Lyria

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : navigation, rechercher
Lyria
Description de l'image Logo TGV Lyria décembre 2011.svg.
Création 23 mai 1993
Forme juridique Société par actions simplifiée
Slogan L’harmonie du voyage
Siège social Drapeau de France Paris (France)
Direction Andreas Bergmann (CEO)
Actionnaires 74 % SNCF, 26 % CFF
Activité Entreprise ferroviaire
Société mère SNCF
CFF
Effectif 30
Site web www.tgv-lyria.com
Chiffre d’affaires 340 millions d'euros en 2014 (280 en 2011, 260 en 2010)
+8 % / 2010 (+17 % 2010/2009)

Lyria est une entreprise ferroviaire qui gère les liaisons en TGV entre la France et la Suisse.

Historique[modifier | modifier le code]

trajet des liaisons Paris-Zurich entre 1957 et 2015

À partir de l’été 1961, la relation Paris-Gare de Lyon - Lausanne (et au-delà vers Milan) était assurée par le Trans-Europ-Express (TEE) Cisalpin. Entre les années 1961 et 1966, le TEE Cisalpin est assuré par les 4 rames quadricourants de type RAe TEE II (numérotés 1051 à 1054 par les CFF), à 5 éléments d’abord puis, entre 1966 et 1974, avec les mêmes rames renforcées avec un 6e élément et avec l’aide d’une 5e rame RAe no 1055 neuve, fabriquée directement à 6 éléments.

Ces rames sont les premiers trains au monde quadricourant pouvant circuler sous toutes les tensions et courants en Europe (sauf le 3 000 V triphasé italien).

Devant l’affluence de certains jours, deux rames doivent assurer le Cisalpin, d’abord en US (unité simple), l’une derrière l’autre, à distance de block (5 minutes d’écart) et avec formation d’une UM (unité multiple) dès Vallorbe passée (la frontière suisse), et en 1968, la SNCF autorise les UM de deux rames suisses sur le territoire national, de Paris à Vallorbe.

Devant le peu de souplesse offert par des rames à composition fixe, elles sont remplacées en 1974 par des rames tractées, comportant les voitures inox dites « Mistral 69 » avec en tête, une des quatre CC 21000 de Paris à Vallorbe ou par des CC 6500, de Paris à Dole puis UM de BB 25500 de Dole à Vallorbe.

Le 22 janvier 1984, une liaison TGV est mise en place entre Paris et Lausanne. Cette liaison de TGV tricourant est exploitée conjointement par la SNCF et les CFF. Pour garder l’esprit des grands express européens, les trains sont baptisés : Champs-Élysées, Lemano, Lutetia et bien sûr le Cisalpin. Le 31 mai 1987 est créée la nouvelle relation Paris - Berne. À cette occasion, ces trains sont estampillés EuroCity. Le 23 mai 1993 est créé le GIE « France - Suisse » dont la mission est de gérer les liaisons Paris - Lausanne / Berne (Paris - Genève n’est pas concernée).

Pour l’hiver 1995-1996, la liaison vers Lausanne est prolongée (tous les samedis) jusqu'à Brigue pour desservir les stations de sports d'hiver de la haute vallée du Rhône (dans le canton du Valais)

Le 28 septembre 1997, le service vers Lausanne et Berne prend le nom de « Ligne de Cœur ». Les neuf rames prennent cette nouvelle identité visuelle et la desserte est réorganisée et renforcée. Le 4 mars 2002, le nom de « Lyria » remplace celui de « Ligne de Cœur ». Le champ d’action de Lyria est étendu en janvier 2005 à la ligne Paris - Genève. Cette relation, qui a pris le label plus récemment, a été en fait la première assurée par le TGV Sud-Est à sa mise en service au 27 septembre 1981.

