Remiremont

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Remiremont
Panorama de Remiremont depuis le Saint-Mont.
Panorama de Remiremont depuis le Saint-Mont.
Blason de Remiremont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Lorraine
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Canton Remiremont
Intercommunalité Communauté de communes de la Porte des Hautes-Vosges
Maire
Mandat
Bernard Godfroy
2014-2020
Code postal 88200
Code commune 88383
Démographie
Gentilé Romarimontains
Population
municipale
7 766 hab. (2012)
Densité 431 hab./km2
Population
aire urbaine
22 936 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 03″ N 6° 35′ 26″ E / 48.0175, 6.5905555555648° 01′ 03″ Nord 6° 35′ 26″ Est / 48.0175, 6.59055555556
Altitude 400 m (min. : 379 m) (max. : 766 m)
Superficie 18 km2
Localisation

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Liens
Site web remiremont.fr

Remiremont est une commune française située dans le département des Vosges et la région Lorraine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Remiremont est située au confluent de la Moselle et de la Moselotte[1]. Elle est située à 27 km d’Épinal, 30 km de Gérardmer, 61 km de Thann et 32 km de Luxeuil-les-Bains.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Nabord au nord-ouest, Saint-Étienne-lès-Remiremont au nord à l’est ainsi que Le Val-d’Ajol au sud-ouest par le col du Peutet (645 m). Malgré les apparences, Dommartin-les-Remiremont n’est pas limitrophe de Remiremont.

Communes limitrophes de Remiremont
Saint-Nabord Saint-Nabord
Saint-Étienne-lès-Remiremont
Saint-Étienne-lès-Remiremont
Saint-Nabord Remiremont Saint-Étienne-lès-Remiremont
Saint-Nabord
Le Val d'Ajol
Le Val d'Ajol Saint-Étienne-lès-Remiremont

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la ville est construite dans un environnement assez varié, constitué d'alluvions récentes, mais aussi de roches magmatiques (granites, microgranites…) et de roches métamorphiques au faciès granulite, ainsi que de roches sédimentaires notamment du Trias, avec des roches déposées précisément au Buntsandstein moyen, vers le sud de Remiremont (conglomérats, grès relativement grossiers, et paléosols).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Augronne prend sa source à l'étang du Renard au sud-ouest de la commune. Cela a pour conséquence d'avoir la partie sud-ouest de la commune se situant dans le bassin du Rhône alors que la reste de la commune est dans le bassin du Rhin[2].

La commune est limitrophe au parc naturel régional des Ballons des Vosges et est traversée par le GR 7 et de nombreux chemins de randonnées.

Un plan d’eau d’un peu plus de neuf hectares, créé en 1988, accueille les touristes en quête de verdure et de loisirs. Outre l’observation des oiseaux et la pêche, de nombreuses activités sont proposées autour du plan d’eau : plongée, canoë-kayak, baignade (surveillée pendant les mois d’été), pétanque et planche à voile. C’est aussi le point de départ d’une voie verte menant à Cornimont et à Bussang.

Article détaillé : Plan d’eau de Remiremont .

Le pont de Prieur, enjambant la Moselle, relie les communes de Remiremont et Saint-Étienne-lès-Remiremont[3], [4], [5], [6].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Remiremont est située au carrefour des routes nationales 66 (E512), 57 (E23) et départementale 417 (ancienne route nationale 417). La vallée de la Moselle communique au-delà du col de Bussang avec la vallée de la Thur par la RN 66.

Voies ferroviaires[modifier | modifier le code]

TGV en gare de Remiremont.
Vue du centre ville.

La ville est bien desservie par la voie ferroviaire notamment avec deux allers-retours quotidiens à Paris en TGV depuis la gare de Remiremont.

Toponymie[modifier | modifier le code]

D'un nom de personne Romaric(us) + montem[7].

Montis Romarici (640), Romerici montem (870), Remeremont & Remerimont (1246), Remeiremont & Remelimont (1290), Romarimont (1336), Rümersberg (1339), Rimelsperg (1404), Remyremont (1505), Mont Rolland (1538), Remiremonde (1644), Remiremont (1711), Libremont (an II).

Histoire[modifier | modifier le code]

Origine[modifier | modifier le code]

Saint Romaric portant le monastère qu'il a fondé (détail).

Le nom de Remiremont dérive du latin Romarici mons, le « mont de Romaric ». Romaric était un noble de la cour d’Austrasie à Metz, qui abandonna les affaires de cour pour la vie monastique, sous l’influence d’Amé de Remiremont, moine prédicateur disciple de saint Colomban. Ils fondèrent vers 620 deux monastères sur le mont Habendum que possédait Romaric[8],[9], l’un d’hommes, et l’autre au sommet de femmes. Saint Romaric vécut pendant trente ans dans cette abbaye du Saint-Mont[10], jusqu’à sa mort en 653[11].

Article détaillé : Abbaye du Saint-Mont.

L'abbaye suivait une règle approuvée par Louis le Débonnaire et publiée en 816 au concile d’Aix-la-Chapelle. Elle fut transférée au pied du Saint-Mont pour favoriser le peuplement et améliorer la sécurité de la communauté, occasionnant ainsi le développement de Remiremont.

Peu à peu, le monastère d’origine devint une communauté de chanoinesses, séculière et féodale, le Chapitre de Remiremont, réservé aux jeunes filles de la haute noblesse. Une cinquantaine de nobles dames y vivaient richement car l’abbaye avait de nombreuses possessions et l’abbesse avait rang de princesse du Saint-Empire romain germanique. Au XVe siècle, les ducs de Lorraine établirent leur suzeraineté sur le chapitre, prenant le titre de comtes de Remiremont.

Article détaillé : Abbaye de Remiremont.

Michel de Montaigne, qui s'arrêta à Remiremont en 1580, lors de son voyage en Italie et en Allemagne, relate dans son journal de voyage[12] que l'abbesse et les chanoinesses lui firent le plus aimable accueil et lui envoyèrent des artichauts, des perdrix et un baril de vin.

La guerre de Trente Ans[modifier | modifier le code]

Teston à l'effigie du Duc Charles IV frappé à Remiremont en 1638 (diamètre 29 mm).

Pendant la guerre de Trente Ans, l'Abbesse Catherine de Lorraine[13], fille du duc Charles III de Lorraine, fit preuve d'initiative et de courage. En juillet 1638, lors du siège de Remiremont par les Français commandés par Turenne, avec ses chanoinesses, elle entraîne la population de Remiremont et en quelques heures les trois brèches ouvertes par les canons français dans les murs de la ville se trouvent réparées.

