Palestine

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31° 37′ 31″ N 35° 08′ 43″ E / 31.625321, 35.145264

Vue d'une partie de Jérusalem et du « Dôme », ou « Coupole », du Rocher, en 2008.

Palestine (en latin : Palaestina, dérivé du grec ancien Παλεστίνα / Palestína ; en arabe : فلسطين / Falistīn et en hébreu : פלשתינה / Palestina) est un nom attesté depuis Hérodote pour désigner la région historique et géographique du Proche-Orient située entre la mer Méditerranée et le désert à l'est du Jourdain et au nord du Sinaï[1].

La zone n'est pas clairement définie. Elle est centrée sur les régions de la Galilée, de la Samarie et de la Judée. Ses limites sont au nord la Phénicie et le mont Liban et au sud la Philistie et l'Idumée. À l'époque des croisades, le Pérée au nord-est de la mer Morte, la Batanée et la Décapole au-delà du Jourdain y étaient attachés. La région de Palestine correspond aux territoires aujourd'hui situés à l'ouest du Jourdain et inclut l'État d'Israël, les territoires palestiniens occupés, une partie du royaume de Jordanie, le Liban du Sud et le plateau du Golan[1],[2].

Dans les traditions juive et chrétienne, la Palestine est la région originaire du peuple juif, où vécurent Jésus-Christ et les premiers chrétiens. Dans ce contexte, elle est la Terre promise des juifs et la Terre sainte des chrétiens.

Histoire de l’utilisation du terme « Palestine »[modifier | modifier le code]

Dans la langue française, le terme « Palestine » est utilisé depuis plusieurs siècles pour désigner le territoire situé géographiquement entre la mer Méditerranée et le fleuve Jourdain.

Voici comment Pline l'Ancien traite, vers 77, de la Palestine, de la Judée et des contrées alentour dans le livre V de son Histoire naturelle [3] :

« (XIII.) Puis commencent l'Idumée et la Palestine à la sortie du lac Sirbon, qui a, d'après quelques-uns, 150 000 pas de tour. Hérodote (3, 5) l'a mis au pied du mont Casius ; maintenant c'est un marais de médiocre étendue. Villes : Rhinocolure, dans les terres ; Rhaphée ; Gaza, et dans les terres Anthédon ; le mont Argaris ; sur la côte, la Samarie ; la ville d'Ascalon, libre ; Azotus, les deux Jamnia, dont l'une est dans les terres ; Joppé, des Phéniciens, plus ancienne que le déluge, d'après la tradition ; elle est placée sur un coteau, et a devant elle un rocher où l'on montre les restes des chaînes d'Andromède. On y adore Céto, monstre fabuleux ; au-delà, Apollonie, la tour de Straton, autrement Césarée, fondée par le roi Hérode, maintenant appelée Prima Flavia, d'une colonie qui y a été établie par l'empereur Vespasien ; la limite de la Palestine, à 189 000 pas de la frontière d'Arabie ; puis commence la Phénicie. Dans l'intérieur de la Samarie, les villes de Néapolis, qui se nommait auparavant Mamortha, de Sébaste sur une montagne, et de Gamala sur une montagne plus haute. »

« XV. (XIV.) Au-delà de l'Idumée et de la Samarie s'étend la Judée dans un grand espace. La partie qui tient à la Syrie s'appelle Galilée; celle qui est voisine de l'Arabie et de l'Égypte s'appelle Pérée, parsemée d'âpres montages, et séparée par le Jourdain du reste de la Judée. La Judée même est divisée en dix toparchies, dans l'ordre suivant : celle de Jéricho, plantée de palmiers, arrosée de sources ; celle d'Emmaüm, celle de Lydda, celle de Joppé, celle d'Acrabatène, celle de Gophna (en), celle de Thamna, celle de Bethleptephe, celle d'Orine, où fut Jérusalem, la plus célèbre des villes non de la Judée seulement, mais de l'Orient ; celle d'Herodium, avec une ville illustre du même nom. »

Le terme « Palestine » dont l'étymologie remonte au mot « Philistins » et qui désigne la région de la Judée, provient des Romains qui renommèrent ce territoire de Provincia Judea en Syria Palæstina en 135, après la révolte de Bar Kokhba vaincu par l'empereur Hadrien, afin d'annihiler toute trace de vie juive au sein de cette partie du monde[4],[5]. Ce nom renvoie à celui d'un peuple dont la Bible place la capitale à Gaza ayant dominé la région jusqu'à la conquête assyrienne de Teglath-Phalasar III, les Philistins[6]. Par la même occasion, Jérusalem est rebaptisée Ælia Capitolina. L'usage géographique du terme désignait des territoires à l'ouest et à l'est du Jourdain. Les Romains désignèrent la région sous le nom de Palaestina prima (en) au sud et de Palaestina secunda (en) au nord. Durant l'époque des croisades, elle fut appelée « Terre sainte » par les croisés. Les Empires mamelouk et ottoman n'utilisaient le nom « Palestine » sous aucune forme, mais après la Première Guerre mondiale, les principales puissances alliées ont appliqué le nom au territoire du foyer national juif (en) (San Remo, 1920) sous mandat britannique (en).