Depuis le 10 juin 2007, à l’occasion de l’ouverture de la LGV Est européenne, Lyria intègre la liaison Paris - Zurich via Strasbourg, Mulhouse et Bâle. Cette desserte a été complétée depuis le 10 décembre 2007 par un prolongement Zurich - Coire tous les samedis de plein hiver, commercialisé sous le nom de « TGV des Grisons », mais cette desserte a été arrêtée après deux hivers par manque de clientèle.

Le 11 décembre 2011, à l’occasion de l’ouverture cette fois-ci de la LGV Rhin-Rhône, la liaison Paris - Zurich dessert désormais Dijon, Besançon et Belfort-Montbéliard (au détriment de Strasbourg et Colmar) et le terminus parisien est déplacé de Paris-Est vers la gare de Lyon. Depuis cette date, tous les liaisons Lyria partent donc depuis la même gare.

Alors qu'elle s'était engagée à la maintenir jusqu'en décembre 2014[1], Lyria annonce le 3 juillet 2013 la suppression de la ligne Paris-Berne via Frasne, Pontarlier et Neuchâtel dès décembre 2013[2]. La société avance le manque de fréquentation depuis décembre 2011 sans pour autant prouver que la ligne est devenue déficitaire[3]..

Pour sauver la ligne, une pétition est lancée en décembre 2012 et récolte quelque 20'000 signatures des deux côtés de la frontière[4].

Certains relèvent que cette suppression va à l'encontre de la décision du parlement suisse de maintenir des relations entre la Suisse et la France via l'Arc jurassien et Berne - Neuchâtel en particulier (voir loi fédérale sur le raccordement aux LGV, 742. 140.3[5]).

Identité visuelle (logo)[modifier | modifier le code]

En juin 2009, Lyria inaugure une nouvelle identité visuelle. L’ambition de ce changement est d’affirmer davantage les spécificités de la marque TGV Lyria, de faire valoir la qualité du service TGV Lyria.

La croix suisse se révèle dans la contre forme derrière la lettre, tandis que les petites croix véhiculent les notions de liberté, de diversité et de mouvement. La chaleur du rouge contraste avec la rigueur typographique de la police Helvetica.[réf. nécessaire]

TGV Lyria en livrée blanche

Les 9 rames TGV Lyria ne sont plus garnies du logo « Ligne de cœur », enlevé petit à petit depuis mi-2006 et remplacé sur les motrices et les voitures-restaurants par le nouveau bloc-marque « TGV Lyria ». Seul reste de l’ancienne livrée le liseré rouge de ces voitures. Le logo CFF a été apposé depuis sur les deux rames 112-114 ainsi que sur la rame POS 4406.

En 2012, Lyria dévoile ses nouvelles couleurs. Les rames TGV POS, acquises d'occasions auprès de la SNCF, vont revêtir une livrée blanche, grise et rouge propre à Lyria[6], découlant de la nouvelle livrée Carmillon de la SNCF. À partir du printemps 2013, les 19 rames subiront une rénovation intérieure, l'aménagement intérieur datant de 2007[6].

Statut[modifier | modifier le code]

À l’origine, en 1993, Lyria était un groupement d’intérêt économique (GIE) fondé à l’initiative de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) et des chemins de fer fédéraux suisses (CFF). Sa mission était à l’origine de gérer les dessertes Paris-Gare de Lyon - Lausanne et Paris-Gare de Lyon - Berne par TGV. Elle s’étend aux autres liaisons TGV vers la Suisse, dont la ligne Paris - Genève, en 2005.

Son statut actuel est celui d’une société par actions simplifiée (SAS) selon le droit français. Le capital est détenu par la SNCF pour 74 % et par les CFF pour 26 %. Cette SAS s’inscrit dans un cadre de coopération traditionnelle entre les deux entreprises ferroviaires. Son siège social est situé dans le 11e arrondissement de Paris, 25 rue Titon. Lyria est responsable de la gestion commerciale et du contrôle de la qualité des services à bord des TGV Lyria.