Auguste Digot dans son Histoire de la Lorraine en fait le récit[14]:… le sieur de la Jonchette, gouverneur d'Épinal, avait engagé le vicomte (Turenne) à se diriger sur Remiremont, pour y rétablir l'autorité du roi. Il disait que la ville ne pouvait tenir plus d'une demi-journée… Turenne chargea La Jonchette d'attaquer Remiremont, et le siège commença le 2 juillet. Il n'y avait que trente soldats dans la place, mais les bourgeois avaient pris les armes, avec la résolution de se bien défendre. Le 3,le marquis de Ville parvint à s'échapper et gagna les montagnes, où il tâcha de rassembler du monde pour secourir les assiégés. La Jonchette ordonna deux assauts, fut repoussé avec pertes et dressa une batterie, qui ouvrit, en peu d'heures, une brèche large de vingt pas. Comme les soldats et les bourgeois n'étaient pas en état de garder les murailles et d'exécuter les ouvrages indispensables pour empêcher l'ennemi de pénétrer dans les rues, le commandant lorrain mit les femmes en réquisition ; elles refusèrent de sortir de chez elles ; mais la princesse Catherine, qui se trouvait heureusement dans la ville, accourut, avec les chanoinesses, et donna l'exemple de l'obéissance et du travail. À ce spectacle, chacun, voulut mettre la main à l'œuvre, et le dégât fut promptement réparé. Le 5 juillet, une compagnie de cavalerie lorraine, venant de la Franche-Comté, réussit à se jeter dans Remiremont ; le marquis de Ville y fit entrer cent cinquante hommes d'infanterie, et les Français, rebutés par l'opiniâtre résistance des assiégés, décampèrent, le 8, après avoir perdu plus de 700 hommes : tués, blessés ou prisonniers.

Jacques de Huvé[15], capitaine châtelain de la ville et du comté de Fontenoy-le-Château à la tête des sujets de sa capitainerie participa glorieusement à la lévée du siège[16].

La synagogue au début du XXe siècle
Tables de la Loi de l'ancienne synagogue de Remiremont, au Musée Henri-Mathieu à Bruyères

À la Révolution française : le 7 décembre 1790, l’église abbatiale fut fermée après onze siècles d’existence.

Révolution française[modifier | modifier le code]

La dernière abbesse, Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé émigra, comme certaines des chanoinesses, pendant la Révolution. D'autres choisirent de retourner dans leur famille.

Pendant quelques années, la ville de Remiremont s’appela Libre-Mont.

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Vers 1801 des Juifs s'installèrent à Remiremont[17]. Ils venaient des pays de l'Est et d'Alsace ; leur nombre ne cessa de s'accroître jusqu'en 1881. Ils exerçaient les métiers de fabricant de tissu, boucher, marchand de bétail, de chiffons.

La synagogue construite dans un style orientaliste a été inaugurée en 1873[18], et l’année suivante la communauté de Remiremont devient le siège d’un rabbinat alors qu’elle dépendait précédemment du rabbin d’Epinal. À la Libération, seulement une demi-douzaine de familles rescapées de la Solution finale reviennent à Remiremont. De ce fait la synagogue est vendue à un particulier et détruite. Ses seuls vestiges visibles se trouvent actuellement à la synagogue-musée de Bruyères et les bancs des fidèles servent dans l'oratoire de la synagogue d'Épinal.

Quarante-et-un juifs romarimontains périrent lors de la Shoah[19]. La présence d’un important cimetière israélite atteste de l’importance de la communauté juive pendant plus d’un siècle.

XIXe et XXe siècles[modifier | modifier le code]

Vue de Remiremont en 1826

Après la guerre franco-prussienne de 1870, un fort fut érigé au-dessus de la ville, le fort du Parmont. Il est ouvert en 1876 après 2 ans de travaux. Durant la Seconde Guerre mondiale, il tombe aux mains de l'armée allemande le 18 juin 1940. Après cette guerre, il sera utilisé jusqu'en 1960 par l'armée américaine comme dépôt de munition. Laissé a l'abandon, il est restauré depuis 2005 par des bénévoles.

La ville fut libérée le 23 septembre 1944[20]. Les troupes américaines sont arrivées ce jour là par la route qui s'appelle aujourd'hui rue des États-Unis.

L'Aviso Remiremont était un bâtiment de la marine nationale française, il a sillonné les mers de 1920 à 1936, puis a servi pour l'entrainement des jeunes recrues. Il était sorti des Forges et Chantiers de la Gironde.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Organisation territoriale[modifier | modifier le code]

Remiremont fut chef-lieu d’un arrondissement rattaché à l’arrondissement d’Épinal le 10 septembre 1926. La ville est désormais chef-lieu de canton.

Le canton de Remiremont est composé des communes de Cleurie, Dommartin-lès-Remiremont, Éloyes, Faucompierre, La Forge, Jarménil, Pouxeux, Raon-aux-Bois, Remiremont, Saint-Amé, Saint-Étienne-lès-Remiremont, Saint-Nabord, Le Syndicat, Tendon, Le Tholy et Vecoux. Ces seize communes totalisent 33 045 habitants.

La communauté de communes de la Porte des Hautes-Vosges regroupe, depuis le , Remiremont et quatre communes voisines, Dommartin-lès-Remiremont, Saint-Étienne-lès-Remiremont, Saint-Nabord et Vecoux, soit une population de 19 334 habitants en 1999 et de 18 881 en 2006.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Joseph Magnien (1810-1892) Républicain Notaire
1825 1830 Hector Stanislas Bresson   Conseiller général du canton de Remiremont (1925-1930)
1834 1836 Hector Stanislas Bresson   Député (1831-1843)
1886 1888 Charles Guyon    
1894 1912 Charles Argant    
1912 1925 Émile Mougin    
1925 1945 Édouard Georges    
1945 1963 Jean-Marie Grenier (1906-1964)   Banquier
Sénateur des Vosges (1946-1952)
Député (1958-1962)/
1963 mars 1965 Georges Antuszewicz   Industriel textile
mars 1965 mars 1971 Pierre Bucher   Pharmacien
mars 1971 mars 1983 Gilbert Zaug (1927-2014) RPR Inspecteur général des impôts
mars 1983 mars 2001 Christian Poncelet RPR Conseiller général du canton de Remiremont (1963-2015)
Sénateur des Vosges (1977-2014)
Président du Sénat (1998-2008)
mars 2001 mars 2014 Jean-Paul Didier UMP-DVD Directeur d'agence bancaire
mars 2014 en cours Bernard Godfroy Divers Ingénieur territorial, directeur des services techniques de Remiremont

Finances locales[modifier | modifier le code]

Données 2013 :

  • Total des produits de fonctionnement : 122 270 000 €, soit 1 464 € par habitant
  • Total des charges de fonctionnement : 107 990 000 €, soit 1 289 € par habitant
  • Total des ressources d’investissement : 251 000 € €, soit 710 € par habitant
  • Total des emplois d'investissement : 3 830 000 €, soit 425 € par habitant
  • Endettement : 12 136 000 €, soit 14 448 € par habitant[21],[22].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2012, la commune comptait 7 766 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[Note 1],[Note 2].

