants d'offrir des prières pour les dénégateurs ou les idolâtres, qu'ils soient morts ou vivants :

Il ne convient pas au prophète et aux croyants d'implorer le pardon pour les associateurs, fussent-ils des proches, après qu'il leur soit apparu clairement que ce sont les compagnons de la Fournaise.
Coran, 9:113

S'ils meurent en tant que dénégateurs ou idolâtres, rien ne peut changer leur destin, pas même des prières :

Celui contre qui se réalise la parole du châtiment : est-ce que tu sauves celui qui est dans le Feu ?
Coran, 39:19

La vérité est connue de tous les lecteurs du Coran et n'est pas sujet aux disputes. Le but de cet article est de chercher la légalité et les bénéfices (s'il y en a) à offrir des prières aux croyants. Pour cela, nous devons d'abord distinguer deux types de prières :

1. Les prières pour les croyants qui sont toujours vivants.

2. Les prières pour les croyants qui sont morts.



1. Les prières pour les croyants qui sont toujours vivants.

Quand nous prions pour un parent, un proche ou un ami vivant, nous implorons en général Dieu de les guérir d'une maladie, de les aider dans l'adversité, etc... Ce type de prière implore la miséricorde de Dieu sur eux alors qu'ils sont vivants. Ceci est encouragé dans le Coran, et est entendu par Dieu :

Et par miséricorde, abaisse pour eux l'aile de l'humilité, et dis : "Mon Seigneur, fais-leur miséricorde de même qu'ils m'ont élevé tout petit".
Coran, 17:24

Certains ont interprété ce verset de telle manière à autoriser les prières pour nos bien-aimés qu'ils soient vivants ou morts, mais si on examine ce verset, et le verset précédent, on trouve une bonne indication que Dieu nous invite à prier pour nos parents de leur vivant. Lisons le verset 23 :

Ton Seigneur a décrété : n'adorez que Lui seul, et soyez bons envers vos parents. Si l'un d'eux ou tous deux atteignent la vieillesse auprès de toi, alors ne leur dis pas : "Fi !", ne les repousse pas, et adresse-leur des paroles généreuses.
Coran, 17:23

Les mots "adresse-leur des paroles respectueuses" ne peuvent s'appliquer que lorsqu'ils sont vivants, on ne parle pas à des morts ! Une fois décédés, ils seront jugés selon leurs œuvres sur terre et selon la Miséricorde de Dieu, nous ne pouvons rien faire pour changer cela.

Nous lisons également que les anges offrent des prières pour ceux (vivants) sur terre :

Peu s'en faut que les cieux ne se fendent au-dessus d'eux quand les anges glorifient leur Seigneur par la louange et demandent pardon pour ceux qui sont sur terre. Dieu est le Pardonneur, le Miséricordieux.
Coran, 42:5

Les mots "ceux qui sont sur terre" sont ici évident.

On doit souligner ici que les prières pour les croyants vivants sont encouragées par Dieu pour un certain nombre de raisons :

1. Les prières pour les croyants vivants ne sont pas liées au jugement qu'ils recevront de Dieu le Jour du Jugement. Ce jugement est exclusivement réservé au Tout-Puissant et on nous apprend dans le Coran qu'il est principalement basé sur les œuvres et les actions de chacun sur terre. Par conséquent, puisque nous n'implorons pas Dieu pour altérer ou changer le jugement qu'ils recevront le Jour du Jugement, ce type de prière ne peut pas être classée comme une forme d'intercession.