Le personnel à bord des trains en France est de la SNCF et en Suisse des CFF. Depuis 2011, au double accompagnement a été mis en place composé d’un chef de bord suisse et d’un chef de bord français afin de renseigner au mieux les voyageurs. La restauration est gérée par la société Elvetino (filiale des CFF) sur les liaisons Paris - Lausanne et Paris - Zurich depuis le 1er juillet 2010. Elvetino traite aussi la restauration en 1re classe sur les Paris-Genève depuis mars 2009.

Liaisons assurées par Lyria[modifier | modifier le code]

Schéma de desserte Lyria 2015
-
KBHFa
Nice Ville
HST
Antibes
HST
Cannes
HST
Saint-Raphaël-Valescure
HST
Toulon
BHF
Marseille Saint-Charles
HST
Aix-en-Provence TGV
HST
Avignon TGV
STR KBHFa
Lille Europe
STR HST
Roissy-Aéroport-CDG-TGV
STR HST
Marne-la-Vallée - Chessy
STR STR KBHFa
Paris Gare de Lyon
HST STRlf ABZlg
Valence TGV
HST STR
Lyon Part-Dieu
STR STRrg STRq ABZrf
STR STR HST
Dijon
STR HST STRrg ABZrf
Bourg-en-Bresse
STR STR STR HST
Besançon TGV
STR STR HST STR
Dole-Ville
STR STR STR HST
Belfort-Montbéliard TGV
STR HST STR STR
Nurieux
ABZrg STRrf HST STR
Mouchard
HST STR STR
Bellegarde
STR STR HST
Mulhouse
STR HST STR
Frasne
STR STRrg STRrf STR
GRENZE GRENZE GRENZE
Frontière Drapeau de la Francefranco-Drapeau de la Suissesuisse
STR STR HST
Bâle
BHF STR STR
Genève
STR HST STR
Vallorbe
ABZrg STRrf STRrg ABZrf
tSTR
STR STR
Lausanne
tSTR STR KBHFe
Zurich
tSTR HST
Olten
tSTR BHF
Berne
tSTR HST
Interlaken-Ouest
tHST KBHFe
Interlaken-Est
tHST
Montreux (saisonnier)
tHST
Aigle (saisonnier)
tHST
Martigny (saisonnier)
tHST
Sion (saisonnier)
tHST
Sierre (saisonnier)
tHST
Loèche (saisonnier)
tHST
Viège (saisonnier)
tKHSTe
Brigue (saisonnier)


Trafic[modifier | modifier le code]

  • En 2005, Lyria a franchi pour la première fois la barre des 3 millions de passagers annuels transportés sur tous ses axes.
  • En 2007, Lyria a pour la première fois dépassé les deux millions de passagers internationaux annuels.
  • En 2008, Lyria a transporté 3,8 millions de passagers dans ses TGV dont 2,2 millions de passagers internationaux.
  • En 2009, Lyria a transporté 3,7 millions de passagers dans ses TGV (-0,85 % / 2008) dont 2,2 millions de passagers internationaux.
  • En 2010, Lyria a transporté 4 millions de passagers dans ses TGV (+10 % / 2009) dont 2,3 millions à l’international[7].
  • En 2011, Lyria a transporté 4,32 millions de passagers dans ses TGV (+8 % / 2009) dont 2,6 millions à l’international soit 63 %.

Le service en 2015[modifier | modifier le code]

