Hanoï

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Hanoï
(anciennement Tống Bình, Đông Đô, La Thành, Đại La et Thăng Long)
Le pont Long Biên, Bến Đục, la tour de la Tortue sur le lac Hoan Kiem, le temple de la Littérature, le mausolée de Hô Chi Minh, l'opéra de Hanoï.
Le pont Long Biên, Bến Đục, la tour de la Tortue sur le lac Hoan Kiem, le temple de la Littérature, le mausolée de Hô Chi Minh, l'opéra de Hanoï.
Administration
Pays Drapeau de la République socialiste du Viêt Nam Viêt Nam
Statut administratif Capitale (Thủ Đô)
Subdivision divisée en 12 districts urbains, 18 districts suburbains et 1 municipalité suburbaine
Secrétaire du PCV Hoàng Trung Hải
Maire
Mandat
Nguyễn Đức Chung
2016 -
Code aéroport HAN
Préfixe téléphonique (+84) 4
Démographie
Population 7 558 965 hab. (2016[1])
Densité 2 271 hab./km2
Géographie
Coordonnées 21° 02′ Nord, 105° 51′ Est
Superficie 332 890 ha = 3 328,9 km2
Localisation

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Hanoï

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Hanoï
Liens
Site web http://hanoi.gov.vn

Hanoï (en vietnamien Hà Nội, « la ville au-delà du fleuve » ; Hán tự : 河內) est la capitale du Viêt Nam. Située au nord du pays, sur les rives du delta du fleuve Rouge (Sông Hồng), sa population est estimée à environ sept millions d'habitants en 2013, dont 2,6 millions dans la ville-centre. Elle est ainsi la deuxième ville la plus peuplée du Viêt Nam, après Hô-Chi-Minh-Ville, située à 1 760 km au sud. Son paysage urbain est marqué par la présence de nombreux lacs (Hoan Kiem, Lac de l'ouest, Bambou blanc) ainsi que de nombreux édifices religieux, principalement confucéens et taoïstes (Temple de la Littérature, temple Ngoc Son) mais aussi catholiques (Cathédrale Saint-Joseph, Église des Martyrs). La vieille ville compte également un grand nombre de pagodes bouddhistes.

Hanoï est fondée par le roi Ly Thai To en 1010, et demeure jusqu'en 1802 le cœur politique du Viêt Nam. La ville est éclipsée par Huế, la capitale impériale du pays durant la dynastie Nguyễn (1802–1945), mais devient la capitale de l'Indochine française de 1902 à 1954. Elle est ensuite la capitale de la République démocratique du Viêt Nam, jusqu'en 1976, et devient celle de la République socialiste du Viêt Nam après la victoire du Nord lors de la Guerre du Viêt Nam. En octobre 2008, la ville de Hanoï absorbe la Province de Hà Tây et des territoires ruraux, ce qui fait doubler sa population. En octobre 2010, des festivités (Le Millénaire d'Hanoï) commémorent la fondation de la ville.

Tout au long du XXe siècle, la ville a connu une explosion démographique et un fort développement économique qui font d'elle une métropole émergente. De nombreux gratte-ciels y ont été construits, dont la Tour Keangnam (plus haut bâtiment du Viêt Nam), et un métro doit entrer en exploitation en 2016. Centre universitaire et culturel, elle compte en outre les principaux musées du pays, dont le Musée national d'histoire vietnamienne et le Musée des beaux-arts du Viêt Nam.

Histoire[modifier | modifier le code]

Hanoï fut fondée par le roi Ly Thai To en 1010. Elle devint la capitale de l'Indochine française de 1902 à 1953, puis celle de la République démocratique du Viêt Nam de 1954 à 1976, et enfin de la République socialiste du Viêt Nam depuis cette date.

La dernière prise d'armes de l'histoire de la France à Hanoï a lieu le 8 octobre 1954 au stade Mangin[2], après soixante-quinze ans de colonisation. Elle est commandée par le général Massu[n 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Hanoi vu par le satellite Spot en 2002.