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
3 401 3 250 3 719 3 949 4 686 5 055 5 099 5 430 5 164
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
5 668 6 074 6 510 7 866 8 126 8 756 9 374 10 479 10 322
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
10 548 10 991 9 605 9 629 9 754 10 462 10 319 9 799 9 350
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 -
9 312 10 552 9 985 9 068 8 538 8 182 8 104 7 766 -
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2004[24].)
Histogramme de l'évolution démographique


Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Le carnaval vénitien de Remiremont : il se déroule en général chaque année durant le dernier week-end de mars. Il a été créé en 1996 par une poignée de passionnés du carnaval de Venise. Des défilés sont organisés dont un nocturne.
  • Les Champs golots : le jeudi saint, cette fête populaire marque la fin de l’hiver. Pour symboliser le dégel des ruisseaux, un bassin du centre-ville est rempli d’eau et les enfants y font naviguer des bateaux illuminés de leur fabrication.
  • La fête foraine de la Saint-Romaric se tient tous les ans au champ de mars de la ville vers la mi-septembre durant deux semaines.
  • La Saint-Nicolas est la plus populaire des fêtes de la ville. Chaque année, le premier samedi de décembre, un grand défilé de chars est organisé et parcourt les rues de la ville. Le char du saint patron des enfants clôt le défilé et des dizaines de chars décorés par des organisations locales défilent. Pendant cette manifestation les clefs de la ville sont remises à Saint Nicolas par le maire.
  • Les kiriolés : (lendemain de la Pentecôte : lundi des Kiriolés) toutes les paroisses du patronage de Remiremont, exceptée celle de Saint Maurice, arrivaient en procession, chantant des Kiriolés (cantiques en patois local). Chaque paroisse était distinguée par des rameaux de verdure (genévrier, lilas, cerisier, sureau, saule, chêne, sapin, genêt et aubépine). Six paroisses stationnaient à l'église des Dames, les autres ne faisaient que la traverser en chantant. Cette fête existait déjà avant 1789.
  • Cadre de vie : la ville s'illumine chaque année[25], elle a par ailleurs été labellisée « ville fleurie trois fleurs » attribuées par le Conseil national au Concours des villes et villages fleuris.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Premier degré :

  • groupe scolaire Jules-Ferry ;
  • groupe scolaire de La Maix ;
  • groupe scolaire de Rhumont ;
  • groupe scolaire de Révillon ;
  • école privée Saint-Romaric ;

Second degré :

  • collège Le Tertre ;
  • collège Charlet ;
  • Ensemble scolaire Collège et Lycée privé Saint-Joseph - Jeanne-d’Arc ;
  • lycée André-Malraux, couramment appelé « Béchamp » depuis qu’il a succédé au lycée Jules-Méline du centre-ville ; ce lycée forme de la seconde au BTS.
  • lycée professionnel régional Camille-Claudel couramment appelé « Lycée du Parmont » ;
  • Institut de Formation des Soins Infirmiers.

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

  • Remiremont possède une rédaction locale du journal départemental Vosges Matin, apparenté au quotidien régional L'Est républicain. L’hebdomadaire départemental L’Écho des Vosges possède également une rédaction locale pour son édition de la Vallée de la Moselle.
  • NRJ Vosges a ses studios locaux à proximité du centre-ville. Cette radio est l’héritière de Clip FM, la plus ancienne radio de la ville qui a émis de 1984 au 28 septembre 1995. NRJ émet sur 105,4 pour l'agglomération Romarimontaine et sur 88,5 pour la haute vallée de la Moselle et depuis septembre 2011 à Gérardmer (88.5), la Bresse (même fréquence) et Épinal (91.9). Elle émet depuis la mi 2013 à Cornimont sur 100.6.
  • Radio Gué Mozot, la plus ancienne radio locale du département, a quant à elle son siège à Saint-Étienne-lès-Remiremont depuis 1990.
  • Depuis la fin de l'année 2011, RDB 101.8 est présente sur le bassin romarimontain, avec un programme distinct de Radio des ballons, la station d'origine thillotine dont elle est une émanation.

Une troisième radio associative, Vosges FM (99.7), originaire du Tholy où se situent les studios, est également présente sur Bruyères . Elle émet depuis le 17 février 2012.

  • Le réseau départemental Magnum la radio (99.0), ainsi que Europe 1 (91,0), Fun Radio (104,7) et RTL (97.5) émettent aussi sur la ville sans pour autant avoir de présence locale.
  • D'autres radios ont émis sur la ville au cours des années 1980 et 90, comme R2M, soutenue par la municipalité et qui a disparu en 1998, Micro 7 dont le puissant émetteur était reçu dans une grande partie du département, ou encore la radio géromoise Vosges FM qui avait implanté un relais à Dommartin-lès-Remiremont.
  • Un réseau câblé est disponible depuis les années 1990. La municipalité a créé une chaine locale, Arcâble, qui se résume essentiellement à de l'infographie.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Industrie[modifier | modifier le code]

Après la guerre franco-prussienne de 1870, des industriels alsaciens fuyant l'Allemagne s'installent dans les Vosges et créent des usines textiles. La ville a vu deux grandes usines textiles (celle de la Madeleine et celle de Béchamp) qui ont fonctionné jusque dans les années 1960. L'usine de Béchamp fut détruite en 2007 pour créer une zone commerciale. Il existe aujourd'hui une petite zone industrielle entre la déviation de la RN 66 et la ligne ferroviaire. Les principales entreprises sont aujourd'hui le Laboratoire Lohman et Raucher, Robé Médical, Pilote 88 ainsi qu'Althoffer industrie. Beaucoup de commerces sont implantés dans le centre ville ainsi qu'en périphérie. La zone industrielle d'Éloyes se situe à 10 kilomètres au nord de la ville. Le site accueille d'importantes industries comme Thiriet et Minolta. La plupart des administrations sont à Épinal à 25 minutes par la route.

Commerce[modifier | modifier le code]

Arcades, rue Charles de Gaulle

La plupart des commerces se trouvent dans la rue Charles-de-Gaulle, dont une partie est bordée d'arcades. Dans cette rue se trouve également un supermarché Casino de 1 200 m2. Le centre-ville souffre de la proximité d'Épinal, voire de Nancy, et nombre de commerces ont fermé ces dernières années. Toutefois, de nouvelles enseignes en franchise (Cache-cache, Mexx, Patrice Breal, Yves Rocher, Célio, Douglas, Esprit…) se sont implantées, insufflant un peu d'oxygène au commerce local.