Le nom « Palestine » perdure même s'il a pris un sens politique et a perdu une partie de sa neutralité, spécifiquement après la création de l'État d'Israël en 1948. Notamment, certains Israéliens ou Juifs perçoivent dans l'utilisation du terme « Palestine » un déni de l'existence effective de l'État d'Israël sur une partie de ce territoire, ou de sa légitimité sur cette même terre. Et le fait de désigner par « Palestine » un éventuel futur État arabe sur les territoires palestiniens occupés accroît cette confusion. Toutefois, la partie arabe continue d'appeler Palestine soit la région dans son intégralité, soit seulement la bande de Gaza et la Cisjordanie, tandis que le terme « Palestiniens » est adopté pour désigner les descendants des habitants de Palestine avant le début du conflit israélo-arabe, y compris souvent les habitants arabes de citoyenneté israélienne et les Juifs qui descendent des familles qui habitaient en Palestine bien avant les immigrations juives du XXe siècle.

En archéologie, on emploie le mot « Palestine » pour désigner l'ensemble de la région, indépendamment de l'époque que l'on considère (néolithique, âge du bronze, âge du fer). On emploie, avec le même sens, le mot « Palestiniens » pour désigner l'ensemble des populations de la région. On parle donc, en archéologie, de Syrie et de Palestine, de Syriens (en) et de Palestiniens. Le père dominicain Félix-Marie Abel, archéologue et géographe de l'École biblique de Jérusalem, écrit que le nom Palestine s'est étendu à l'époque d’Hérodote de la bande côtière habitée par les Philistins au pays habité par les Juifs : « Donc du territoire des Philistins, le nom de Palestine s'est étendu à tout l'arrière-pays qui forme la Syrie méridionale. Par un procédé familier aux anciens on appliquait au pays entier le nom de la peuplade la plus proche et la plus accessible... » C'est-à-dire que le nom Palestine était utilisé tout d'abord par des gens venant de l'Occident, par les Grecs.

Antiquité[modifier | modifier le code]

Zones approximatives d'influence des royaumes antiques de la région pendant l'âge du fer.
Découpage administratif de l'empire byzantin, suivant les limites des diocèses de Palaestina prima (en) et de Palaestina secunda (en) vers la fin du IVe siècle.

Le nom « Palestine », dérivé de celui des Philistins, vient de l’hébreu peleshet (פלשת), qui signifie « envahisseurs ». Peuple vivant, entre la fin de l'âge du bronze et le début de l'âge du fer, sur une partie de la bande côtière centrée autour de l'actuelle bande de Gaza, les Philistins sont mal connus, car ils n'utilisaient pas l'écriture. On dispose de références à ce peuple dans des documents égyptiens qui en font l'un des « Peuples de la mer » envahisseurs de l'Égypte sous Ramsès III et désignent par Peleset (P-l-s-t), Philistie, la région qu'ils habitent. Les Philistins et leur pays Peleshet (פלשת Pəléšeth) sont également mentionnés dans la Bible qui parle aussi de « Cananéens » à la fois antérieurs et voisins par rapport aux « Philistins » : selon le texte, les Hébreux étaient régulièrement en guerre avec ce peuple dont les principales villes étaient Ashdod, Ashkelon, Éqron, Gath et Gaza. Toutefois le mot « Palestine » n'apparaît jamais dans la Torah et la Bible, qu'il s'agisse de l'Ancien ou du Nouveau Testament. L'existence d'un lien historique entre les Philistins et les Palestiniens est contestée[7],[8].

Dans les textes non bibliques, le terme de « Palestine » (Palaïstinê) apparaît pour la première fois sous la plume de l'historien grec Hérodote, au Ve siècle av. J.-C. sous le nom de Παλαιστίνη Συρία « Syrie de Palestine » (Histoires, 1.105 ; 2.104 ; etc.)[9],[10]. Ptolémée et, plus tard, en latin, Pline l'Ancien, parlent également de « Palestine », toujours en lien avec le terme de « Syrie ».