Hanoï se trouve sur le Delta du Fleuve Rouge qui charrie ses eaux boueuses vers le golfe du Tonkin, à une altitude inférieure à celui-ci, ce qui la rend vulnérable aux inondations.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Son nom varia au cours des siècles : Kecho, Dai La, Thang Long, Dong Kinh (du chinois 東京 (dong jing), signifiant « capitale de l'Est »), qui fut latinisé en Tonkin. Le nom de Tonkin désigna ensuite la province entourant la ville, c'est-à-dire le Nord du Viêt Nam actuel. Le nom Thăng Long est encore parfois utilisé de nos jours comme nom littéraire et poétique de la ville ; il signifie « dragon qui se dresse », contrairement à Ha Long (« dragon qui descend »). Le nom vietnamien de la ville se décompose en : (« cours d'eau ») et ņôi (« entre »), donc Hanoï est donc « [la ville] entre les cours d'eau »[3].

Découpage administratif[modifier | modifier le code]

Hanoï est divisé en 12 districts urbains, 1 ville de niveau district et 17 districts ruraux. (Hà Đông est devenu district urbain et Sơn Tây est devenu ville de niveau district)

Districts de Hanoï (2008).
Découpage de Hanoï
Villes/Districts[4] Quartiers[4] Superficie
(km2)[4]
Population[4]
1 ville
Sơn Tây 15 113,474 181 831
12 arrondissements
Ba Đình 14 9,224 228 352
Bắc Từ Liêm 13 43,35 320 414
Cầu Giấy 8 12,04 147 000
Đống Đa 21 9,96 352 000
Hai Bà Trưng 20 14,6 378 000
Hà Đông 17 47,917 198 687
Hoàn Kiếm 18 5,29 178 073
Hoàng Mai 14 41,04 216 277
Long Biên 14 60,38 170 706
Nam Từ Liêm 10 32,27 232 894
Tây Hồ 8 24 115 163
Thanh Xuân 11 9,11 185 000
Sous total 145 233,56 2 178 258
17 districts ruraux (Huyện)
Ba Vì 31 + 1 ville 428,0 265 000
Chương Mỹ 30 + 2 villes 232,9 271 761
Đan Phượng 15 + 1 ville 76,8 124 900
Đông Anh 23 + 1 ville 182,3 276 750
Gia Lâm 20 + 2 villes 114,0 205 275
Hoài Đức 19 + 1 ville 95,3 188 800
Mê Linh 16 + 2 villes 141,26 187 536 (2008)
Mỹ Đức 21 + 1 ville 230,0 169 999
Phú Xuyên 26 + 2 villes 171,1 181 500
Phúc Thọ 25 + 1 ville 113,2 154 800 (2001)
Quốc Oai 20 + 1 ville 136,0 (2001) 146 700 (2001)
Sóc Sơn 25 + 1 ville 306,51 254 000
Thạch Thất 22 + 1 ville 128,1 179 060
Thanh Oai 20 + 1 ville 129,6 142 600 (1999)
Thanh Trì 15 + 1 ville 98,22 241 000
Thường Tín 28 + 1 ville 127,7 208 000
Ứng Hòa 28 + 1 ville 183,72 193 731 (2005)
Sous total 399 + 22 villes 3 266,186 3 872 851
Total 559 + 22 villes 3 344,47 6 232 940

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat de Hanoï, comme dans le nord du Viet-Nam, est de type subtropical humide, marqué par des hivers secs mais frais, et par de longs étés très moites, sous l'influence de la mousson.

Relevé météorologique de Hanoï[5]
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 13,7 15 18,1 21,4 24,3 25,8 26,1 25,7 24,7 21,9 18,5 15,3 20,9
Température maximale moyenne (°C) 19,3 19,9 22,8 27 31,5 32,6 32,9 31,9 30,9 28,6 25,2 21,8 27
Précipitations (mm) 18,6 26,2 43,8 90,1 188,5 239,9 288,2 318 265,4 130,7 43,4 23,4 1 676,2
Source : wetterkontor.de


Démographie[modifier | modifier le code]

Depuis 1995, la population d'Hanoï a évolué comme suit[6]:

Année 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004
population 2 431 000 2 492 900 2 556 000 2 621 500 2 685 000 2 767 700 2 852 900 2 928 300 3 000 300 3 071 400
Année 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
population 3 133 400 3 184 800 3 228 500 6 381 800 6 472 000 6 588 500 6 725 700 6 836 500 6 936 900 7 067 000

En 2008, Hanoï a absorbé la Province de Hà Tây et d'autres territoires ruraux ce qui explique sa très forte croissance démographique[7].

