<< Mon pauvre monsieur, comment voulez-vous que l'Ordre poursuive des violeurs et des pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre >> me fit ironiquement (ou gentiment ?) remarquer la secrétaire du CROM, en me remettant le dossier relatif à la plainte que mon père avait adressé à l'Ordre des médecins à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik (voir www.34640255 html)
Je m'étais, en tant que médecin, rendu en avril 1993 au siège du CROM (au Conseil de l'Ordre Régional de l'Ordre des Médecins de l'Île-de-France) à Paris rue de l'Université, l'Etat lui ayant confié "mission de Service public", pour garantir que les principes qui gouvernent l'éthique des pratiques médicales sont respectées par les médecins, savoir ce qu'il en était de sa plainte (il l'avait premièrement adressée directement au procureur de la République, au TGI de Créteil, le 17 décembre 1990, et réafirmée le 23 janvier 1991 au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, où il s'était entendu dire que les médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient "protégés en hauts-lieux", et qu'en conséquence ses médecins pouvaient y faire "ce qu'ils voulaient", toutes les plaintes à leur encontre étant systématiquement "bloquées au parquet " : << J'ai là sur mes étagères cent-cinquante plaintes pour viols, toutes sont bloquées au parquet, les médecins de cette Clinique sont milliardaires, ils peuvent y faire ce qu'ils veulent, ils sont protégés en hauts-lieux >>
De fait, les médecins de cette monstrueuse Clinique, bien qu'elle ne soit déja plus aux normes réglementaires, lui avaient infligé sans crier gare, le vendredi 25 mai 1990, c'est-à-dire lors d'un long WE de Pentecôte, profitant de ce qu'ils me savaient très loin de Paris (je les avais pourtant prévenu de ne surtout rien faire de ce qu'ils lui avaient proposé, et de se limiter à un acte a minima, en K20, en l'occurrence la cure d'un cor au pied sur un orteil et un seul, par une IPP, sur le seul orteil à être vraiment gênant, compte tenu de son état de santé déjà très dégradé et inquiétant, tant sur le plan neurologique que psychique et cardio-vasculaire, et de l'inutilité de ce qu'ils avaient proposé : un "alignement généralisé des orteils" sur pied-rond antérieur, une opération orthopédique en son cas aussi illicite qu'inutile et dangereuse. J'ignorais alors que le cardiologue de mon père, le docteur Joseph Heller, avait dans une lettre précédemment donné le même avis.
L'opération, qui était à plus d'un titre scandaleuse et délictueuse, s'est effectivement soldée par de graves complications (des hémorragies difficiles à juguler) conduisant à une lourde invalidité et à la perte de son autonomie, après qu'il failli à plusieurs reprises partir les pieds devant. D'abord à la Clinique elle-même, ensuite à l'AP - HP, par la faute des neurologues inféodés à un Service redevable à cette Clinique pour lui servir de dépotoir. Celle-ci servait en effet à débarrasser les hôpitaux de l'AP - HP des malades à problèmes, notamment les malades âgés qui avaient été malencontreusement contaminés par le VIH lors des transfusions faites dans la première moitié des années 1980 (25.000 malades avaient été contaminés). Il valait mieux laisser mourir les plus vieux, voire les faire activement passer l'arme à gauche, avant qu'ils aient le temps de développer un SIDA maladie, une situation qui n'était pas à l"époque seulement celle de mon père, cf. infra ce qui se passera au CHU de Mantes la Jolie en 1997, avec Christine Malèvre et le docteur Olivier Ille, après que la Clinique Elmelik a changé de statut et de propriétaires (1995), donc en même temps que l'AP - HP a, en guise de rideau de fumées, pris la précaution de mettre en place l'Espace Ethique de l'AP - HP à Bicêtre, puis à l'hôpital Saint-Louis, cf. infra)
L'Ordre des médecins avalisera leurs escroqueries en 1994 au prétexte, tenu pour recevable, que si j'avais renouvelé mes avertissements et que si j'avais pris la peine de me pointer à la Clinique le matin de l'opération, le docteur Antoine Denis se serait "certainement abstenu d'opérer" (sic), que j'étais donc "responsable" (resic) de son opération (c'était un rhumatologue de 68 ans qui se prenait et se faisait passer pour un chirurgien orthopédiste, cf. son Mémoire de défense, avalisé par l'Ordre des médecins, au prétexte avoué "qu'il fallait bien qu'il gagne de l'argent" (dixit le médecin rapporteur de cette affaire, le docteur Pierre Brassart, que le docteur Antoine Denis a chaudement remercié dans une lettre datée du 29 mars 1994, cf..Bavures médicales couvertes par l'AP - HP et le Conseil de l'Ordre ... 106212950.html )
Le verdict de l'Ordre me fait dire depuis qu'au mot éthique, je sors mon rigole-vert.