Sous la domination romaine, la deuxième révolte juive (132-135) aboutit à l'expulsion des juifs de Jérusalem par Hadrien. Jérusalem est nommée Ælia Capitolina et la région est intégrée dans la province de « Syrie-Palestine », (Syria Palæstina), nouvelle dénomination, calquée sur le grec, de ce qui était auparavant appelé en latin, « Syrie Judée » ou « Syrie juive »[11]

Vers 390, le terme de « Palestine » est à nouveau utilisé pour nommer les trois subdivisions administratives du territoire romain de la Palestine :

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Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Les Arabes, qui ont conquis la Palestine sur les Byzantins dans les années 630, divisent la province d'al-Sham en cinq districts (jund), dont l'un garde le nom de « Palestine » (فلسطين, Filastīn) et s'étend du Sinaï jusqu'à Akko (connue par les Chrétiens sous le nom de Saint-Jean-d'Acre) ; son chef-lieu est d'abord Ludd (Lydda, Lod) puis, dès 717, ar-Ramlah (Ramla) et plus tard Jérusalem. Les autres villes les plus importantes sont Rafah, Gaza, Jaffa, Césarée, Naplouse et Jéricho. Ce district de « Palestine » était bordé au nord et à l'est par celui de « Jordanie », al-Urdunn, qui avait pour capitale Tibériade et incluait Akko et Tyr. Les frontières entre ces deux districts ont plusieurs fois varié au cours de l'histoire. À partir du Xe siècle, cette division a commencé à tomber en désuétude, pour faire place finalement au royaume chrétien de Jérusalem.

Sous le gouvernement des Croisés, est fondé en 1099, le royaume latin de Jérusalem ; Jérusalem redevient capitale d'un État. Après la défaite et le départ des Croisés, aux XIIe et XIIIe siècles, les jund (districts) arabo-musulmans sont réintroduits, mais leurs frontières sont sans cesse redéfinies. Les Mamelouks puis les Turcs dominent la Palestine jusqu'en 1917. À la fin du XIIIe siècle, la « Syrie » est divisée en neuf « royaumes », dont les royaumes de Gaza (avec Ascalon et Hébron), Karak (avec Jaffa), Safed (avec Acre, Tyr et Sidon) et Damas (avec Jérusalem). Au milieu du XIVe siècle, le système des districts est réinstauré et Filastin redevient le nom officiel d'un district ayant pour chef-lieu Jérusalem (avec les villes de Ramla, Ascalon, Hébron, Naplouse). Tibériade est le chef-lieu d'un autre district, celui d'« Hauran ».

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Avant 1948, le terme « Palestine » est également utilisé par les organisations sionistes (Agence juive pour la Palestine[13], Banka Palestina, Association France-Palestine[14], le journal The Palestine Postetc.). En effet, les juifs parlaient alors d’émigration vers la Palestine, de créer un État juif en Palestine, etc. Le mot Palestine désignait alors dans leur bouche un espace géographique et non un espace politique. Dès 1948, le terme est tombé en désuétude dans les milieux sionistes et a été remplacé par Israël (Agence juive pour Israël, Banka Léoumi ce qui signifie nationale, Association France-Israël, le journal The Jerusalem Postetc.)[15],[16].

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Histoire de la région[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Histoire de la Palestine et Histoire d'Israël.

Charnière entre la vallée du Nil et la « terre entre les fleuves » (Mésopotamie), la région de la Palestine est habitée depuis des millénaires et a connu la présence et le brassage de nombreux peuples et la domination de nombreux empires : Cananéens, Hébreux/Juifs, Assyriens, Perses, Grecs, Romains, Byzantins, Arabes, Croisés, Ottomans et Britanniques.

Quelques étapes importantes[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Frontières de la Palestine mandataire en 1922.

Au cours de la Première Guerre mondiale, les Britanniques conquièrent sur l’Empire ottoman une bande de territoire limitée au sud par la ligne Aqaba à Bassora et au nord par la ligne Acre à Damas et à Mossoul.