Économie[modifier | modifier le code]

La capitale du Viêt Nam vit une métamorphose qui se lit aujourd'hui dans sa structure même. Plus de 15 000 entreprises étrangères se sont installées sur le territoire grâce à de nombreux avantages fiscaux proposés par le gouvernement communiste. La ville attire 20 000 nouveaux migrants chaque année et ne cesse de s'agrandir. En 2008, elle a absorbé la province de Hà Tây, triplant ainsi sa superficie. En 2012, c'est 800 nouveaux projets de bureaux et zones industrielles qui devraient voir le jour.

Paysage urbain[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Plan de la Banque de l'Indochine conçue par l'architecte Félix Dumail dans les années 1930.

C'est l'empereur Gia Long qui, depuis sa capitale installée à Hué, a reconstruit la citadelle en 1805 selon des plans inspirés par Vauban.

La concession française, établie en 1875, devint en 1884 la capitale du Tonkin et, en 1902, la capitale de l'Indochine française. À ce titre, elle fut l'objet d'un véritable projet urbain colonial fondé sur le concept de la ville-jardin, valorisant les nombreux lacs[n 2] qui marquent l'identité paysagère de Hanoï[8].

Article connexe : Liste de lacs à Hanoï.

La vieille ville[modifier | modifier le code]

Au début du XXe siècle, certains quartiers ou rues entières sont spécialisées dans une activité donnée (les 36 guildes), par exemple la ferronnerie, le textile, la chaussure, l'ameublement, ou les confiseries et cadeaux de mariage [9].

La capitale du Vietnam se divise en quatre grands quartiers : Ba Đình à l’ouest, Hoàn Kiếm (ex Petit Lac) au centre, Hai Bà Trưng (ex quartier de la gare ou Boulevard Gambetta)– nommé ainsi en l’honneur des sœurs Trung qui défendirent la ville contre les Chinois au Ier siècle – et Đống Đa au sud-ouest.

Hanoï moderne[modifier | modifier le code]

Le 29 mai 2008, il est décidé que la Province de Ha Tay, le district de Mê Linh de la Vĩnh Phúc et 4 communes du district de Lương Sơn de la Province de Hòa Bình seraient absorbés par Hanoï à partir du 1er août 2008[7]. La superficie d’Hanoï a augmenté de 334 470 hectares[10]. La population résultante est alors de 6 232 940 habitants[10] pour une superficie de 13 436 km2.

Hanoï a subi un très fort développement de la construction, des gratte-ciels sont apparus dans les zones urbaines.

En 2014, Hanoï a plus de 100 gratte-ciels de plus de 100 mètres de hauteur[11].

Lieux et monuments historiques[modifier | modifier le code]

Photographies de Hanoï[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

Jumelages et accords de coopération[modifier | modifier le code]

Hanoï est membre des associations Asian Network of Major Cities 21 et C40 Cities Climate Leadership Group.

Hanoï est jumelé avec les villes ou régions suivantes:

Enseignement supérieur[modifier | modifier le code]

Hanoï a de nombreuses universités dont les suivantes:

Spécialités culinaires[modifier | modifier le code]

Bánh cuốn

Hanoï, comme le reste du Viêt Nam, est connue pour sa gastronomie . Les principales spécialités de la ville sont, entre autres, les nems de Hanoï, la soupe phở où dominent la Phở Bò au bœuf et la Phở Gà au poulet, les beignets de crevettes et beignets de calamar, le Bánh cuốn.

Musées[modifier | modifier le code]

Hanoï héberge de nombreux musées:

Article connexe : Liste des musées du Vietnam.

Cultes[modifier | modifier le code]

Hanoï a de très nombreux lieux de culte dont les suivants :

Confucéen, Taoïste[modifier | modifier le code]

Bouddhiste[modifier | modifier le code]

Catholique[modifier | modifier le code]

L'archidiocèse[n 9]:

Événements[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

Transports aériens[modifier | modifier le code]

Hanoï est desservie par l'aéroport international de Nội Bài, qui comprend deux terminaux, l'un pour les vols internationaux, l'autre pour les vols domestiques. Le terminal T2 se trouve à environ 30-45 minutes de Hanoi Ville, il a été ouvert récemment, opérationnel en début 2015.

Des projets sont en cours de définition afin de transformer l'aéroport de Gia Lâm, beaucoup plus proche du centre de Hanoï que Nội Bài, en terminal dédié aux vols domestiques[réf. nécessaire].

