Une dizaine de membres du golf de Seraincourt décide de claquer la porte de leur club, et faire sortir de terre un golf à eux, financé par deux banques et des entreprises locales.

Une gestion maladroite, une baisse de fréquentation, et voilà le beau projet qui prend l’eau. Dépôt de bilan, détours par les tribunaux et une triste fin : une vente à la chandelle.

Mais tel un phoenix, le club va renaître de ses cendres en 1996. Avec un autre esprit, où, si l’association sportive n’a plus autant la main sur la vie du club, la politique commerciale, qui désormais prévaut, pousse une équipe sympathique, à assurer chaque jour au visiteur un accueil digne de ce nom.