La périphérie accueille quant à elle les grandes surfaces. Un hypermarché Cora de 6 300 m2 (bientôt 6800) est implanté à l'est de la ville, jumelé avec une petite galerie marchande et une cafétéria. Cette zone commerciale accueille également Kiabi sur 1 000 m2, Chausséa (650 m2), le magasin de décoration Centrakor, ainsi qu'un magasin de surgelés Thiriet (dont l'usine toute proche se situe à Éloyes). Bricomarché vient de transférer son magasin de Saint Nabord dans l'éco-quartier en cours de construction sur le site des filatures de la madeleine. Ce quartier devrait accueillir dans les prochaines années 16 000 m2 de commerces, ainsi qu'un bowling et un cinéma de 6 salles.

Les communes proches accueillent pour leur part d'autres enseignes. Ainsi, Saint-Étienne-lès-Remiremont est le siège d'un hypermarché E-Leclerc de 4 000 m2, entouré d'une zone commerciale (MacDo, Intersport, Norauto, Gifi, Chaussexpo, La Halle et prochainement La Pataterie). Saint-Nabord accueille pour sa part des enseignes du groupe Intermarché, dont un supermarché de 2 600 m2 et un Restaumarché.

Le hard-discount est représenté par Lidl à Remiremont, Aldi à Saint-Étienne.

D'autres enseignes nationales sont présentes de manière plus disséminée dans l'agglomération, comme Gam'Vert, Doras, Bébé 9, La Foir'Fouille, But, Atlas, noz...

Tourisme[modifier | modifier le code]

Remiremont est une des portes du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Un projet de réalisation d’un lac baptisé « lac de Noirgueux », intéressant les communes de Saint-Étienne-lès-Remiremont, Remiremont, Saint-Nabord et Eloyes, a fait l’objet de débats durant de nombreuses années. Ce projet visait l’intérêt touristique et économique exceptionnel de l’ensemble de la vallée. Il devait couvrir 195 hectares (le lac de Gérardmer a 115 hectares et celui de Longemer 65 hectares). L’idée de ce projet a été esquissée dès 1963 mais a été abandonnée par la commune de Saint-nabord. La commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont qui avait réservé un zonage spécifique[26]., a estimé, de ce fait, ne pas devoir maintenir l'inscription de la zone de Noirgueux au plan local d'urbanisme au risque d'hypothéquer l'avenir de ce projet[27].

Article détaillé : Lac de Noirgueux.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

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Façade Ouest de l'église abbatiale saint Pierre.
Fontaine au cygne.

Les services régionaux de l’inventaire, des monuments historiques et de l'archéologie[29] ont procédé à une étude complète du patrimoine de la ville[30],[31],[32],[33],[34],[35]. L'Abbatiale St Pierre est un élément très important de ce patrimoine.Elle est en majeure partie gothique même si le clocher a été rebâti au XVIIIe siècle. À l’intérieur, de belles décorations de marbres du XVIIe siècle décorent le chœur orné d’un retable monumental, spécialement conçu pour l’exposition des châsses de reliques[36]. À droite du chœur, se trouve la statue de Notre-Dame-du-Trésor datant du XIe siècle. Au-dessous du chœur, une crypte composée de trois chapelles date du XIe siècle. Dans la première chapelle se trouvent différents sarcophages. Dans la galerie centrale de la crypte, les voûtes d’arêtes reposent sur des colonnes monolithes. Dans la troisième enfin, fermée au public, on a retrouvé des peintures murales médiévales. L’église a été récemment rénovée ainsi que son orgue.

  • L’ancienne horloge de l’abbatiale a été installée en 1855 par Jean-Baptiste Schwilgué, l’auteur de la troisième horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg. Elle a été motorisée vers 1950, puis remplacée. Vers 1989 elle a été restaurée par l’entreprise Sonorest de Colmar, mais pas dans son état d’origine (le rouage de mouvement n’a pas été reconstitué et l’horloge est présentée au musée Charles-de-Bruyères avec ses différentes parties déconnectées, du fait de l’utilisation de trois cloches de verre distinctes). Il s’agit vraisemblablement de la dernière grande horloge de Schwilgué.
  • Grand Orgue de l'église abbatiale[37],[38],[39], et l'orgue de chœur[40].
  • Accolé à l’église, l’ancien palais abbatial, de style classique, édifié par l’abbesse Anne Charlotte de Lorraine, fille du duc Léopold Ier, présente une belle façade. Aujourd’hui, ce palais abrite l’hôtel de ville de la commune.Il a également abrité le Tribunal d'Instance de Remiremont jusqu'en fin 2009. L’ensemble des façades et toitures, sol de la cour, sol du jardin et sol du passage jusqu’aux murs de l’église ont été inscrits sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques le 31 mai 1965.
  • Il subsiste encore une douzaine de maisons de chanoinesses[41] des XVIIe et XVIIIe siècles dans le quartier de l’église et du palais.
  • Notons aussi que les armes de l’abbaye de Remiremont figurant sur le fronton du Cheval Blanc à Wintzenheim rappellent que les dames chanoinesses possédaient là une cour colongère[42].
  • La rue principale de la ville est la rue Charles-De-Gaulle. Cette rue possède de nombreuses arcades, aux piliers fleuris de géraniums, témoins de l’urbanisme du XVIIIe siècle.
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  • Le musée municipal Charles-de-Bruyères expose l’histoire de Remiremont, l’artisanat lorrain : mobilier, verreries, faïences, dentelles, cires habillées. Il y a notamment des manuscrits précieux, des tentures peintes, des sculptures gothiques provenant de l’ancienne abbaye, des faïences du XVIIIe siècle, des peintures hollandaises du XVIIe siècle et des peintures françaises du XIXe siècle.
  • La maison-musée Charles Friry se situe dans un ancien hôtel des chanoinesses proche de l’église. Le musée possède des collections de documents, statues, objets d’art, hérités des Dames de Remiremont ou se rapportant à l’histoire locale et de la région. Il y a également de nombreuses peintures des XVIIe et XVIIIe siècles, des gravures et des pièces de mobilier, d’époques et de provenances diverses. La plus belle œuvre d’art du musée est Le Veilleur à la sacoche peint par Georges de La Tour. Ces anciennes salles d'habitation ont conservé leurs décorations du XIXe siècle. Dans le jardin du musée, qui reconstitue en partie le « Grand Jardin » de l’abbaye, on trouve deux fontaines ornementales et quelques autres vestiges anciens.
  • L’hôpital-hospice Sainte-Béatrix (détruit), du 1er quart XVIIIe siècle, dont il subsiste des éléments inscrits à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques (portail, niche et statue) et qui a conservé ses pots à pharmacie.
  • La statue du Volontaire de 1792, une œuvre du sculpteur Paul-François Choppin.
  • Dix fontaines de grande qualité artistique :
    • Deux fontaines, la fontaine de Neptune et celle d’Amphitrite, classées par arrêté du 20 décembre 1966. Celles-ci faisaient partie de l’ancien jardin des chanoinesses de l’abbaye.
    • Huit fontaines du XIXe siècle, la fontaine des Dauphins de 1818, les fontaines de la rue Xavée, de la rue Maucervelle et de la place de Mesdames de 1828, les fontaines des Capucins et à deux bassins de 1829, la fontaine du Cygne de 1845-1852 et la fontaine du jardin des Olives du troisième quart du XIXe siècle.
  • La chapelle de la Madeleine des XVIIe et XVIIIe siècles, dans un site de qualité à cheval sur les communes de Remiremont et Saint-Étienne-lès-Remiremont, inscrit par arrêté du 24 janvier 1944, et qui a servi de léproserie[43]. La chapelle a été inscrite sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 16 juillet 1991[44],[45].
  • Les nombreuses croix sur la commune[46].
  • Temple protestant[47]
  • Synagogue inaugurée en 1873, au bout de l'avenue Sadi Carnot, démolie un siècle après sa construction[48],[49], elle se trouvait à la place occupée aujourd'hui par la Résidence l'Empereur.
  • Le cimetière juif, fondé vers 1830, accueille également les défunts des familles du Thillot.
  • Le monument aux morts[50], la plaque commémorative[51], la plaque commémorative à la mémoire des agents de la SNCF victimes de la guerre[52], les tombes militaires[53] et le carré de corps restitués[54] témoignent du lourd tribu des romarimontains aux différents conflits mondiaux.
  • Les sites naturels et paysagers[55].