Transports ferroviaires[modifier | modifier le code]

La gare de Hanoï est le terminus pour le transport passager des trains de la ligne de chemin de fer Nord-Sud, ainsi que des trains desservant les villes Nord-Est du Viêt Nam, dont Lào Cai, gare la plus proche de Sa Pa[21]. À partir de la gare centrale de Hanoï, il est également possible de se rendre à Pékin avec un changement de train à la frontière sino-vietnamienne.

Liaisons par autocars[modifier | modifier le code]

Comme dans de nombreuses villes d'Asie du Sud-Est, il existe de nombreuses compagnies d'autocar qui desservent Hanoï.

C'est le moins cher des moyens de transport. Comme dans tous les pays du Sud, il y a un réseau dense de communication par minibus ou bus. À part sur la N1 et quelques tronçons qui s'y rattachent, la qualité des routes et de la conduite du chauffeur varie de l'acceptable au pire. Comme en montagne, on parle en heures de route plutôt qu'en kilomètres. - Les bus vietnamiens se sont modernisés et sont de plus en plus aux normes internationales. - Les bus express restent lents mais sont plus rapides que les bus locaux, qui s'arrêtent partout à la demande. Les gares routières sont presque toujours situées en périphérie des villes.

Transports urbains[modifier | modifier le code]

Circulation à Hanoï.
Circulation familiale à Hanoï.

Réseau de bus[modifier | modifier le code]

La course de bus à Hanoï est très bon marché, avec 7 000 dongs la course en 2015, à payer une fois dans le bus et les véhicules sont climatisés. Il existe un plan de réseau officiel disponible au terminus central, toutefois les trajets et arrêts peuvent varier selon les fantaisies des conducteurs. Les arrêts de bus ne sont pas toujours très visibles. En 2007, un bureau d'urbanistes travaillait à la réorganisation et au recensement des lignes et arrêts existants.

Taxis[modifier | modifier le code]

Il y a de nombreuses compagnies de taxi, toutes avec des tarifs différents. Les clients sont pris en charge sur la rue, à des stations de parcages qui sont réservées aux taxis ou sur commande par téléphone à la centrale. La plupart des véhicules sont équipés de compteurs, mais il n'est pas rare qu'ils soient truqués, commandés manuellement[citation nécessaire]. Le prix de la course peut également se négocier avant. .

Motos taxis (xe ôm)[modifier | modifier le code]

On trouve des xe ôm (prononcez sè ôm) à chaque coin de rue. Littéralement on comprend : "xe" = "moyen de locomotion", "ôm" = embrasser, enlacer. Les conducteurs attendent les clients souvent aux carrefours, sur ou à côté de leur moto et essaient de convaincre de potentiels clients de prendre une course avec eux. Comme pour tout au Vietnam, le prix se négocie et peut également avoir changé au moment de payer.

Cyclo[modifier | modifier le code]

Les habitants locaux ne se déplacent plus vraiment en cyclo et leur préfèrent les taxi-motos, plus rapides. Les cyclos restent donc un moyen de visiter la ville pour les touristes. On les trouve principalement près des lieux touristiques (lac Hoan Kiem, vieux centre…). Beaucoup d'hôtels organisent des tours en cyclo.

Futur métro de Hanoï[modifier | modifier le code]

Un projet de construction d'un métro est en cours[22].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. général Massu, Commandant en chef des troupes d'évacuation
  2. Hanoï a des dizaines de lacs parmi lesquels les lacs Hoan Kiem, Halais, du Bambou blanc ou le lac de l'ouest
  3. (Temple de la Littérature de Hanoï que les Français appelaient « pagode des Corbeaux »)
  4. (Temple de Quan Thanh que des Français ont appelé par erreur "pagode du Grand Bouddha" )
  5. (cathédrale Saint-Joseph Nha Tho en vietnamien)
  6. (ex-pont Doumer, qui a résisté à tous les bombardements et n'est plus en très bon état)
  7. (construit en 1905 et rénové en 1995, qui a participé à l'histoire de la ville, en particulier au moment de la guerre)
  8. (rue Phan Dinh Phung ex boulevard Carnot)
  9. Hanoï est le siège de l'archidiocèse d'Hanoï fondé en 1960, héritier du vicariat apostolique du Tonkin, érigé en 1659.
  10. messes en français à 9h30 et 11h