La Grande-Bretagne occupe la région à partir de 1917 et l'administre de 1923 à 1948 dans le cadre d'un mandat de la Société des Nations. En 1920, lors de la Conférence de San Remo[17] et dans le mandat donné aux Britanniques sur la Palestine en 1922[18], les alliés redéfinissent les frontières de la région en la scindant en quatre mandats dont celui de Palestine qui comprend les territoires situés entre la mer Méditerranée et le désert de Syrie, territoires correspondant aujourd’hui à Israël, à la Cisjordanie, à la bande de Gaza et à la Jordanie. En 1923, lors de l’officialisation du mandat sur la Palestine, et avec la volonté de respecter les promesses formulées envers Hussein ibn Ali et le mouvement sioniste, les Britanniques scindent la région en deux parties : la « Palestine » à l'ouest du Jourdain, destinée à accueillir un « foyer national juif » tout en respectant les droits de la population locale et l’« Émirat hachémite de Transjordanie » à l'est.

Le , l'Assemblée générale des Nations unies vote le partage de la Palestine entre un État juif, un État arabe et fait de Jérusalem et de sa région une ville internationale. La guerre éclate le lendemain entre juifs et arabes de Palestine. Le 15 mai 1948, l'État juif déclare son indépendance sous le nom d'Israël avec la reconnaissance immédiate de jure des États-Unis et de l'URSS. Les États arabes voisins interviennent dans le conflit. Le , le Haut Comité arabe palestinien se réunit à Gaza et proclame la formation du gouvernement arabe de toute la Palestine mais sans reconnaissance internationale à l'exception de l'Égypte. À la fin de la guerre, Israël occupe les territoires qui lui ont été alloués par le plan de partage ainsi qu'une partie de l'État arabe se situant principalement dans le Néguev, la Galilée et autour de Jérusalem ainsi que Jérusalem-Ouest (en). Elle annexe l'ensemble. La Cisjordanie et Jérusalem-Est sont annexés par la Jordanie et la bande de Gaza est occupée et placée sous administration militaire égyptienne à la suite de l'armistice du [19]. Le , l'État d'Israël est admis comme État membre de l'ONU et devient membre de l'UNESCO le [20].

En mai 1965 est fondée l'Organisation de libération de la Palestine (OLP). L'Organisation obtient le statut d'observateur à l’Assemblée générale des Nations unies le [21]. Le , l'OLP déclare l'indépendance de l'État palestinien avec reconnaissance de 89 États les mois suivants ; l'ONU prend en compte cette déclaration.

Le le Hamas prend le contrôle par la force de la bande de Gaza dans le contexte du conflit Fatah-Hamas conduisant à la scission de facto de l’Autorité palestinienne en deux régimes politiques revendiquant être les véritables représentants du peuple palestinien. Le Fatah dirige l’Autorité palestinienne en Cisjordanie, le Hamas contrôle la bande de Gaza. Le , la délégation palestinienne acquiert le statut de mission permanente d’observation à l'UNESCO. Le 29 novembre 2012, l'État de Palestine est admis en tant qu'« État observateur non membre » à l'ONU[22]. Le vote de cette résolution a été acquis à une majorité de 138 voix pour, 9 contre et 41 abstentions. Le , la Suède est le premier membre de l'Union européenne à reconnaître l'État de Palestine. Le , l'ONU accepte la demande d'adhésion de l'État de Palestine à la Cour pénale internationale[23]. Le 1er avril 2015, l'État de Palestine devient officiellement le 123e État membre de la Cour pénale internationale [24],[25].

La région est le théâtre principal des conflits israélo-arabe et israélo-palestinien. Elle a connu plus de onze guerres ou insurrections civiles majeures : la guerre d'indépendance d'Israël (1948-1949), la crise du canal de Suez (1956), la guerre des Six Jours (1967), la guerre du Kippour (1973), la guerre du Liban (1982), la première Intifada (1988), la seconde Intifada (2000-2005), le conflit israélo-libanais de 2006, la guerre de Gaza de 2008-2009, l'opération de novembre 2012 et la guerre de Gaza de juillet-août 2014.

Géographie[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Démographie de la Palestine.

La population arabe, qui habitait en Palestine avant le début du conflit israélo-arabe[26],[27] a pris, dans l'histoire moderne, le nom de « peuple palestinien », en référence à cette appellation. En 1920 un rapport de la Société des Nations évalue la population globale à 700 000 personnes, dont 76 000 juifs[28]. En 1947 l'UNSCOP estime la population arabe à environ 1 200 000 personnes et la population juive à environ 600 000 personnes[29].

Une partie de la population est aujourd'hui israélienne, et comprend parmi elle, outre des Juifs et des Musulmans, des groupes de différentes confessions religieuses.