2. Les prières pour les croyants vivants (qui ne sont donc pas des intercessions), et l'imploration de Dieu en général, sont une expression sincère de notre adoration de Dieu. Implorer Dieu équivaut à faire confiance et à accepter Son autorité absolue pour répondre à nos prières. C'est aussi une acceptation que Dieu seul possède l'autorité absolue pour guérir et soulager les difficultés pour lesquelles nous prions. Le lien entre l'imploration de Dieu et son adoration est rendu évident dans les mots coraniques suivants :

Votre Seigneur dit : "Invoquez-Moi, Je vous répondrai. Ceux qui sont trop orgueilleux pour M'adorer entreront en Enfer, humiliés".
Coran, 40:60

Les mots "invoquez-Moi" et "M'adorer" dans ce verset confirment que l'imploration est en réalité une expression essentielle de l'adoration (lire: Adorer Dieu).

Quand mes serviteurs t'interrogent sur Moi : Je suis proche. Je réponds à l'appel de l'appelant quand il M'appelle. Donc, qu'ils Me répondent et qu'ils croient en Moi, afin qu'ils soient guidés.
Coran, 2:186



2. Les prières pour les croyants décédés

Qu'en est-il maintenant des prières offertes aux croyants qui sont morts ? Sommes-nous autorisés à prier pour eux ? Est-ce que nos prières feront une différence dans leur jugement le Jour du Jugement ? Le but ici est d'analyser cette affirmation et d'essayer d'établir s'il y a un quelconque avantage à offrir des prières pour les croyants après leur mort.



La prière pour les morts est une forme d'intercession

Comme mentionné précédemment, quand nous prions pour un proche ou un ami (croyants) qui sont en vie, nous implorons généralement Dieu de les guérir d'une maladie ou de les assister dans l'adversité, etc... Ce type de prière implore la Miséricorde Divine sur eux quand ils sont en vie. Nous avons vu comment cette prière est encouragée dans le Coran et est entendue par Dieu.

La prière pour un être cher, dont nous pensons qu'il est mort en croyant, est catégoriquement différente, car dans ce cas nous n'implorons pas Dieu pour les guérir ou pour les aider, mais nous implorons Dieu pour changer le jugement qu'Il décrète pour une personne le Jour du Jugement et pour que ses péchés soient pardonnés. Toute imploration pour demander à Dieu de changer ou d'améliorer le jugement qu'Il décrète est définie comme une tentative d'intercession pour eux. Ce que cela signifie en réalité est que nous intercédons auprès de Dieu pour leur délivrer un jugement plus favorable ! Au final, cela amène la question suivante : comment Dieu peut-Il être imploré pour exercer plus de miséricorde quand Il est le Plus Miséricordieux et qu'Il a décrété que la Miséricorde est un de Ses attributs ?

Dis : "À qui appartient ce qui est dans les cieux et la terre ?". Dis : "À Dieu !". Il S'est prescrit à Lui-même la miséricorde....
Coran, 6:12

De plus, le concept de l'intercession est catégoriquement refusé dans le Coran :

Ô vous qui avez cru, dépensez de ce que Nous vous avons attribué, avant que vienne un jour où il n'y aura ni commerce, ni amitié, ni intercession. Les dénégateurs sont les injustes.
Coran, 2:254

Le Jour du Jugement toute intercession est inutile à moins qu'elle ne coïncide avec la Volonté de Dieu :

L'intercession auprès de Lui est inutile, excepté pour celui qu'Il autorise. Une fois la frayeur ôtée de leur cœur, ils diront : "Qu'a dit votre Seigneur ?". Ils diront : "La vérité. C'est Lui le Très Haut, le Grand".
Coran, 34:23

Tu n'as aucune part dans la décision, qu'Il accepte leur repentir ou qu'Il les châtie, car ils sont injustes.
Coran, 3:128

De plus, de nombreux versets dans le Coran montrent clairement que le Jour du Jugement, et selon la Justice Absolue de Dieu, aucune personne ne pourra être créditée d'autre chose que de ses propres œuvres, et qu'aucune âme ne pourra porter le fardeau d'une autre :

