Vous entendez souvent parler du bonheur et avez votre propre définition du sujet.
Comme une majorité de gens, vous l’espérez, l’attendez, et faites tout ce qui est en votre pouvoir pour le tutoyer enfin, ce fameux bonheur.
Or, si l’on en parle autant c’est que la recette n’est pas si évidente, d’où la question :
Comment vivre heureux ?
Y répondre, nécessite d’exposer un important problème :
La plupart des gens remettent leur bonheur à plus tard, lorsqu’ils auront plus de temps, d’argent, d’amis, de compétences, plus de tout.
Ils pensent être heureux après avoir atteint leur objectif : un poste, une position sociale, le grand amour avec Max/Zoé, une maison bien à eux, des voyages au bout du monde, etc.
Erreur majeure !
Raisonner ainsi, c’est confondre réussite et bonheur,
deux états pourtant bien différents.
Et si, bien sûr, le succès alimente l’état de bonheur, il n’en est pas l’essentiel, loin de là.
Voyons pourquoi en prenant un exemple :
Depuis votre plus jeune âge, vous rêvez d’un bateau. Pendant des années, vous avez… ramé pour vous l’offrir. Aujourd’hui, c’est fait, il est là, vous le contemplez : vous êtes heureux, tout simplement.
Ensuite que se passe-t-il ?
Lorsque que la réussite frappe à votre porte
les choses se déroulent en quatre temps :
- a) Votre objectif est atteint.
État jouissif, vous vous délectez de la situation, la savourez encore et encore en pensant à toutes les ressources que vous avez du mobiliser pour en arriver là.
Tous les obstacles que vous avez dû surmonter, chapeau l’artiste.
Vous n’en croyez pas vos yeux, le bateau, VOTRE bateau, n’attend que vous.
Tel une fourmi vous embarquez, débarquez, remontez, redescendez, l’explorez de bas en haut, dans ses moindres recoins, vous, le marin, vivez sur un nuage, vous invitez vos amis, tout le reste s’efface, bref, le bonheur… HEU-REUX !
- b) Peu à peu, votre bateau devient un élément « normal » de votre vie.
Il s’inscrit dans votre décor, vos habitudes, votre réalité, le sentiment de bonheur est encore là, mais moins intense qu’au début car, au fil de l’eau, vous oubliez d’apprécier ce bateau qui vous a tant fait… chavirer de bonheur.
- c) Soudain, surgissent (plus fort qu’avant) ses défauts et inconvénients.
Ils vous font de plus en plus râler et ouvrir la boîte à regrets. Décidément trop petit, trop grand, trop coûteux, pas assez stable, j’aurais dû… etc.
Le Nirvana du début se transforme en contrariétés diverses.
Qui grandissent et se multiplient.
- d) Alors vous vous mettez en quête d’autre chose.
Remplacer votre bateau par un autre plus ceci ou plus cela ou confier votre désir de bonheur à une nouvelle source.
Au terme de ce processus, hélas, si répandu :
Comment vivre heureux redevient votre leitmotiv.
C’est ainsi qu’une multitude de gens cherchent le bonheur sans jamais le trouver.
Et repassent continuellement par la case départ.
Cette histoire est réellement arrivée à un de mes amis qui rêvait d’un bateau depuis plus de 30 ans. A 62 ans, il a enfin pu s’offrir un 16 mètres (jolie bête) devenue, depuis, son cauchemar.
Et si l’on peut évidemment trouver des gens heureux (heureusement),
la plupart courent après le bonheur sans réaliser
que la clé d’une vie réussie, heureuse,
n’est nulle part ailleurs que dans leur façon de voir
et de vivre les évènements.
Et quand ils le comprennent enfin, il est trop tard… ça sent le sapin.
Qu’en retenir ?
1 ) Faites la différence entre plaisir(s) et bonheur.
Le bonheur n’a rien à voir avec une possession ou une réussite quelconque. Et le processus décrit plus haut fonctionne aussi avec les humains ! Passer régulièrement de l’un à l’autre peut vous procurer du plaisir, pas vous rendre heureux.