Timbres de France[modifier | modifier le code]

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Une médiathèque intercommunale a été ouverte en mai 2009, et possède des antennes dans les communes voisines. Une crèche a déjà ouvert ses portes auparavant dans la même enceinte, ancienne école de Maxonrupt.

La ville possède également un service d'Archives municipales ouvert au public depuis octobre 2011.

Spécialités culinaires[modifier | modifier le code]

  • La nonnette de Remiremont : ce petit gâteau au pain d'épices légèrement bombé et glacé, existe depuis des temps immémoriaux. Son origine reste floue, mais il est acquis qu’elle existait déjà au temps des chanoinesses. En 1751, le chef d’office du duc Stanislas mentionnait l’existence à Remiremont de pains d'épices parfumés. Ce n'est pourtant qu’au début du XXe siècle, que la nonnette a acquis ses lettres de noblesse. À la belle époque, elle était vendue dans de nombreuses épiceries fines et se savourait avec régal dans les salons bourgeois de Paris.
  • La loriquette : on confectionnait autrefois des pâtisseries traditionnelles au mois de décembre, qui portaient à Lunéville, le nom de loriquette. Ce gâteau, d'origine païenne, serait un vestige de l'ancien culte lunaire. Les Gaulois servaient, lors des repas rituels, ces friandises de forme triangulaire, pétris de lait, de farine et de miel. La loriquette est encore fabriquée de nos jours à Remiremont.
  • Le pâté de truite des abbesses : à base de filets de truite marinés au vin blanc.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Natifs de Remiremont[modifier | modifier le code]

Sidonie Baba, née à Remiremont en 1905.
  • Alix Le Clerc (1576-1622), religieuse lorraine, fondatrice des Chanoinesses de Saint-Augustin.
  • Jean-Baptiste Noël (1727-1793), dernier grand chancelier du chapitre de Remiremont, député à la Convention nationale.
  • Calixte Deslon (1747-1819), officier français connu pour sa participation à l’affaire de Varennes.Né et mort à Remiremeont, maire de Remiremont.
  • Abbé Bexon (1748-1784), naturaliste français.
  • Charles Deslon (1750-1786), médecin, frère de Calixte Deslon.
  • Paul Hadol (1835-1875), caricaturiste, illustrateur et affichiste.
  • Léonce Lex (1859-1926), archiviste.
  • Pierre Waidmann (1860-1937), artiste français, peintre romancier, essayiste, critique d'art et journaliste.
  • Jean Rodhain (1900-1977), prêtre catholique, premier secrétaire général du Secours catholique.
  • Sidonie Baba (1905-1973), chanteuse de music-hall et de cabaret, journaliste et poète.
  • Paul Delouvrier (1914-1995), haut fonctionnaire.
  • François Grégoire (1914-1973), ingénieur de formation, puis professeur de lettres et essayiste français.
  • André Wogenscky (1916-2004), architecte français, disciple de Le Corbusier.
  • Jacques Delacôte (16 août 1942), chef d'orchestre[65].
  • Michel Chabrier (1948-2010), athlète spécialiste du lancer du disque.
  • René Aubry, musicien, né le 13.12.1956[66].
Julien Absalon.

Personnages célèbres[modifier | modifier le code]