Dis : "Chercherais-je un autre Seigneur que Dieu, alors qu'Il est le Seigneur de toute chose ? Chacun n'acquiert que ce qui lui revient, et personne ne porte le fardeau d'un autre. Puis, vers votre Seigneur est votre retour, et Il vous informera de ce en quoi vous divergiez".
Coran, 6:164

et que l'Homme n'obtient que le fruit de ses efforts,
Coran, 53:39

Ce que cela signifie est qu'au Jour du Jugement aucune âme ne profitera d'autre chose que ce dont elle a accompli personnellement, toutes nos prières pour quelqu'un d'autre n'altèreront pas son jugement. Cela signifie également que de nombreuses pratiques faites par beaucoup de Musulmans aujourd'hui pour leurs parents morts sont totalement inutiles. Il est totalement inutile d'accomplir le Hajj au nom d'un parent décédé, il ne gagnera pas le crédit de l'avoir accompli puisque ce n'est pas lui qui l'a fait. La même chose s'applique pour le jeûne ou la zakât fait au nom d'une personne décédée. Tout cela est totalement inutile. Ils ne profiteront pas de ce que nous faisons en leur nom, leurs œuvres n'en seront pas créditées. La Salât, le Hajj, le jeûne et la Zakât sont tous des actes d'adoration et Dieu n'accepte pas de nous que nous agissions comme des représentants accomplissant des actes d'adoration au nom d'autres personnes !



Sourate 82

Encore une fois, qu'est-ce qui t'apprendra ce qu'est le Jour de la Religion ?
Un jour où aucune âme ne pourra rien pour une autre âme. En ce jour, le commandement est à Dieu.
Coran, 82:18-19

Au moment où l'être humain meurt, son livre (enregistrant ses œuvres) est scellé et rien ne peut le changer d'une manière ou d'une autre. Malheureusement de nombreux Musulmans rejettent ces vérités coraniques et préfèrent croire en des hadiths corrompus qui recommandent ce qui est contraire aux enseignements coraniques !



La Miséricorde infinie de Dieu

Quand on analyse encore plus en profondeur ce sujet, on s'aperçoit que prier pour quelqu'un de décédé, même si c'était un bon croyant sincère, est indirectement un rejet de la vérité coranique. Examinons les versets suivants :

Dis : "Ô Mes serviteurs qui avez commis des excès envers vous-mêmes, ne désespérez pas de la miséricorde de Dieu, car Dieu pardonne tous les péchés. C'est Lui le Pardonneur, le Miséricordieux".
Coran, 39:53

Dieu ne pardonne pas qu'on Lui associe quoi que ce soit, mais à part cela Il pardonne à qui Il veut. Quiconque donne un associé à Dieu a forgé un immense péché.
Coran, 4:48

En vertu de ces deux versets et d'autres versets coraniques, nous avons un aperçu de la Miséricorde Infinie de Dieu. Dieu peut pardonner tous les péchés des croyants tant qu'ils évitent l’idolâtrie. Si nous prions encore Dieu pour qu'Il pardonne les péchés des croyants morts, ne sommes-nous pas coupables de remettre en question la promesse de Dieu en 39:53 ?



Commentaires sur des versets apparentés

La signification de 14:41

Certains citent le verset 14:41 pour indiquer que nous sommes invités dans le Coran à prier pour nos parents et à implorer Dieu d'avoir pitié d'eux le Jour du Jugement. Lisons donc ce verset :

Ô notre Seigneur, pardonne-moi, ainsi qu'à mes parents et aux croyants, le jour où se tiendront les comptes".
Coran, 14:41

Immédiatement, nous notons une différence très importante entre 17:24 et 14:41. En 17:24, la prière pour les parents (de leur vivant) nous est donné par Dieu. Alors qu'en 14:41, la prière que nous lisons n'est pas donnée par Dieu, c'est une prière prononcée par Abraham.

Certains diront rapidement : "Et bien c'est assez pour moi, si cette prière était prononcée par le prophète de Dieu, Abraham, alors c'est quelque chose que nous devons suivre".