2) Vivre heureux est un état d’esprit.
Indépendant des circonstances et évènements de votre vie. Celles-ci ne sont que des éléments de déplaisir ou de plaisir, rien de plus.
3) Vivre heureux n’est donc ni pour demain ni pour les calendes grecques mais pour… tout de suite.
En l’état de ce que vous possédez de matériel et d’immatériel. En accord avec vos valeurs, votre fondamental non négociable.
Et au vu de tout ce que vous avez la faculté d’accomplir ici-bas tant que la vie vous habitera.
4) Repérez et vivez les petits moments de bonheur !
Des choses insignifiantes, fugaces, temporaires, bref, des petits riens qui donnent la pêche.
Comment ? L’article suivant vous en dira plus…
Qu’en pensez-vous ?
Être heureux est-il facile pour vous ?
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Cet article me donne envie de partager avec vous une courte chanson, apprise lors d’une retraite de méditation au Village des Pruniers :
« Le bonheur c’est maintenant,
J’ai laissé tous mes soucis…
Nul part où aller et rien à faire,
Pas besoin de me presser.
Le bonheur c’est maintenant,
J’ai laissé tous mes soucis…
Quelque part où aller,
Quelque chose à faire
Mais à présent j’ai tout mon temps. »
Marjorie – Dessine-moi une Carrière vous recommande Charline Goutal, une entrepreneuse « culottée »
Oui Marjorie, ni hier, ni demain, le bonheur c’est maintenant… comme dit la chanson !
Posséder apporte plus de soucis que de bonheur : un bateau, un appart… Ça rassure d’être propriétaire, mais bonjour les galères (enfin, pas systématiquement, mais personnellement je vis beaucoup mieux mes « tracas » de locataire que ceux de propriétaire).
Le bonheur c’est être – c’est un état d’esprit qui ne devrait dépendre que de soi, et même pas des autres. Mais bon, à moins de vivre sur une île déserte, c’est pas vraiment réaliste. Donc notre bonheur dépend aussi des autres. À nous « d’éliminer » les toxiques qui polluent notre bonheur.
Le bonheur c’est faire, c’est vivre des expériences – inédites ou pas – mais les savourer jusqu’à la lie (c’est comme ça que ça s’écrit ?). C’est un truc de pleine conscience, mais bon sang, ça marche. Quand une situation semble déplaisante, je ne souhaite pas m’enfuir mais la regarder en face et voir ce qu’il y a de bien (hier soir j’étais aux urgences pédiatriques – ça durait des heures – 4h au final ! – et pourtant nous étions réunis – et pas seulement pour les galères – nous étions en vie et en bonne santé – 2 points de suture allaient résoudre le problème)
J’aime aussi beaucoup les paroles d’Aldebert : « le bonheur c’est d’arriver à désirer ce qu’on a déjà »
Et pour rejoindre Rima, je dirais qu’une fois cela acquis, on peut chercher plus/mieux/autrement (pour faire le parallèle avec ma soirée aux urgences je dirais qu’après avoir vécu ce moment, j’en ai tiré d’autres enseignement de bonheur dans mon quotidien).
Cécile vous recommande Menu sourire
ces mots rejoignent le « slogan » qui est le mien depuis de nombreuses années (et que je reproduis régulièrement ici) :
« Apprécier ce que l’on a (matériel et non matériel) et TOUT ce que l’on peut faire avec.
C’est donc partir d’une situation de contentement – source de bonheur – pour aller vers autre chose, et sans cesse enrichir, cultiver, faire vivre ce bonheur.
Dans ce contexte, libre cours est donné à vos envies, rêves, désirs, mais… en étant déjà heureux… donc sans alimenter de frustrations.
Et en n’occultant pas les inévitables peines, chagrins, désillusions : que serait la vie sans eux ?