Publicité pour Lyria dans la station Charles de Gaulle - Étoile de métro parisien
  • Paris gare de Lyon - Genève 10 allers et retours par jour en h 5 minimum ;
    • Depuis le 12 décembre 2010, sur la desserte Paris-Genève, le temps de parcours a été réduit d’une vingtaine de minutes et donc se situe désormais autour de h 5 minimum. Cette amélioration a été rendue possible par la réhabilitation de la ligne du Haut-Bugey entre Bourg-en-Bresse et Bellegarde (ou ligne des Carpates), fermée au trafic voyageurs depuis 1980. En même temps, le nombre de relations quotidiennes passe de 7 à 9 puis à 10 par jour en 2012, davantage si l’augmentation du trafic l’exige. En plus un horaire cadencé, répartissant mieux les circulations dans la journée, est progressivement introduit pour répondre aux attentes de la clientèle d’affaires.
  • Paris gare de Lyon - Lausanne 4 allers et retours par jour en h 39 minimum ;
    • la desserte du Valais, desserte de Lausanne prolongée sur Brigue, du vendredi au dimanche l’hiver de la mi-décembre à la fin mars et en plein été (juillet-août).
    • Depuis décembre 2009, des travaux dans l’arc jurassien notamment de renforcement de l’électrification sur la ligne Dijon - Vallorbe[8], ont permis un gain de temps de 11 à 15 minutes sur le parcours Paris-Lausanne.
  • Paris Gare de Lyon - Bâle - Zurich 6 allers-retours par jour en h 3 minimum.
    • Le prolongement hivernal d’un service de et vers Coire pour la desserte des stations des Grisons est actuellement suspendu.
    • Depuis décembre 2011, avec la mise en service du TGV Rhin-Rhône, le temps de parcours entre Paris et Bâle/Zurich a été encore réduit de respectivement 24 et 33 minutes en passant par Dijon et Mulhouse soit Paris–Bâle en h 3 minimum et Paris–Zurich en h 3 minimum.
    • Le trafic a été rebasculé vers la gare de Lyon. Les dessertes de Zurich/Bâle passent de 5 à 6 allers-retours quotidiens et la 1re classe bénéficie également du service Lyria Première (restauration froide à la place comprise dans le prix du billet).
  • Genève - Lyon - Marseille - Nice
  • Genève - Roissy CDG - Lille
  • La liaison Bâle - Marseille est assuré par TGV.

Lyriapremière[modifier | modifier le code]

Le service en 1re classe vient de connaître une évolution profonde avec la mise en place d’une prestation de restauration intégrée au prix du billet pour tous les clients internationaux. Ce service est dénommé Lyria Première : il comprend une offre de restauration froide à la place et des journaux gratuits.

Lors de la vérification des titres de transport, il est relevé les passagers effectuant un trajet international éligibles au service. Il convient par conséquent de ne pas changer de place entre le contrôle et le repas.

La prestation de ce service a été confiée à la société suisse Elvetino, qui s'occupait en 2010 de la gestion de l'offre de restauration payante à la place sur la liaison Paris-Genève. Un uniforme spécifique reprenant les couleurs de Lyria (gris, beige, rouge blanc) permet de distinguer le personnel assurant ce service.

Lors du voyage, un petit déjeuner, une collation, un déjeuner ou un dîner sont servis à la place.

Lyria compte s'inspirer des plateaux repas de la classe Affaires aérienne tout en s'adaptant aux contraintes et flexibilités du transport ferroviaire (couverts en métal, vaissellerie en porcelaine, repas froid emballé) . Lorsqu'il s'agit d'un repas complet, un choix de Viande, Poisson ou végétarien est disponible sur la base des plateaux restants.

Le service se déroule de la façon suivante selon le type de train :

  • TGV Sud Est (ancienne rame)

Service aux voitures 1, 2 et 3.

  • TGV POS

Service dans l'ordre aux voitures 3, 2, 1.

  • TGV Duplex

Service dans l'ordre aux voitures 3, 2, 1 uniquement pour les passagers se situant à l'étage, dont le réservation n'est seulement possible qu'à ce niveau pour faciliter le passage du service.

Le matériel roulant[modifier | modifier le code]

Pour la desserte de Lausanne et de Berne (ainsi que les liaisons vers les stations de sport d’hiver suisses: Lyria des neiges et Lyria d’été), Lyria exploitait le parc des neuf rames TGV Sud-Est tricourant dont sept appartiennent à la SNCF et deux aux CFF (rames nos 112 et 114). Depuis l’été 2007, toutes les rames ont aussi subi une opération de mise en qualité confort et esthétique (changement des moquettes et des éléments de sièges défectueux, nettoyage du revêtement des sièges…) afin d’offrir une meilleure qualité de service. Une autre opération de rénovation plus poussée a été entamée depuis 2009. L'intégration des trajets du sud de la France vers la Suisse dans le périmètre Lyria en décembre 2012 nécessite du matériel supplémentaire. L'arrivée des TGV 2N2 depuis 2011 permet de libérer progressivement les TGV POS affectés jusqu'alors sur la LGV Est et de compléter le parc Lyria puis de remplacer l'intégralité des TGV Sud-Est.