Le "quand j'entends le mot culture, je sors mon révolver" a été attribué au ministre de la propagande nazie, Josef Goebbels comme au ministre de la guerre Hermann Göring.
Renseignement pris (auprès de Tatoufaux.com, site rationaliste), le propos serait tiré de la première scène de l'acte I de "Schlageter ", une pièce de théâtre écrite à l'intention comme à la gloire d'Adolf Hitler par un de ses admirateurs, l'écrivain Hanns Johst, un ex communo-marxiste passé au nazisme. La première aurait eu lieu le 20 avril 1933, en célébration du quarante-quatrième anniversaire du Führer.
Il faut savoir que, outre que Adolf Hitler a pro-bablement et vraisemblablement été un des patients de Sigmund Freud après avoir été celui du docteur Eduard Bloch (Freud n'a pas su passer cette "cure" totalement sous silence dans la mesure où il n'a pas pu s'empêcher d'en faire ressortir "à l'insu de son plein gré" les "strates archéologiques" dans ses écrits anthropologiques et sociologiques, en particulier dans ceux de la seconde version de "Das Unbehagen in der Kultur" (Malaise dans la civilisation) parue un an après la première, c'est-à-dire après l'inquiétant succès électoral de son ex patient.
Goebbels, titulaire d'un doctorat en philosophie, était un homme en principe cultivé. A l'instar de Hanns Johst, il avait été marxiste et "bolcho" (d'après Robert Merle, dans sa préface au journal de Goebbels consacré aux dernières semaines du IIIe Reich).
L'enfer étant pavé de "bonnes intentions", non content d'avoir fait cinq enfants à son épouse Magda avant de se suicider, Goebbels ne s'était pas interdit, bien qu'affligé d'un pied-bot du côté gauche, de prendre son pied droit avec bien d'autres jolies femmes, pour leur faire beaucoup d'enfants, au risque de leur infliger la pareille nazie. Mais ça n'a aucun rapport avec ça, sauf pour les freudiens, pour qui "le ça" impose nécessairement sa loi marque de fabrique sur les mentalités âmes, donc sur les idéologies, dont celle de Freud et de ses followers crampons (Freud était aveugle à sa propre équation, et avec lui ses folles followers, comme l'avait tout au long de son œuvre trop ouvertement signalé Jacques Lacan,de façon métaphorique avec son séminaire sur "La lettre volée" (on a reproché à Jacques Lacan de pas avoir fondé ses concepts à partir de cas cliniques très concrets alors que le cas sur lequel il les fondait était Freud lui-même, d'où son fameux aphorisme "retour à Freud", et l'énigmatique "l'inconscient est structuré comme un langage", en l'occurrence l'inconscient à l'oeuvre dans le délire hystéro-paranoïaque de Freud, pour qui concevait avant 14 septembre 1929 la soumission à l'interdit d'inceste (la soumission au "non-du-père", cf. Totem und Tabou) comme préalable au progrès civilisationnel, c'es-à-dire avant qu'il ne s'avise de l'évidence du contraire avec l'accession de 107 députés nazis au Reichtag aux élections parlementaires allemandes .