PS : Bravo et merci à celui qui a inventé la technique des points de suture… cela aide bien, n’est-ce pas Cécile ?
point de suture mais aussi strip de suture (pas très efficace sur le menton – ça bouge de trop cette zone-là), j’ai même découvert qu’il existait de la colle de suture : comme quoi il y a toujours plusieurs solutions à un problème
il suffit de regarder les possibilités qui s’offrent à nous… et d’en choisir une (tiens ça me donne une idée pour mon article de la semaine prochaine… moi qui justement hésitais) même si ce n’est pas toujours avec succès, au moins on aura agi
merci Jean-Luc pour le moralotop et l’envie de faire
cecile vous recommande Je me lance
La suture mène à tout , point, strip etc, décidément génial son inventeur !
Un problème des solutions, nous sommes d’accord Cécile, merci.
Alors là, pour ce qui est des bateaux, ça tombe bien, j’en connais un rayon et s’il est une chose que j’adôôôre, mais que pour rien au monde je ne possèderai, jamais, c’est bien ça ! Un 16 mètres en plus, merveille absolue, je comprends (et ai partagé) ô combien le rêve de votre ami, mais il faut le reconnaître, la « danseuse » est fort coûteuse et il eût été, sans doute, plus judicieux de s’offrir de belles vacances à la voile, 2 ou 3 fois l’an, plutôt qu’un semblable joujou ! (Et croyez-moi, ça me coûte de dire ça !) Ou bien alors il eût fallu justifier l’investissement et changer de vie, pour partir naviguer comme les « tourdumondistes » qui sillonnent le globe, à la manière d’Antoine… Ah la la, comme j’ai aimé ces années d’errance sur la mer ! Mais ça, c’est une autre histoire !
Bref, c’est un fait, il y a le rêve et puis la réalité !
Sinon, oui être heureuse est facile pour moi. J’ai une bonne nature. Enfin surtout aujourd’hui…
Le privilège de l’âge, sans doute !
Je pense à cette phrase que je cite souvent : » Le bonheur c’est d’arriver à désirer ce qu’on a déjà » et j’essaie de la faire mienne. Et ma vie est pleine de petits bonheurs insignifiants pour les autres (un sms de mes enfants, l’appel d’une amie, un rayon de soleil, les cigales, rien juste être vivante…) mais pour lesquels je rends grâce. Pour moi, le bonheur ce n’est pas posséder, bien au contraire, c’est marcher avec légèreté sur la terre, se défaire du superflu pour profiter de l’essentiel. Dans le superflu, je mets plein de trucs matériels inutiles, mais aussi mes rancunes, mes colères, mes blessures, les gens toxiques. Et dans l’essentiel, je mets la joie, le rire, l’amour donné et reçu, le partage, le pardon, la sincérité, l’instant, la Vie.
Après, ça peut sembler naïf à certains, mais comme je me fiche depuis longtemps des « certains », de leur regard et de leur avis sur moi, le bonheur que je me construits, pierre par pierre, sur d’anciennes fondations parfois douloureuses, me convient plutôt bien ! Moi seule connais le prix véritable que j’ai payé pour ce bonheur-là !
Et je rejoins Cat dans sa définition du bonheur. D’ailleurs, Cat, vous allez rire : sous la vitre de ma table de salon ramenée des Antilles, on trouve des tests d’oursins, des dollars des sables, du sable et du bois flotté… et sur ma terrasse, il y a toujours mon bon vieux hamac !…
Ahhh, le bonheur d’avoir toujours 20 ans (et plein d’espoir et de projets) dans sa tête !
B.
Peut-être l’expérience de mon ami a-t-elle dérapée pour une raison que j’ignore.
Et une danseuse lui aurait en effet coûté moins cher.
Quoi qu’il en soit, un enseignement apparaît :
1) ne pas placer une quelconque possession matérielle trop haut dans l’échelle des fournisseurs de bonheur.
2) aucun problème à trimer pour avoir un 16 mètres si l’on en rêve : simplement, bien distinguer plaisir et bonheur.