Terre de religions[modifier | modifier le code]

Terre promise et Terre sainte[30] du peuple juif, Terre sainte des chrétiens, terre sacrée de l'islam, la Palestine présente une importance majeure au sein des grandes religions monothéistes, le judaïsme, le christianisme, l'islam. Des lieux de culte et de vénération sont éparpillés sur tout ce territoire historique : Jérusalem, Hébron, Bethléem, Safed, Jéricho, Haïfa, le mont Carmel, Acre, le lac de Tibériade...

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (en) Definition of Palestine, The Palestine Exploration Fund (en), consulté le 4 avril 2008
  2. (en) Forji Amin George, « Is Palestine a State? », expertlaw.com, juin 2004.
  3. Pline l'Ancien, Histoire naturelle, traduction Émile Littré (1855), (lire en ligne sur le site mediterranees.net)
  4. (en)« Israel: Origins of the Name "Palestine" », Jewish Virtual Library (lire en ligne)
  5. « Palestinien », Étymologie, Trésor de la langue française informatisé (lire en ligne)
  6. Les Philistins bouchent les puits qu'Abraham avait creusés selon la Genèse, 26, 14-18. Ils dérobent l'Arche d'alliance, 1 Samuel, 4-7, Dalila et Goliath sont des Philistins.
  7. « La langue des Philistins », Interbible (lire en ligne)
  8. « D’où vient le mot Palestine ? », Dominique Mataillet, Jeune Afrique, 26 juillet 2004 (lire en ligne)
  9. Herodotus Book 1: Clio (100)
  10. Herodotus Book 2: Euterpe (100)
  11. « 117-138, Hadrien (Publius Ælius Hadrianus) », empereurs-romains.net (lire en ligne)
  12. (en) George Adam Smith, Atlas of the Historical Geography of the Holy Land, 1915 (lire en ligne)
  13. « Notes et études documentaires, Numéros 2901 à 2923 », sur Google Books, La Documentation française,‎ 1962.
  14. Fernand Corcos, « Le foyer national juif », sur Google Books, Jouve,‎ 1926.
  15. Frédéric Encel, Géopolitique du sionisme, Armand Colin, 2006 (ISBN 2200345429)
  16. « La question de Palestine portée devant l’organisation des Nations unies (1922-1947) » sur le site de l'Organisation des Nations unies (lire en ligne)
  17. (en) « The British Mandate For Palestine - San Remo Conference, April 24, 1920 » (lire en ligne)
  18. (en) « The Palestine Mandate », sur Yale Law School (consulté le 24 janvier 2011).
  19. (en) « Egyptian-Israeli General Armistice Agreement, February 24, 1949 », dans American Foreign Policy, Basic Documents 1950-1955, General Foreign Policy Series 117 (Department of State Publication 6446), Government Printing Office,‎ , 1708 p. (lire en ligne)
  20. (en) « Israël Membre de l'UNESCO: 16/09/1949 » sur le ste de l'UNESCO (lire en ligne)
  21. « Le statut des mouvements de libération nationale à l'Organisation des Nations unies » sur le site Persée (lire en ligne)
  22. « États non membres auxquels a été adressée une invitation permanente à participer en qualité d’observateurs aux sessions et aux travaux de l’Assemblée générale et ayant une mission permanente d’observation au Siège de l’ONU » sur le site de l'ONU (lire en ligne)
  23. « L'ONU accepte la demande d'adhésion de la Palestine à la Cour pénale internationale », Le Monde, 7 janvier 2015 (lire en ligne)
  24. Stéphanie Maupas et Hélène Sallon, « La Palestine devient le 123e membre de la Cour pénale internationale », Lemonde.fr,‎ 1er avril 2015 (lire en ligne)
  25. « La CPI célèbre l’admission de la Palestine en tant que nouvel État partie », sur Cour pénale internationale,‎ 1er avril 2015 (consulté en 1er avril 2015)
  26. Jihane Sfeir revient sur les conditions du départ de Palestine dans l'article « Le désastre et l'exode, imaginaire collectif et souvenir individuel de l'expulsion de 1948 », in. Nadine Picaudou (dir.), Territoires palestiniens de mémoire, Paris : Karthala - IFPO, 2006
  27. Voir aussi Elias Sanbar, Figures du Palestinien, identité des origines, identité du devenir, Paris : Gallimard, 2004
  28. (en) « An interim report on the civil administration of Palestine, during the period 1st July, 1920-30th June, 1921. » (lire en ligne)
  29. (en) « Report of UNSCOP - 1947 » (lire en ligne)
  30. Zacharie, 2;14 : « L'Éternel rentrera en possession de Juda, son domaine sur la terre Sainte, et fera de nouveau choix de Jérusalem. »

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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