Cependant, si nous cherchons la guidance du Coran, on notera ce qui suit :

1. C'est une prière personnelle prononcée par Abraham, cela ne peut constituer une loi que nous devons suivre.

2. On apprend plus tard qu'Abraham n'était pas autorisé à prier pour son père qui est un adorateur d'idoles. Cela indique que cette prière offerte par Abraham (pour ses parents) n'a pas été autorisée par Dieu. On lit également en 9:114 que la prière d'Abraham n'était pas juste.

3. Qu'une prière soit offerte par un messager ne veut pas dire que nous devons faire de même ou que c'est juste. En 11:74 nous apprenons comment Abraham essaya de prier pour le peuple de Lot, ce qui fut rejeté par Dieu (11:76). De la même manière, les prières de Noé pour son fils (11:46) et de Mohammed pour son oncle (111:1-3) furent aussi rejetées par Dieu.

4. Si nous examinons 14:41 encore une fois, on est capable de voir comme il est en désaccord avec d'autres paroles coraniques :

Ô notre Seigneur, pardonne-moi, ainsi qu'à mes parents et aux croyants, le jour où se tiendront les comptes".
Coran, 14:41

Maintenant méditons sur ces mots à la lumière des paroles divines suivantes :

L'intercession auprès de Lui est inutile, excepté pour celui qu'Il autorise. Une fois la frayeur ôtée de leur cœur, ils diront : "Qu'a dit votre Seigneur ?". Ils diront : "La vérité. C'est Lui le Très Haut, le Grand".
Coran, 34:23

Ces mots sont plutôt convaincants pour affirmer que le Jour du Jugement, rien n'aura le moindre poids face à notre jugement excepté la volonté de Dieu. Nous savons également que le Jugement de Dieu est basé seulement sur nos PROPRES œuvres et notre propre croyance, et non sur la manière dont d'autres personnes ont prié pour nous.



La signification de 9:84

Avant d'analyser ce verset, un mot doit être prononcé concernant un des rituels pratiqués dans les pays islamiques aujourd'hui quand un Musulman meurt. Juste avant de procéder à l'enterrement, la personne décédée est placée dans son cercueil à l'intérieur d'une mosquée et une salât est accomplie pour cette personne. Certains ont interprété les mots de 9:84 comme étant liés à ce rituel qui est connu sous le nom de "Salât al-Janazah" (la prière funéraire). Cependant, à la lumière du Coran, on peut montrer que c'est une mauvaise interprétation.

Pour commencer, on nous dit en 72:18 que la mosquée ne sert qu'à une seule chose, et c'est l'adoration de Dieu. La mosquée ne sert pas à y amener des cercueils contenant des personnes décédées et à leur offrir des prières.

De plus, on nous dit en 6:162 que la prière (salât), ainsi que tous les autres rituels, doivent être dédiés au seul nom de Dieu, et à personne d'autre. Établir une salât en réponse à la mort d'un être humain est en violation de 6:162.

Les partisans de cette Salât non-coranique argumenteront que ce n'est pas une salât dans le sens traditionnel du terme puisqu'il n'y a pas d'inclinaison ou de prosternation, et qu'elle est bien plus courte. Cette excuse n'est pas acceptable simplement à cause du fait que ce n'est pas la forme qui valide ou invalide un rituel, mais le cœur du rituel et pour qui il est dédié. Puisque cette salât est faite purement en consécration de la personne décédée, alors elle est illicite, quelque soit sa forme.