Enfin, la chute, (si j’ose dire) certains, sur leur terrasse, ont un… hamac : je ne vise personne mais quand même !
Vive le bonheur que l’on puise au fond de soi, Jean-Luc !
Car c’est bien au fond de soi qu’il se cache le coquin !
Pendant longtemps, je l’ai cherché en dehors de moi sans savoir que j’en étais déjà propriétaire.
Puis un jour, je suis tombée (par hasard ?) sur un ouvrage de Marcelle Auclair : « Le livre du bonheur » qui a éclairé ma lanterne. C’est de cette façon qu’au fil du temps j’ai construit ma propre philosophie du bonheur.
Ta rubrique « Vos petits bonheurs » est une perle ou chacun peut déposer ses petits bonheurs (et même les grands)
Même englué au plus profond de nos aléas, il y a du bonheur à cueillir, ne serait-ce le soleil qui se lève chaque jour, de pourvoir saluer son voisin… Moi aujourd’hui, j’ai eu la chance de pouvoir embrasser ma petite fille de 22 mois que je ne vois pas souvent.. chacun ayant sa vie. Que du bonheur : avoir pu partager un gâteau fait avec amour le matin pour l’anniversaire du fiston. Pour moi, c’est ça le bonheur, une vie parsemée de « petits riens » qui nous rend tout guilleret et heureux.
J’attends la suite… avec bonheur !
Bonjour Jean-Luc,
Ah! La question du bonheur! Ce bonheur que l’on cherche partout, dans tout et qui est pourtant si proche de nous! Car nous en sommes les maîtres et les seuls dirigeants. S’il y a bien une chose sur Terre où nous, simples petits humains, avons un pouvoir c’est bien celui-là! Celui d’être heureux et celui de garder l’espoir dans un avenir plus heureux si ce n’est pas le cas en ce moment. Ce pouvoir, ce désir, cette puissance, personne ni rien ne peut nous l’enlever … à part nous-mêmes! Et personne ne peut nous l’accorder …. à part nous-mêmes!
Juste de réaliser la chance que nous avons, tous et chacun, d’être vivant! D’être en vie, d’être né(e)! D’être là, ici et maintenant, Peu importe ce que nous vivons, parce que les différents témoignages de personnes ayant vécu des choses incroyables malgré leurs handicaps, souffrances, destructions ou autres sont là pour nous montrer que l’être humain est fait de puissance.
Juste le bonheur chaque jour d’avoir des yeux pour voir le soleil se lever, entendre le chant des oiseaux, voir les arbres s’agiter sous une douce brise. Juste le bonheur de pouvoir sourire à ce bonheur présent, juste le bonheur de sauter du lit pour savourer cette nouvelle journée et se mettre sur ses deux jambes et marcher jusqu’à dehors où la vie se trouve. Juste ça,est le plus grand des bonheurs! Savourer cette chance est déjà un pur bonheur en soi, non?
Bien sûr que la vie n’est pas faite que de fleurs qui s’ouvrent et de papillons qui volent, mais si on a la chance de les voir, n’est-ce pas déjà un bonheur infini? Pour moi, oui!
Il y a quelques années, une femme qui avait un mari très riche avec lequel elle voyageait beaucoup, m’a dit à propos de mes tableaux en reliefs (où je m’évade toujours vers des contrées lointaines et imaginaires)… « Ouais, à défaut d’y aller, c’est mieux que rien… » Sur le coup, sa remarque m’a un peu blessée mais maintenant, elle me fait sourire : a-t-elle déjà mangé. dans ses voyages. sur une table faite d’un oursin et d’un dollar de sable et deux coquillages pour s’asseoir autour? A-t-elle déjà dormi sur un petit morceau de branche de bois flotté? S’est-elle déjà reposée, lovée dans un grand coquillage? A-t-elle déjà pris le temps de lire un livre sur un hamac fait d’un bout de toile de jute collé entre deux petites branches d’arbustes qui tiennent lieu d’arbre? Moi, oui, j’ai pu faire tout ça, même si pour l’instant je n’ai pas encore fait tous ces voyages qui me font rêver, mon imaginaire m’a fait aller au-delà de tout et m’a toujours apporté un immense bonheur.