  • François Andreu (1686-1748), prêtre, écolâtre et bibliophile, fondateur de la bibliothèque de Remiremont où il est mort.
  • Ferdinand Daniel Marx (1761-1839), général des armées de la République et de l'Empire, mort à Remiremont.
  • Clément Serveau (1886-1972), peintre, dessinateur, graveur et illustrateur français. Il se marie à Remiremont et y habite.
  • Jean Montémont (1913-1959), peintre lorrain, élève de Victor Prouvé, mort à Remiremont[67].
  • Pierre Bastien (médecin) (1924-2006), médecin, mort à Remiremont.
  • Emmanuelle Riva (1927), actrice. Enfant, elle participe à une petite troupe amateur de Remiremont.
  • Christian Poncelet (1928), député-maire de Remiremont puis président du Sénat.
  • Chantal Goya (1942), actrice et chanteuse. Née en Indochine d'un père vosgien et d'une mère pyrénéenne, Chantal de Guerre rentre en France à l'âge de quatre ans et s'installe avec sa famille à Remiremont où ses grands-parents dirigent la Filature de la Moselle. Elle habite ensuite Paris où elle fait sa scolarité chez les Chanoinesses de Saint-Augustin, congrégation fondée par la Romarimontaine Alix Le Clerc.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De gueules, à deux clefs d’argent en sautoir[68].
Commentaires : Les clefs, emblèmes de saint Pierre, évoquent les deux monastères qui lui étaient dédiées. Les clefs en sautoir peuvent aussi rappeler l’autorité spirituelle du pape, sous laquelle étaient placées les chanoinesses.
Ancy-le-Franc et les ducs de Clermont-Tonnerre ont un blason similaire.
Ce blason est sur la locomotive électrique BB 26088 depuis le 24 novembre 1992.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Archives départementales des Vosges Série H, Clergé régulier avant 1790, Répertoire numérique détaillé établi par André Philippe, archiviste départemental (1905-1937), présenté par Raymonde Florence, Epinal 1924 / 2004 : p. 137 à 181 : 7 H Prieuré du Saint-Mont : Les archives sont importantes ; elles sont riches notamment pour quelques localités telles que Bayon, Dommartin-lès-Remiremont (depuis le XIIIe siècle), Saint-Amé (depuis le XIVe siècle), et Saint-Étienne-lès-Remiremont (depuis le XIIIe siècle). Biens du prieuré (Sommaire du fond VII H : p. 141) : *Bayon, La Bresse et Biffontaine ; *Dommartin-lès-Remiremont ; *Éloyes et Laveline-du-Houx ; *Ramonchamp et Rancourt ; *Remiremont ; *Rupt ; *Saint-Amé ; *Saint-Étienne ; *Saint-Nabord, Le Thillot et Vagney ; *Les Vallois et Chaillon (Meuse) ; *Divers
  • Chapitre de Remiremont (Clergé séculier). Type d'archives, Archives Anciennes. Voir documents : Sous-série 12 G Inventaire provisoire à consulter sur place
  • J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont,‎
    dépôt légal n°28 ; Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : * Chapitre 1 : Les Temps Premiers, * Chapitre 2 : Le Monastère sur la montagne, * Chapitre 3 : Les Translations dans la Vallée, * Chapitre 4 : Une Royauté Féminine, * Chapitre 5 : Madame l’Abbesse Princesse d’Empire, * Chapitre 6 : Les Hauts Dignitaires, * Chapitre 7 : Les Dames Officières, * Chapitre 8 : Les Dames Chanoinesses, * Chapitre 9 : La Vie des Chanoinesses, * Chapitre 10 : Petites Histoires d’une Noble Abbaye, * Chapitre 11 : L’Administration Temporelle, * Chapitre 12 : Le Palais Abbatial, * Chapitre 13 : Le Serment de la Franche Pierre, * Chapitre 14 : L’Eglise Abbatiale Saint Pierre, * Chapitre 15 : Les kyriolés, * Chapitre 16 : Malheurs, Guerres et Catastrophes, * Chapitre 17 : L’Organisation Judiciaire, * Chapitre 18 : La Contestation et la Discorde, * Chapitre 19 : Les Institutions Municipales, * Chapitre 20 : La Fin
  • L’œuvre architecturale des chanoinesses de Remiremont : un chapitre de Dames nobles dans le rôle de commanditaire", in Bâtir au féminin ? Traditions et stratégies en Europe et dans l’Empire ottoman, ss la dir. S. Frommel et J. Dumas avec la collab. R. Tassin, Paris, Picard, 2013, p. 249-262.
  • Index des noms de famille dans les ouvrages de Jean-Marie Thiebaud, Chanoinesses-comtesses de Remiremont
  • « Saint Romary, étude sur la question de son mariage et de sa donation » (article du chanoine André Laurent in Bulletin de la Société philomatique vosgienne, 1902, p. 159-266)
  • Ils sont nos aïeux … les saints de chez nous, Saint-Dié,‎ , 261 p.[69]
  • Sébastien Valdenaire, Registre des choses mémorables de l’église Saint Pierre de Remiremont, Bibliothèque municipale de Nancy
    MS 576 (10), 244 fol.
  • Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d’Europe. Actes du colloque « Religions et montagnes », Tarbes,‎ , 427 p. (ISBN 2-85944-516-1)
    Actes du colloque "Religion et montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002 / textes réunis et publiés par Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaître. Page 109 à 119, par Marie-Hélène Colin – Université de Nancy 2 : Des saints vosgiens de la montagne ? Amé, Romaric et Claire p 109; Le Saint-Mont : un haut lieu p 110; Des saints vosgiens de la montagne ? p 111; Le « discours » sur les saints p 112; Des saints vosgiens de la montagne ? p 113; Le culte des saints du Saint-Mont p 113; Les Kyrolés p 116; Carte : les saints du Saint-Mont p 119
  • L’Obituaire du Saint-Mont (1406), Gabriel Bucelin, Aquarelle, 1665. Le Saint-Mont (Éditions en ligne de l' École des chartes (ELEC)[70].
Le saint Mont ou mont Habend en 1665
  • René Dinkel, L'Encyclopédie du patrimoine (Monuments historiques, Patrimoine bâti et naturel - Protection, restauration, réglementation. Doctrines - Techniques - Pratiques), Paris, éditions Les Encyclopédies du patrimoine,‎ , 1512 p. (ISBN 2-911200-00-4)
    Chapitre V page 137 : Fig.V3 Source ancienne extraite de l’ouvrage. Pour les monuments religieux, on peut citer des ouvrages comme celui du Père bénédictin Gabriel Bucelin (1599-1681. Durant ses voyages il a réalisé un journal agrémenté de dessins d’abbayes. Celles-ci sont conservées à la bibliothèque du Land de Baden-Württemberg à Stuttgart (mss HB V 15 a). Il fut prieur de Saint-Jean de Feldkirch (province du Vorarlberg, Autriche), qui dépendait de l’abbaye de Weingarten. Traduction de la légende du dessin (en latin du XVIIe en haut et à gauche de l’illustration) : Le mont Saint-Romaric, communément désigné « Saint-Mont », situé à 683 mètres d’altitude, au-dessus de la ville forte du même nom appelée Remiremont, est un monastère de l’ordre de Saint-Benoît, relevé de ses ruines dans un site très élevé et remarquable).
  • Charles Kraemer[71], Le Peuplement des Vallées de Haute Moselle et de Moselotte au Haut Moyen Âge,‎ , 15 p.
    Conférence de la Société d'Histoire Locale
  • Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise,‎ , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X)
    1 - Présentation des orgues de l’église Notre-Dame, ancienne abbatiale Saint-Pierre (Grand-orgue et orgue de chœur) de Remiremont : pages 503 à 511. 2 - Présentation de l’orgue de salon réalisé en 1976 par Christian Guerrier à Remiremont, pp. 654-655
  • Catalogue des manuscrits conservés : Prieuré du Saint-Mont
  • Remiremont et ses environs, 168 pages, par P. Waidmann
  • Archives départementales des Vosges : Liens utiles Direction régionale des Affaires culturelles de Lorraine, Service Régional de l’Archéologie de Lorraine ; Service régional de l’Inventaire de Lorraine ; Centre de Documentation du Patrimoine ; Base « Généalogie des Vosges en ligne » ; Conservation régionale des Monuments historiques de Lorraine ; Service territorial de l’Architecture et du Patrimoine des Vosges ; Conservation départementale des antiquités et objets d’art, Base « Mérimée » (ministère de la Culture) : édifices; Base « Palissy » (ministère de la Culture) : objets mobiliers classés…
  • Voies antiques dans le Département des Vosges, par Maud’heux père, Ruines et vestiges :no 6 Voie de la Moselle, p. 5, La pierre Kerlinkin ; no 9 Voie de Remiremont à Luxeuil, p. 8 ; no 10 Voie dite de la Tranchée des Dames de Remiremont à Gorhey, p. 8 et 9
  • La libération des Vosges racontée par ceux qui l'ont vécue, Automne 44 – Hiver 45, Les Cahiers de la Liberté de l'Est,‎ , 112 p.
    Les communes martyres : Trois jours pour libérer Remiremont, p. 81
  • Michel Hérold, Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Paris, CNRS Editions,‎ , 329 p. (ISBN 2-271-05154-1)
    Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et richesses artistiques de la France, Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, p. 127 Remiremont, Musée Friry