Références[modifier | modifier le code]

  1. (vi) « Dân số Hà Nội đạt 7.558.965 người », Comité populaire de Hanoi (consulté le 13 octobre 2016)
  2. (Fleury 2003, p. 7)
  3. Louis Deroy, Marianne Mulon, Dictionnaire des noms de lieux, Le Robert, (ISBN 285036195X)
  4. a, b, c et d « Cổng giao tiếp điện tử Thành Phố Hà Nội », Hanoi.gov.vn,‎ (consulté le 24 septembre 2014)
  5. https://www.wmo.int/pages/index_fr.html
  6. (en) « Average population by province », Statistics Documentation Centre (consulté le 24 septembre 2014)
  7. a et b (vi) Hồng Khánh, « Địa giới Hà Nội chính thức mở rộng từ 1/8 », VnExpress,‎ (consulté le 25 septembre 2014)
  8. Christian Taillard, « Hanoï », Encyclopædia Universalis (consulté le 25 septembre 2014)
  9. (Papin 2013)
  10. a et b (en) « Hơn 90% đại biểu Quốc hội tán thành mở rộng Hà Nội », Dantri (consulté le 25 septembre 2014)
  11. (en) « Vietnam Skyscraper Diagram », skyscraperpage.com (consulté le 25 septembre 2014)
  12. (en) Selcuk Colakoglu, « The Flourishing Partnership Between Turkey and Vietnam », Journal of Turkish Weekly,‎ (consulté le 25 septembre 2014)
  13. « Mémorandum sur la coopération entre Varsovie et Hanoi. », Ville de Varsovie,‎ (consulté le 25 septembre 2014)
  14. « Hanoi Days in Moscow help sister cities », Vbusinessnews.com
  15. « PRINCIPALES COOPERATIONS DECENTRALISEES FRANCO-VIETNAMIENNES (2009) », AMBASSADE DE FRANCE AU VIETNAM (consulté le 25 septembre 2014)
  16. Robert Romero, « 25 ans de coopération avec la ville de Hanoï (Vietnam) », Île-de-France (consulté le 24 septembre 2014)
  17. « International Cooperation: Sister Cities », Seoul Metropolitan Government, www.seoul.go.kr,‎ (consulté le 26 janvier 2008)
  18. « Seoul -Sister Cities [via WayBackMachine] », Seoul Metropolitan Government (archived 2012-04-25),‎ (consulté le 23 août 2013)
  19. « Sister Cities », Phnompenh.gov.kh (consulté le 26 mars 2013)
  20. « Thủ tướng Nguyễn Tấn Dũng hội kiến Tổng thống Seychelles », BÁO ĐIỆN TỬ CỦA CHÍNH PHỦ NƯỚC CỘNG HÒA XÃ HỘI CHỦ NGHĨA VIỆT NAM (consulté le 29 août 2013)
  21. Les horaires pour Sapa
  22. (en) « Mise en chantier de la première ligne de métro de Hanoï », Vietnamplus,‎ (consulté le 25 septembre 2014)

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Georges Fleury, La Guerre en Indochine, Perrin, Paris, , 690 p. (ISBN 978-2262020187)
  • Michel Catlla, Gilbert de Terssac, Truong An Quoc, Viêt-Nam en transitions, ENS Éditions, (ISBN 978-2-84788-526-2)
  • Pierre-Richard Féray, Le Viêt-Nam, PUF, coll. « Que sais-je ? », , 128 p. (ISBN 9782130516934)
  • Pierre Clément, Nathalie Lancret (dir.), Hanoï, le cycle des métamorphoses, Cahiers de l’IPRAUS, Éditions Recherches, (ISBN 978-2-86222-038-3)
  • Philippe Papin, Histoire des territoires de Hà-Nôi : Quartiers, villages et sociétés urbaines du XIXe au début du XXe siècle, Les Indes savantes, 2013 (ISBN 978-2846542739)
  • Paula Delsol, Adieu et merci, Éditions Julliard,
  • Yveline Feray, Dix mille printemps, Editions Philippe Picquier, coll. « Picquier », , 503 p. (ISBN 978-2877302685)
  • Joan-Daniel Bezsonoff, Les rambles de Saigon, Trabucaire, (ISBN 9782905828781)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]