Le bonheur est avant tout dans le fait de faire des choses que l’on aime profondément et surtout de vivre comme on l’entend. Quitte à passer pour un looser, un has-been, un excentrique, un fou, une rêveuse aux yeux de ceux qui soi-disant savent mieux que nous ce qui pourrait nous rendre heureux
Le bonheur de chacun est dans notre coeur, il nous dit : regarde! écoute! ressens! et il suffit de l’écouter! pour ressentir pleinement la vie elle-même qui est en nous et qui veut vivre sans nos peurs, nos angoisses, nos incertitudes. Il est là, depuis toujours, en chacun de nous et il n’attend que nous lui ouvrions la porte pour le laisser nous remplir de bien-être!
Très bel article, essentiel. à lire et relire. Merci, Jean-Luc pour tes mots justes et vrais qui ramènent à l’essentiel.
PS: pas de sapin pour moi ni aucun autre arbre. Juste une boîte de carton recyclé et une urne de ma fabrication, enterrée au pied d’un arbre pour que je continue ma vie avec lui et une lampe solaire au-dessus pour faire un clin d’oeil à la lune Voilà, ceci sont mes dernières volontés
Cat, il reste encore beaucoup de temps avant que tes dernières volontés ne soient exaucées.
Et c’est heureux.
Ton exemple de cliente un peu désabusée est frappant.
Et la conclusion que tu proposes – vivre comme on l’entend même si « les autres » ont un regard de travers est séduisante.
Certes, on ne peut s’affranchir totalement du contexte, de l’environnement, de la société car ils sont souvent hors de notre contrôle.
En revanche, nous avons 100% de marge de manœuvre dans un autre domaine : nous.
C’est là que se cache ce fichu bonheur.
Et c’est pourquoi il est si difficile à trouver pour une quantité de gens.
Ils le cherchent partout… sauf à l’intérieur d’eux-mêmes.
Prévenons-les pour les aider à le dénicher !
Bonjour Jean-Luc,
Effectivement, il faut éviter de confondre plaisir et bonheur. D’autant plus que certains plaisirs (petits, fugaces, … ou autres) peuvent s’avérer finalement très dommageables pour le bonheur, que ce soit via la santé, les relations, …
Être conscient de ce que l’on vit, de ses valeurs, … et de profiter des petits moments de bonheur au cour de la journée me semble pertinent.
A notre bonheur donc, …
Jean-Louis vous recommande Fatigue permanente, pourquoi, que faire
Je trinque avec vous à notre position commune Jean-Louis : à notre bonheur !
Bonjour Jean-Luc,
En fait, tu nous fais l’éloge du « hic et nunc »… Tout un apprentissage !
Il y a des jours où on s’y croit et d’autres de rechute. Le tout, c’est dans la seconde situation, c’est de se rappeler qu’on a eu accès à la première…
Merci et à bientôt !
Bernadette GILBERT vous recommande Comment le marketing alimentaire nous manipule
… et que celle-ci reviendra Bernadette.
Le moral au top n’est pas d’être toujours au sommet de sa forme.
C’est accepter les baisses de régime mais en récupérer vite et reprendre sa route.
Merci.
Bonjour Jean-Luc,
vous avez surement raison, mais on peut également tomber dans la pensée : « je suis heureux tel que je suis, je ne cherche pas autre chose, ni à m’améliorer, ni à acquérir quoique ce soit, je me suffis à moi-même. »
il faut dire que cette sensation de manque (de bonheur ou autre) peut être un moteur d’action.
Bonjour Rima.
Bien sûr, on peut partager cette pensée.
Cela dit, n’avez-vous pas un seul axe de progression posssible, une seule volonté de « faire mieux » (ce qui ne veut pas dire forcément faire plus ?)