Sur l'aveuglement hystéro-paranoïaque des intéressés, cf. aussi le texte calembourdesque délirant du psychiatre-"psychanalyste lacanien" Bernard This sur Sieg is Mund Freud, l'amputation d'un IS à son prénom ayant, selon Bernard This conduit Sigismund Freud (a fortiori Adolfus Hitler) à la Mort, car "Tot" (la mort) aime "Mund" (la bouche), d'où son cancer de la mâchoire, et le cancer nazi issu de la bouche vociférante de son ex patient secret Adolfus Hitler (de fait, le nom de leurs grands-pères respectifs étaient "forclos", ce qui faisaient de leurs petits-fils des grands délirants paranoïaques, CQFD (Cf. aussi le test du gorille invisible, imaginé et réalisé à Harvard en 1999 par les psychologues Christopher Chabris et Daniels Simons,test présenté en 2015 par Brigitte Axelrad,dans les cahiers rationalissimes de l'AFIS (dans le n° 312 de Science et pseudo sciences)
L'Allemagne nazie avait besoin de beaucoup de futurs petits soldats pour étendre son hégémonie sur l'Europe et le monde. Les infidélités conjugales du ministre de la propagande furent donc bien acceptées par le Führer.
En France, les IVG furent après la guerre une aubaine pour certains obstétriciens, tel le Dr.Jean-Claude Elmelik, l'ex propriétaire de la Clinique Léon Elmelik, à l'Haÿ-les-Roses (aujourd'hui La Haÿ-les-Roses) qui les pratiquaient par centaines, moyennant, un petit plus, en passant, qui lui permettait d'y prendre gratuitement son pied, bien qu'il soit "milliardaire" (aux dires de la police locale, comme aux sus du Conseil de l'Ordre).
Jean-Claude Elmelik gagnait même du pèze à baiser les parturientes, endormies par sa sœur, mademoiselle Edith Elmelik, "anesthésiste des hôpitaux" (sic) et amie du docteur Patrice Bodenan, Responsable (sic) du bureau de Presse du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne et futur président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins au CROM de l'Île-de-France, après l'obtention d'un DEA d'éthique médicale (ce DEA lui sera dévré en 1999 par son Frère en maçonnerie le professeur Christian Hervé, directeur d'un "Laboratoire d'Ethique Médicale", au cinquième étage de la Faculté de Médecine de Paris)
Il se faisait même payer pour, avec Laval l'aval du Conseil de l'Ordre des médecins et du parquet de Créteil, alors sous la coupe de Michel Barrau, lui-même sous la coupe de l'Etat mitterrandien.
C'est-ainsi que le sydrome neuro-anémique lié à la maladie de Biermer, qui évolue inéluctablement vers l'aggravation et la mort dans des souffrances dont les personnes qui souffrent ou ont souffert de sciatalgies peuvent avoir l'idée quand il est laissé à lui même (à ceci près que les douleurs ne s'y limitent pas à un membre, mais sont généralisées et doublées d'angoisses de mort) peut délibérémment n'être pas traité, alors que ces douleurs et ces angoisses peuvent rapidement disparaître, comme par enchantement, pourvu que le traitement de cette maladie soit promptement appliqué.
A mon père, qui souffrait manifestement de cette maladie, ses médecins avaient, en toute connaissance de cause, non seulement refusé de lui administrer le traitement dudit syndrome, mais, me sachant médecin, avaient ordonné qu'un faux-semblant de ce traitement lui soit, devant moi administré !
L'ordre avait été exécuté et poursuivi même après que les infirmières d'un Service gériatrique ont elles-mêmes fait le diagnostic de la maladie : une quinzaine de jours après l'hospitalisation de mon père dans son Unité de Soins, madame Pondu, la Surveillante, s'était aperçue, en essayant de le faire manger, que le malade présentait une glossite de Hunter, caractéristique du syndrome neuro-anémique. La maladie de Biermer est en effet une maladie fréquente chez les personnes âgées.