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
  2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Liste des masses d'eau superficielles et des masses d'eau souterraine de la commune de Remiremont
  2. Référentiel points d’eau de Remiremont : Nature du point d'eau : Affleurement d'eau, Cavité souterraine, Drain, Forage, Nature inconnue, Perte, Piézomètre, Puits, Source : 03762X0009/F- 03762X0033/HY - 03762X0034/HY - 03762X0036/HY - 03762X0081/HY - 03763X0015/HY - 03763X0020/HY -03763X0022/HY
  3. Le Pont le Prieur
  4. Le Pont le Prieur, reconstruit en 1873
  5. Le pont le Prieur-La Moselle
  6. Le nouveau pont sur la rivière
  7. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
  8. Laurent Martino, Histoire chronologique de la Lorraine. Éditions Place Stanislas, 2009, (ISBN 978-2-35578-0318-7[à vérifier : ISBN invalide]), page 34
  9. L'histoire de la Lorraine et des Vosges, Histoire des Vosges : La domination franque (496-925) : d) (…) « L'Irlandais Colomban, d'abord établi au pied des Vosges, fonda en 590 le monastère de Luxeuil; Saint Amatus, et un disciple de Colomban, saint Romary, bâtirent deux abbayes sur le Saint-Mont, à Habendum (origine de Remiremont) » (Extrait de " Le Département des Vosges à travers les Âges " par Albert TROUX, Agrégé d'histoire. Édité vers 1930)
  10. L’histoire de Remiremont
  11. Habendum le Saint Mont, La montagne des quatre saints : le monastère du Saint Mont.
  12. Michel de Montaigne, Journal de voyage Journal de voyage
  13. Louis Mayeul-Chaudon, Dictionnaire universel, historique, critique, et bibliographique, ed. Mame frères, 1812.
  14. Histoire de Lorraine, Auguste Digot, éd. Vagner, 1856
  15. Histoire de Fontenoy, Abbé C. Olivier, Annales de la Société d'émulation du département des Vosges, 1894, p. 1-440,consultable intégralement sur Gallica
  16. Mémoires d'Henri de Beauvau, 1691, éd. de Cologne
  17. Les juifs à Remiremont
  18. Cartes Postales Anciennes des Vosges : Le Pays de Remiremont : La synagogue
  19. Et 24 personnes nées à Remiremont, sont mortes en déportation
  20. Répertoire numérique détaillé, Archives municipales de Remiremont 5 H, Faits de guerre (an II-1962)
  21. Les comptes de la Commune de Remiremont et : Les Comptes de la commune, Analyse des équilibres financiers fondamentaux
  22. Le budget et la fiscalité de Remiremont
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2012.
  25. Remiremont illuminations
  26. Le plan d’occupation des sols, qui a précédé l’institution d’un Plan local d’urbanisme indiquait, pour la zone « Noirgueux », au chapitre III du Règlement applicable à la zone III NA (Caractère de la zone III NA) « Zone naturelle non équipée, destinée à une urbanisation ultérieure dans le cadre de l’aménagement d’un plan d’eau et des équipements sportifs, touristiques et en général de loisirs qui y sont liés. L’aménagement de la zone III NA sera possible dans le cadre d’une ZAC ou, à défaut, dès la réalisation après modification du POS d’opérations s’inscrivant dans un plan d’aménagement d’ensemble »"
  27. Argumentaire produit au commissaire enquêteur, dans le cadre de l'enquête publique pour la révision d'un plan local d'urbanisme d'une des communes concernées (Saint-Étienne-lès-Remiremont) : Commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont, Enquête publique sur la révision du Plan local d’urbanisme (2e révision) : Contestation, le 05 février 2008, de certaines orientations du projet de PLU et de l’absence de consultation des instances intercommunales pour les projets liés à la zone de la Moselle. Extrait du rapport du commissaire enquêteur Claude Pierret, 21 mars 2008, p. 15 « Suite au développement de l’argumentaire sur le bien-fondé de projet de lac de « Noirgueux », ses atouts ; le bénéfice à en espérer (…) M. le maire de Saint-Étienne-lès-Remiremont que j’ai interrogé sur ce projet, m’a averti que par délibération du conseil municipal de Saint-Nabord, celui-ci a entériné l’abandon de ce dossier intercommunal. Ceci est également rappelé page 65 du rapport de présentation, point 4,4. »
  28. Gosselin - 1718 - Histoire des Ordres monastiques
  29. Liste des servitudes : Monuments historiques, Sites protégés au titre du Code de l’environnement, ZPPAUP, Secteur sauvegardé, Département des Vosges, Mise à jour novembre 2011 : Patrimoine de Remiremont
  30. Le patrimoine architectural et mobilier de la commune de Remiremont sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de Petit, Charles Hurault, Estève, Lucien Roy, Roger Parry, Jean Gourbeix, Malesset, Paul Lancrenon, et service de l'inventaire général de la Région Lorraine
  31. Remiremont : Bases Mérimée, Palissy, Mémoire, ArchiDoc. sur le site officiel du ministère français de la Culture
  32. Édifices protégés au titre des MH : Remiremont
  33. La protection des éléments de l’ancienne église abbatiale de Remiremont :* L’abbatiale Saint-Pierre est l’église de Remiremont, protégée avec sa crypte au titre de la loi du 31 décembre 1913 sur les monuments historiques
  34. Code du patrimoine
  35. La protection des éléments de l’ancienne église abbatiale de Remiremont :
    • Arrêté du 20 juillet 1908 de classement au titre des Monuments Historiques de la crypte de l’ancienne église abbatiale
    • Arrêté du 16 février 1926 d'inscription à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques du portail nord de l’ancienne église abbatiale
    • Arrêté du 31 mai 1965 d'inscription à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques des parties suivantes de l’ancien palais abbatial de Remiremont : l’ensemble des façades et des toitures ; le sol de la cour, du jardin et du passage jusqu’aux murs de l’église