Réfléchissons maintenant aux mots de 9:84 :

Et ne soutiens jamais quiconque d'entre eux ("la tussallee ala ahadan minhum") lorsqu'il meurt, et ne te tiens pas auprès de sa tombe, car ils ont dénié Dieu et Son messager ; ils sont morts en étant dépravés.
Coran, 9:84

Les mots-clés dans ce verset, en ce qui concerne notre recherche, sont "la tussallee `ala ahadan minhum". Ces mots sont utilisés dans le Coran dans plusieurs versets. Il ne veulent PAS dire "ne priez pas pour eux" (comme certains l'ont interprété). Et ils ne font pas non plus référence à la "Salât funéraire". Quand on consulte les versets où ces mots sont utilisés (33:43, 9:103, 33:56) on réalise que ces mots signifient simplement "ne les supporte pas". Examinons ces versets :

C'est Lui qui vous soutient ("Yussallee alaykum"), ainsi que Ses anges, pour vous faire sortir des ténèbres à la lumière. Il est Miséricordieux envers les croyants.
Coran, 33:43

Il est clair que Dieu ne dirige pas ici une Salât pour les croyants !

Prélève de leurs biens une aumône par laquelle tu les purifies et les épures, et soutiens-les ("Sallee alyhum"), car ton soutien est une quiétude pour eux. Dieu est Audient, Connaissant.
Coran, 9:103

Une nouvelle fois, il est clair que le messager ne va pas diriger une Salât dédiée aux croyants !

Dieu et Ses anges soutiennent le prophète ("Yussalloon ala al-nabi"). Ô vous qui avez cru, soutenez-le ("Salloo alayhee") et soumettez-vous totalement.
Coran, 33:56

Encore une fois, il est clair que ni Dieu ni les anges ne dirigent une Salât pour le Prophète, et que les croyants ne sont pas obligés de faire cela.

Par conséquent, on peut établir que l'interdit en 9:84, qui est lié aux mots "la tussallee `ala ahadan minhum" est une interdiction de supporter n'importe quel dénégateur décédé. La question évidente est : comment pouvons-nous supporter une personne décédée ? Le support peut s'exprimer de différentes manières : prendre part aux funérailles, prendre part à l'enterrement, contribuer au coût des funérailles ou de mémorial etc...



Conclusion

1. Nous devons avoir une foi totale en la Miséricorde de Dieu :

Il dit : "Et qui désespère de la miséricorde de son Seigneur, sinon ceux qui s'égarent ?"
Coran, 15:56

2. Pouvons-nous inciter Dieu (en priant) à exercer plus de miséricorde envers nos bien-aimés quand la Miséricorde de Dieu est infinie ?

Dis : "À qui appartient ce qui est dans les cieux et la terre ?". Dis : "À Dieu !". Il S'est prescrit à Lui-même la miséricorde....
Coran, 6:12

3. Puisque Dieu pardonne tous les péchés des croyants (39:53), que signifie alors prier pour une personne décédée ? Ne croyons-nous pas en 39:53 ?

Dis : "Ô Mes serviteurs qui avez commis des excès envers vous-mêmes, ne désespérez pas de la miséricorde de Dieu, car Dieu pardonne tous les péchés. C'est Lui le Pardonneur, le Miséricordieux".
Coran, 39:53

4. Pouvons-nous ignorer la vérité de 53:19 et 6:164 et insister à affirmer que nos bien-aimés bénéficieront de nos prières ?

et que l'Homme n'obtient que le fruit de ses efforts,
Coran, 53:39

...Chacun n'acquiert que ce qui lui revient, et personne ne porte le fardeau d'un autre. ...
Coran, 6:164

5. Est-t-il correct d'intercéder en faveur de nos bien-aimés qui sont morts et en attente du jugement quand le Coran énonce qu'il n'y aura aucune intercession le Jour du Jugement ?

Ô vous qui avez cru, dépensez de ce que Nous vous avons attribué, avant que vienne un jour où il n'y aura ni commerce, ni amitié, ni intercession. Les dénégateurs sont les injustes.
Coran, 2:254

6. Croire au Coran et à ses enseignements mène les croyants à accepter sans doute possible que, grâce à la Miséricorde Infinie de Dieu, tous les croyants seront au final pardonnés, pas parce que d'autres ont prié pour eux, mais parce que la Miséricorde de Dieu est Infinie.



Article original : Prayers for the dead