Mais pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient-ils transmis un tel ordre au docteur Jean-Yves Beinis, médecin-chef de l'l'U.S.N. de l'hôpital Charles-Foix ?
Et comment le docteur Beinis a-t-il pu si fidèlement souscrire à une consigne manifestement mortifère ? (U.S.N. ==>> Unité de Soins "Normalisés", et non pas, comme on pourrait le penser, "Unité de Soins Nazifiés ").
Car le docteur Jean-Yves Beinis a réellement et "normalement" suivi fermement la consigne, en dépit du fait que madame Pondu lui a signalé la présence manifeste de cette glossite !
Et pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient-ils fait transférer leur malade à Charles-Foix dans une Unité de Soins "Normalisés" ?
C'est difficile à admettre, inadmissible même, mais pas très difficile à comprendre. Le prétexte était que le malade s'aggravait au lieu de guérir (évidemment puisqu'il ne recevait pas réellement le traitement qu'il lui fallait, qui n'aurait pourtant coûté en tout ete pour tout que le prix de deux ou trois paquets de cigarettes), qu'il occupait donc inutilement à grand frais le lit d'un coûteux Service de spécialité, et qu'un lit d'USN coûtait dix fois moins cher.
Une logique made in Assistance Publique !
--> D'une part les neurologues de l'hôpital Bicêtre savaient pertinemment que le docteur Beinis,en vertu du führer prinzip en vigueur à l'AP - HP,ne chercherait surtout pas à déroger aux ordres de ses "supérieurs" (l'atteste le fait qu'il a maintenu l'ordre de simuler le traitement même après que madame Pondu lui a signalé l'existence de cette glossite)
--> D'autre part les neurologues de Bicêtre ne tenaient pas à ce que leur malade vienne à décéder dans leur propre Service, classement oblige, alors que son décès dans un Service de gériatrie pouvait paraître chose banale et donc "normale" (l'expérience, bien qu'elle ait échouée par ma faute -cf. infra - sera répétée avec l'hospitalisation d'autres malades de l'AP - HP, cette fois au CHU de Mantes la Jolie, encore une fois avec Olivier Ille en tant que neurologue et donneur d'ordres, mais avec cette fois Christine Malèvre dans le rôle du docteur Beinis. (Christine Malèvre n'avait pas obéi au "führer prinzip", mais avait avant tout cherché à plaire à son cher et beau Chef de Service).
Les neurologues de l'hôpital Bicêtre obéissaient à plusieurs obligations : ils savaient ne fallait surtout pas faire de l'ombre aux propriétaires d'une Clinique des environs "protégée en hauts lieux" : elle était protégée par le parquet pour des raisons spécifiques mais inavouables.
D'autre part, ils savaient que l'Ordre des médecins la protégeait également, mais pour des "raisons" différentes, quoique tout aussi spécifiques et inavouables.
Il s'agissait en l'occurrence l'ex Clinique Léon Elmelik, sise à La Haÿ-les-Roses.
La Justice, c'est-à-dire le pouvoir politique, voulait garder cette Clinique en fonction malgré ce qui s'y passait - les femmes en couches, les parturientes, y étaient "régulièrement" violées en salle de réveil par le docteur Jean-Claude Elmelik, son médecin-propriétaire, protégé parce que sa Clinique rendait un grand "service" aux hôpitaux de l'AP et au CNTS.
Cette pantalonnade médico-judiciaire eut lieu dans les années 1990.
La loi Leonetti-Claeys ne date que de février 2016. Elle n’autorise qu’une «sédation profonde jusqu’au décès », et seulement pour « les malades en phase terminale ».
Le docteur Jean-Marie Faroudja, président de la section « éthique et déontologie » de l’Ordre des médecins, dit << qu'il peut y avoir des dérives dangereuses. Qu'un médecin ne doit pas pouvoir donner délibérément la mort. C’est pour cela que nous sommes tout à fait contre toute forme d’euthanasie. >> (sic)
Comme s'il ignorait ce qui s'était passé en 1990 contre mon père, quand ses médecins ont décidé, de leur propre chef, que mieux valait qu'il ne survive pas très longtemps (dixit en s'adressant à moi le "bon" docteur Pascal Masnou, alors neurologue Chef de Clinique dans Service du professeur Gérard Saïd, où mon père était hospitalisé depuis deux semaines. Lesdits médecins firent secrètement mais effectivement en sorte qu'il ne puisse survivre longtemps à sa maladie, une maladie qui certes était devenue handicapante, mais encore parfaitement curable, sans risque de séquelles.
Mon intervention de dernière heure avait trois semaines plus tard, en septembre 1990, permis à mon père de sortir très rapidement du coma, et, chose étonnante, lui avait fait regagner ses esprits alors qu'il avait été déclaré par Pascal Manou atteint d'une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une démence de type Alzheimer (dixit le même Masnou, à l'époque Chef de Clinique et par la suite élevé au grade d'Assistant).
Le prétexte avancé pour excuser ses fautes - évidemment sciemment fallacieuces - était que mon père "était de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation". (sic, l'antienne fut tout aussi à faux sciemment répétée en 1996 par le docteur François Chedru, dans son expertise, complaisamment rédigée et rendue six ans plus tard, conformément à la demande expresse de ses Confères René-Claude Touzart et André Lienhart, Touzart et Lienhart, qui, en tant pontes de l'AP - HP, avaient cherché à lui faire supporter la responsabilité de rédiger un faux en expertise. Ils s'étaient-ils donc arrangés pour le tenir éloigné de mon témoignage direct, d'une part en lui faisant savoir qu'il était inutile de venir au rendez-vous du 5 janvier 1996 fixé par madame Bénédicte Scelle parce qu'ils enregistraient - sans évidemment m'en avertir, puisque c'était illégal, - et d'autre part en lui disant que je n'étais qu'un "méchant", sic, dixit François Chedru lui-même quand je lui ai téléphoné le lendemain pour savoir pourquoi il ne s'était pas rendu à la convocation du juge.
Il faut savoir que le professeur René-Claude Touzart était au sein de l'AP - HP, à l'instar de Harvey Weinstein à Hollywood, un mandarin très respecté craint de ses semblables, ainsi que me l'a fait savoir une Consœur, qui avait été Interne dans son Service à l'Hôtel-Dieu. Ce qui explique pourquoi André Lienhart s'était empresser de téléphoner à ma sœur, qu'il savait hostile à tout procès (par peur des dépenses touchant à ce qu'elle appelait "son héritage") pour qu'elle vienne témoigner contre moi au rendez-vous du 5 janvier.
Comment le savait-il ?
Après la mort de nos parents, survenue au troisième trimestre de 1994, furieuse contre moi d'avoir laissé mon père intenter un procès contre X après qu'il a retrouvé ses esprits, ma sœur s'était adressée à Me Nicole Holstein en me décrivant comme un affreux machiste.
Cette avocate féministe, par ailleurs la mère d'une Consœur exerçant à l'hôpital Charles-Foix, lui avait pourtant fait savoir que dans cette affaire, j'avais eu raison d'avoir laissé mon père attenter un procès contre ses agresseurs.
Madame Bénédicte Scelle,juge d'instruction, s'était premièrement adressé à René-Claude Touzart pour expertiser cette affaire.
Mon intervention en septembre 1990 avait en quelques semaines permis à mon père de sortir très rapidement du coma, et, chose étonnante, lui avait fait regagner ses esprits alors qu'il avait été déclaré atteint d'une encéphalopathie vasculaire irréversible (Cf. supra.)
Sa résurrection avait mis ses médecins en émoi (elle avait plongé dans la panique), et avec eux la direction de l'hôpital Bicêtre. Tous se dépêchèrent de prétendre que le dossier d'hospitalisation de mon père avait été perdu quand j'ai demandé à le consulté - avant d'essayer cinq ans plus tard de me faire signer que la totalité du dossier m'avait été restitué quand me fut remis des documents qui n'avaient rien à voir avec ledit dossier.
Dans un second temps (en 2004) ils m'accusèrent d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, le professeur Gérard Saïd était encore et doit l'être toujours membre de l'IFREM, Institut Français de Recherche en Ethique Médicale juive, l'éditeur Médica Judaïca) tout en promettant de porter cette affaire devant la Justice (en vertu de l'article 40 du CPP ! ) - ce qu'ils se dépêchèrent aussi très curieusement d'oublier de faire)
La résurrection de mon père me valut aussi les persécutions des ennemis traditionnels des membres de l'AMIF, c'est-à-dire de l'Ordre des médecins, qui en la circonstance tenta de se réconcilier avec les médecins de l'AMIF. Le docteur Bruno Halioua fut en échange "autorisé" et même promptement invité - par Bernard Weber, ainsi qu'il l'a lui-même avoué, à publier son "Blouses blanches, étoiles jaunes" (ouvrage paru en décembre 1999vchez Liana Lévi) à l'époque où, comme par hasard, on pouvait entendre dire à l'hôpital Saint-Louis, où "Espace Ethique de l'AP - HP" avait essaimé depuis Bicêtre, que << dans cette affaire, on a rien à craindre : on tient la médecine, la Presse et la Justice >> (sic, à propos de l'affaire "Christine Malèvre", une affaire connexe, dans laquelle Christine Malèvre avait joué en 1997 au CHU de Mantes la Jolie le rôle que les neurologues de Bicêtre avaient fait jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis (ils lui avaient passé la consigne de ne surtout pas appliquer à mon père le traitement qui pouvait lui sauver la vie, mais de n'administrer devant moi qu'un faux-semblant. La consigne fut transmise verbalement, mais aussi par une lettre manuscrite d'Olivier Ille, le futur patron de sa très zélée Christine Malèvre, au docteur Beinis)
Deux des "hauts" représentants supermaçoniques de l'Ordre des Médecins, les nommés docteurs Jean Pouillard et Patrice Bodenan avaient de leur côté cherché à me faire appliquer l'article L 460 du CSP
au bénéfice de leur poulain "milliardaire" le médecin serial-violeur Jean-Claude Elmelik, l'ex propriétaire de la Clinique Léon Elmelik, milliardaire, selon le Principal du Commissariat de La Haÿ-les-Roses.
Un médecin ne doit pas pouvoir donner délibérément la mort. C’est pour cela que nous sommes tout à fait contre toute forme d’euthanasie.
Morale et résultats des courses : le docteur Patrice Bodenan accédera dix ans plus tard à la présidence du Conseil Régional de l'Ordre des Médecins d'Île-de-France et le docteur Olivier Ille fera de beaux discours les 15 et 16 mars 2014 à Peray-le-Monial sur le thème "Prends soin de lui" (Cf. Olivier Ille - Cinquième rencontre d'Amour & Vérité le 15 mars 2013 à la Communauté de l'Emmanuel)
Vérification faite ce jour, le site a disparu depuis l'an dernier.
Pourquoi ? A-t-il été supprimé ?
On ne trouve plus que :
Prends soin de lui 3 [ Dr Olivier Ille Réf: E003948 Produit original: L ...
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Téléchargement de MP3 chrétiens Prends soin de lui 3 [ Dr Olivier Ille Réf: E003948 Produit original: L'Emmanuel AVM-DEP4635] - 5°Rassemblement .www.exultet.net/eshop/pages-product.../dr-olivier-ille-prends-soin-de-lui-3.html