    • Arrêté du 29 décembre 1983 de classement au titre des Monuments Historiques, en totalité, y compris la crypte, de l’ancienne église abbatiale (actuelle église paroissiale)
  36. Sainte Claire, sainte du saint Mont : Les restes des reliques qu’on a pu sauver ont été rassemblés, pour être exposés, après la tourmente, sur l’autel majeur de Remiremont, aux côtés de ceux des Saints Romary, Amé, Adelphe et de Sainte Gebétrude. À la suite de l’incendie de 1886, on refit de nouvelles châsses en bois doré et celle de Sainte Claire fut offerte par deux Romarimontains, Charles de Bruyères et sa sœur Alexandrine. Elle figure aujourd’hui dans l’alvéole surmontant le portique de gauche.
  37. Site sur les orgues du Département des Vosges : Page sur l'orgue de l’abbatiale de Remiremont
  38. Remiremont, église Notre-Dame (Grand-Orgue)
  39. Le buffet d'orgue d’origine de l'église abbatiale Saint-Pierre des Chanoinesses de Remiremont a été acheté par Bar-sur-Aube en 1845
  40. Remiremont, église Notre-Dame (Orgue de chœur)
  41. J.J. Bammert, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, prix Erckmann-Chatrian, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont, 4e trimestre 1971.
  42. Article : Vosges / De surprenantes religieuses - Ces dames de Remiremont — « Patrimoine : le Petit Journal illustré», revue de presse réalisée par Guy Frank pour le compte de la Société d’histoire de Wintzenheim.
  43. J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont,‎
    dépôt légal n°28 ; Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 16 : Malheurs, Guerres et catastrophes, Les Grandes Epidémies
  44. « Notice no PA00107345 », base Mérimée, ministère français de la Culture Ancienne chapelle de léproserie
  45. Michel Hérold, Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d’Alsace, Corpus vitrearum Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Paris, CNRS Éditions,‎ , 330 p. (ISBN 2-271-05154-1)
    Chapelle de l’ancienne léproserie de la Magdeleine-lès-Remiremont, pp. 126-127, Fig. 122 Edifice composite des XIIIe, XIVe et XVe siècles Dans la baie d’axe sont montés divers éléments du XVIe siècle dont l’origine exacte n’est pas bien connue. Bernard Puton, Bulletin de la Société philomatique vosgienne, 1903-1904, p. 410-411. Le vitrail en Lorraine, 1983, p. 325
  46. Les croix sur la commune et communes environnantes
  47. Remiremont, église réformée
  48. Synagogue
  49. Les juifs dans les Vosges, par Gilles GRIVEL
  50. Monument aux morts
  51. Plaque commémorative
  52. Plaque commémorative à la mémoire des agents de la SNCF victimes de la guerre
  53. Tombes militaires
  54. Carré de corps restitués
  55. Les sites inscrits à Remiremont :
    • 4 à 27 et 7 à 65 Grande Rue, Maisons dite "les Grandes et les Petites Arcades", façades et toitures
    • Chapelle de la Madeleine et ses abords
    • Places de l’Église, de l’Abbaye et de Mesdames
    • Promenade du Calvaire
  56. Les journées ou fêtes du timbre organisées dans la ville de Remiremont (Vosges) : 060 Journée du timbre 9 mars 1974 (3,50 ) ; 077 Journée du timbre 8 mars 1980 (3,50) ; 224 1er Jour du timbre "Remiremont" 13 mai 1995 (5,00) ; 342 TGV Est Européen REMIREMONT 9 juin 2007 (4,00) ; 374 Le Club Philatélique a 40 ans 15 octobre 2011 (5,00)
  57. Yvert et Tellier, no 2955, Sourde philatélie : timbres France [1]
  58. Sourde philatélie : Premier jour a Fontaine du Cygne, implantée vers 1828
  59. [2]
  60. Raymond Coatantiec (ses réalisations dont le timbre de 1995 de Remiremont)
  61. Arts plastiques. Raymond Coatantiec tire sa révérence
  62. Timbre représentant la rue des arcades et la statue du « Volontaire de 1792 »
  63. Timbre : 1995 Remiremont Vosges
  64. Remiremont
  65. Jean-Marc Toussaint, 100 portraits d’hommes et de femmes qui réussissent en dehors des Vosges, Strasbourg, Les cahiers de La Liberté de l'Est. Une réalisation des Editions La Nuée Bleue,‎ , 144 p.
    Numéro 3. jacques Delacôte,, La baguete magique, pp. 128 à 131
  66. Jean-Marc Toussaint, 100 portraits d’hommes et de femmes qui réussissent en dehors des Vosges, Strasbourg, Les cahiers de La Liberté de l'Est. Une réalisation des Editions La Nuée Bleue,‎ , 144 p.
    Numéro 3. René Aubry, la voix de l'instrumental, pp. 46 à 49
  67. Dictionnaire des Vosgiens célèbres : Jean Montémont
  68. Malte-Brun, La France illustrée, tome V, 1884.
  69. Les Saints(es) et Bienheureux(ses) vosgien(ne)s. Selon un ordre chronologique, les biographies de nos aïeux dans la foi, d’après l’ouvrage du Chanoine André Laurent publié en 1979
  70. Gabriel Bucelin
  71. Henri Gaillard de Sémainville, Jacques Guillaumes, Édith Peytremann dir., L’Austrasie. Sociétés, économies, territoires, christianisation. Actes des XXVIes Journées internationales d’archéologie mérovingienne, Nancy, 22-25 sept. 2005 - 11 (Extrait) Michèle Gaillard aborde la question des déplacements de sites de certains monastères « lorrains » au haut Moyen Âge, plus précisément Remiremont et Saint-Mihiel, déplacements qu’elle attribue à un changement de la conception de la vie monastique, qui passe sous la protection du souverain. Charles Kraemer s’intéresse à l’un de ces deux sites, celui du Saint-Mont, près de Remiremont, un site de hauteur vosgien, ayant été fortifié avant d’accueillir un monastère au VIIe s., sur lequel il a conduit des fouilles. Un bilan précis et cartographié des données archéologiques et toponymiques disponibles permet à l’auteur de montrer que les alentours étaient peuplés depuis l’Antiquité et que le monastère n’a sans doute pas été fondé dans un désert.