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Le parcours

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05/02/2016

Il est né d’un « coup de folie », d’un coup de chance. Les premiers contacts se font avec l’architecte renommé Michel Gayon qui à l’époque construit des golfs à tour de bras. 

Mais le cousin comptable à qui les frères Gillouard ont demandé son expertise financière, a un copain architecte qui s’y connaît en golfs et aux honoraires nettement plus accessibles. Top-là avec Jean-Pascal Fourès. « Nous n’avions pas d’idées préconçues pour ce parcours, raconte le châtelain, si ce n’est que nous imaginions des buttes, des bosses, des formes douces. »

Le premier coup de pelle sur une surface en plaine, « nue de chez nue », a été donné en septembre 1986, les ouvriers de l’exploitation agricole mettant la main à la pâte pour retourner la terre et planter quinze milles arbres et arbustes. Le club a ouvert ses portes en septembre 1988.

Au départ le parcours était très dégagé. Avec le temps, et la nature qui reprend ses droits, il commence à se fermer, tout en restant relativement aéré.

Une des spécificités concerne les greens. Ils ont été créés uniquement en sable et sont donc très rapides et… très appréciés ! Golf Magazine dans son classement des golfs préférés de Français révèle qu’en termes de préférences au niveau des greens, Rebetz arrive en troisième position dans le classement des golfeurs, derrière le Golf National et Evian.

Le trou signature est le n°9. Un par 3 magnifique où tout se passe au-dessus de l’eau. Sa réputation le rend redoutable, car il est le gosier avaleur de balles le plus gourmand de la région ! Il vous met la pression parce que c’est le green ou rien.

Autre trou emblématique du parcours, le n°18 avec son arrivée sur le château. Une mise en jeu sur la bosse de gauche est encouragée, afin de s’appuyez sur la gauche du fairway pour le 2ème coup en vous méfiant des arbres. Il est important de bien choisir son club au 3ème coup où arbres et obstacle d’eau vous narguent. Le green est très vaste, aux pentes traitreusement tortueuses. C’est le dernier trou, mais il ne tolère aucun relâchement si l’on ne veut pas gâcher une bonne carte. En résumé, il vous faut un bon 1er coup, un bon 2ème coup, un bon 3ème coup et un bon putt. Le golf, quoi !

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