Historiquement, la desserte de Genève était assurée par le matériel du TGV Sud-Est classique, c’est-à-dire les rames TGV Sud-Est bicourant(les voies dédiées aux relations avec la France étant électrifiées selon les dispositions françaises). À partir de 2012, elles sont relayées par des TGV Réseau et de plus en plus de TGV Duplex. À moyen terme, Lyria souhaite exploiter des trains Paris-Lausanne via Genève, en renfort des liaisons directes existantes, ceci dès que le matériel adéquat (> 300 km/h et tri-courant) lui sera attribué.

La vitesse maximale des rames SE est de 270 km/h sur la LGV Sud-Est (ligne à grande vitesse) entre Aisy (à l’ouest de Dijon) et Valenton (près de Paris). Début 2008, il a été décidé de ne pas prolonger la durée de vie de ce sous-parc, et donc de ne pas améliorer la motorisation de ces rames pour les faire passer à 300 km/h. En effet, les TGV Sud-Est ne présentaient pas de performance optimale dans le système d'électrification suisse, ce qui a motivé à leur radiation l'hiver 2012-2013.

La desserte de Bâle et de Zurich est assurée par des TGV POS avec intérieur Lacroix dont la rame 4406 propriété des CFF. Depuis janvier 2012, les TGV POS circulent en alternance avec les TGV 2N2.

Depuis décembre 2011, à l’occasion de la mise en service de la LGV Rhin-Rhône, des rames TGV 2N2 ont remplacé les TGV POS en service sur l’axe Paris-Bâle-Zurich. Ces derniers remplaceront à leur tour les rames TGV Sud-Est encore en service sur l’axe Paris-Genève et Paris-Lausanne et accusant plus de 30 ans d’âge. En décembre 2012, la propriété de ces 19 rames POS est transférée par la SNCF et les CFF à la société Lyria[9].

En modélisme[modifier | modifier le code]

À l'échelle H0, c'est la marque Märklin-Trix qui a commercialisé au début 2015 des TGV Lyria sur la base des TGV POS déjà au catalogue de la firme allemande[10],[11]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Les pendulaires de l’Arc lémanique devront changer leurs habitudes, Le Temps, 9 novembre 2012.
  2. La ligne TGV Paris-Bernel ne passera plus par Neuchâtel, RTS, 3 juillet 2013.
  3. Neuchâtel perd la bataille du TGV, L'Express, 4 juillet 2013
  4. La Ville de Neuchâtel veut encore croire au TGV, RTN, 25 mai 2013
  5. Loi fédérale sur le raccordement de la Suisse orientale et occidentale au réseau européen des trains à haute performance, Droit fédéral.
  6. a et b « Le TGV Lyria prend des couleurs »,‎ (consulté le 28 janvier 2013)
  7. Agence ATS, 16 février 2011
  8. DREAL
  9. « Les trains franco-suisses déclarent la guerre à l'aérien »,‎ (consulté le 28 janvier 2013)
  10. Aurélien Prévot, "Les TGV Lyria entrent en gare", Loco-Revue, no 811, février 2015, Auray, LR Presse, page 13.
  11. Yann Baude, "Le TGV Lyria Trix : du beau matériel", Loco-Revue, no 812, mars 2015, Auray, LR Presse, pages 68-69.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Yann Baude, "Le TGV Lyria Trix : du beau matériel", Loco-Revue, no 812, mars 2015, Auray, LR Presse, pages 68-69. Document utilisé pour la rédaction de l’article

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :