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4 novembre 2017 6 04 /11 /novembre /2017 15:33

Sigmund Freud a raconté, dans ses cinq célèbres psychanalyses, comment un certain Monsieur "K". (un quadragénaire qui n'avait rien à voir avec Nikita Khrouchtchev),avait réussi à séduire une jeune fille de 14 ans en essayant de la violer.

(de "l'embrasser"  rapporte  Freud, qui n'a jamais voulu comprendre ce que "l'hystériaue Dora" tout comme précédemment Anna O , elle aussi assez hystérique pour avoir développé avec le docteur Josef Breuer une "grossesse hystérique", avait réellement eu à subir de la part de son "séducteur". Freud avait dès cette époque développé le concept de contrainte de répétition, mais pas encore celui de "complexe d’œdipe", et encore moins celui de répétition transgénérationnelle. Or il avait présumé que ses sœurs devaient avoir subi l'inceste du fait qu'elles étaient "hystériques", mais aussi ses frères, conformément à ses premiers aperçus sur de l'étiologie de l'hystérie, publiés en 1895, en collaboration avec Josef Breuer, qui lui avait raconté l'hystérie de sa célèbre patiente. La validité du concept psychanalytique de contrainte de répétition transgénérationnelle inconsciente se vérifie d'une part par le fait que Freud lui a lui-même inconsciemment cédé en allongeant sa propre fille Anna sur son divan pour qu'elle lui raconte ses fantasmes et activités érotiques, qui était la mise en scène inconsciente de ce qui était arrivé moins symbolique à sa mère Amalia avec son père Jakob Nathanson alors qu'elle avait l'âge de sa fille, et par la suite à son petit-fils Vincent Freud,député britannique, inconsciemment victime de cette irrépressible contrainte, qui l'obligea à répéter sur des adolescentes le viol incestueux qu'avait subi son arrière grand-mère en juin-juillet 1855)

Ce si séduisant monsieur K était par ailleurs l'amant de la mère de Dora.

Elle en était inconsciemment tombée amoureuse, mais refoulait tellement ses sentiments, complexe d’œdipe vis-à-vis de sa mère oblige, puisque celle-ci était la maîtresse de monsieur K, qu'elle n'avait pas osé lui déclarer qu'elle ne désirait rien tant que de lui faire une fellation.  

Son  désir transparaissait à l'évidence (selon Freud) dans ses rêves, et dans le fait qu'elle en avait développé une toux spasmodique, symptomatique de son désir refoulé, bien que sa toux ait précédé de plusieurs années sa violente rencontre avec monsieur K.. (ce qui démontre bien que dans l'inconscient les contradictions n'existent pas).

Or il est bien connu, comme l'a si bien dit Jacques Lacan "qu'il ne faut rien céder sur son désir", sinon on tombe malade. C'est bien ce qui était arrivé à la  Ida-Dora.     

Se réclamer de la thérapie psychanalytique freudo-lacanienne sert à assouvir des besoins Xinavouables, et c'est la raison du développement des psychothérapies psychanalytiques, au bénéfice des créatures trop coincées par le refoulement que leur imposait la culture judéo-chrétienne : Sigmund Freud, à l'instar et à la suite de Philippe Pinel brisant les chaînes des aliénés, était venu briser celles, plus symboliques, des jeunes filles coincées  dans leurs désirs fellatoires, ou fellationnistes ? (la langue française, pourtant si précise, laisse encore à désirer sur ce pland).       

L'avait bien compris le Dr Charles Caille, 68 ans, psychiatre se réclamait de la psychanalyse, venait d'être incarcéré, condamné à huit ans de prison par la cour d'assises de Loire-Atlantique.  Alléguant la psychothérapie il soignait ses patientes par la "méditation de l'étreinte", une technique psychothérapique  consistant à se présenter nu devant les patientes et à leur demander une fellation pendant qu'il égrainait des prières sur son chapelet, une variante de la technique thérapeutique emprunté à Freud.

Dans sa description du cas de "Dora" (alias Ida Bauer) une jeune adolescente,  Sigmund Freud, avait allégué qu'elle souffrait à travers son symptôme du désir inconscient, parce que refoulé, de faire  fellation à monsieur K, l'amant de sa mère, (Cf. "Dora s'en va", une exégèse de Patrick Mahony, aux éditions "Les  Empêcheurs de penser en rond ").

Sur les cas similaires, lire Louisa de Urtubay

<< Quand les psychanalystes passent à l'acte >>, livre peu connu paru en 2007 aux Presses Universitaires de France.

Le procès du Dr. Caille portait sur des faits commis sur trois des ses patientes entre 1998 et 2000.

 Lors de son procès, l'ancien psychiatre a bie admis quelques  "dérapages", mais a nié avoir voulu violer ses patientes, ces dernières étant disait-il "consentantes". 
Une quatrième patiente du psychiatre avait porté plainte en octobre 2009 mais sa plainte avait été classée sans suite, plus de dix ans s'étant écoulés depuis sa dénonciation. 

L'avocat général Yves Gambert, dénonça les pratiques pseudo-médicales de l'accusé  en ces termes :  << C'est un menteur et un manipulateur, mais aussi un pervers et un prédateur. Il utilise son intelligence pour assouvir ses désirs sexuels >>.

Avant que le jurés n'aillent délibérer, le Dr. Caille finit par  reconnaître les faits et par demander  pardon à ses victimes : << je ne suis pas fier de moi. Je remercie mes patientes de m'avoir accusé. Cela m'a permis de voir que j'étais à côté de mes pompes >> (sic).

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4 novembre 2017 6 04 /11 /novembre /2017 10:57

Sigmund Freud a raconté, dans ses cinq célèbres psychanalyses, comment un certain Monsieur "K". (un quadragénaire qui n'avait rien à voir avec Nikita Khrouchtchev), avait réussi à séduire une jeune fille de 15 ans en essayant de la violer.

Ce monsieur K était par ailleurs l'amant de sa mère.

Ladite jeune fille en était inconsciemment tombée amoureuse, mais refoulait tellement ses sentiments, complexe d’œdipe vis-à-vis de sa mère oblige, puisque celle-ci était la maîtresse de monsieur K qu'elle n'avait pas osé lui déclarer qu'elle ne désirait rien tant que de lui faire une fellation : ce qui transparaissait à l'évidence parce qu' elle en avait développé une toux spasmodique, symptomatique de son désir refoulé.

Or il est bien connu, depuis Jacques Lacan "qu'il ne faut rien céder sur son désir", sinon on tombe malade. C'est bien ce qui était arrivé à la pauvre petite Ida-Dora.     

Se réclamer de la thérapie psychanalytique freudo-lacanienne sert à assouvir des besoins Xinavouables, et c'est la raison du développement des psychothérapies psychanalytiques, au bénéfice des créatures trop coincées par le refoulement que leur imposait la culture judéo-chrétienne : Sigmund Freud, à l'instar et à la suite de Philippe Pinel brisant les chaînes des aliénés, était venu briser celles, plus symboliques, des jeunes filles coincées  dans leurs désirs fellatoires, ou fellationnistes ? (la langue française, pourtant si précise, laisse encore à désirer sur ce pland).       

L'avait bien compris le Dr Charles Caille, 68 ans, psychiatre se réclamait de la psychanalyse, venait d'être incarcéré, condamné à huit ans de prison par la cour d'assises de Loire-Atlantique.  Alléguant la psychothérapie il soignait ses patientes par la "méditation de l'étreinte", une technique psychothérapique  consistant à se présenter nu devant les patientes et à leur demander une fellation pendant qu'il égrainait des prières sur son chapelet, une variante de la technique thérapeutique emprunté à Freud.

Dans sa description du cas de "Dora" (alias Ida Bauer) une jeune adolescente,  Sigmund Freud, avait allégué qu'elle souffrait à travers son symptôme - un toussotement - du désir inconscient parce que refoulé de faire  fellation à monsieur K, l'amant de sa mère, (Cf. "Dora s'en va", une exégèse de Patrick Mahony, aux éditions "Les  Empêcheurs de penser en rond ").

Sur les cas similaires, lire Louisa de Urtubay

<< Quand les psychanalystes passent à l'acte >>, livre peu connu paru en 2007 aux Presses Universitaires de France.

Le procès du Dr. Caille portait sur des faits commis sur trois des ses patientes entre 1998 et 2000.

 Lors de son procès, l'ancien psychiatre a bie admis quelques  "dérapages", mais a nié avoir voulu violer ses patientes, ces dernières étant disait-il "consentantes". 
Une quatrième patiente du psychiatre avait porté plainte en octobre 2009 mais sa plainte avait été classée sans suite, plus de dix ans s'étant écoulés depuis sa dénonciation. 

L'avocat général Yves Gambert, dénonça les pratiques pseudo-médicales de l'accusé  en ces termes :  << C'est un menteur et un manipulateur, mais aussi un pervers et un prédateur. Il utilise son intelligence pour assouvir ses désirs sexuels >>.

Avant que le jurés n'aillent délibérer, le Dr. Caille finit par  reconnaître les faits et par demander  pardon à ses victimes : << je ne suis pas fier de moi. Je remercie mes patientes de m'avoir accusé. Cela m'a permis de voir que j'étais à côté de mes pompes >> (sic).

 

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28 octobre 2017 6 28 /10 /octobre /2017 16:12

En France il est dit enseigné et répété depuis "toujours" que "la" schizophrénie touche partout dans le monde invariablement autour de 1% des individus.

Depuis "toujours", c'est-à-dire depuis que la psychiatrie a accroché un nom à un ensemble de manifestations comportementales invalidantes sur le plan social. A croire que les psychiatres ne savent pas communiquer entre eux.

En Suède les troubles schizophréniques sont dites  « maladies psychosociales »  en tant que troubles mentaux handicapants caractérisés par des sentiments d'insécurité et d'anxiété en rapport avec des états délirants.

En Suède toujours, les personnes affectées par les maladies psychosociales sont autour de 80.000, dont 30.000 diagnostiquées "schizophrènes".

En 2016 la Suède comptait 9.903.000 habitants.

Les "schizophrènes" y représentent donc presque exactement 0,3 % de la population générale (3O.000/9.903.000 = 0, 3029 %), alors que cette proportion tourne autour de 1% chez les personnes immigrées.

Cette différence s’explique non pas par la génétique, mais par la plus grande fréquence des expériences traumatisantes et l’insécurité que les immigrés ont eu ou ont encore à vivre du fait d'une situation sociale bien plus incertaine que l’ensemble de la population : les états schizophréniques sont en effet des maladies psychosociales.

En 1988, selon le professeur Johan Cullberg dans une nouvelle édition de son précis de "psychiatrie dynamique", cette maladie touchait en Suède 0,35 % de la population (Cullberg est en Suède un psychiatre médiatique, à l'instar de Boris Cyrulnik en France) .

En France, à l'Institut de Recherche et de Documentation en Économie de la Santé (l'IRDES), Clément Nestrigues et Magali Coldefy avancent que entre 1% et 2 % de la population générale est affectée par cette "maladie", (chiffres de 2007, rapportés en février 2015 dans le n° 206 de l'Economie de la Santé)

Le stress mental, les expériences traumatisantes et les drogues (en particulier le cannabis) augmentent le risque de développer "la" schizophrénie (il s'agit en réalité bien plus d'un syndrome que d'une maladie caractérisé par une cause bien définie, comme l'est la rougeole ou la scarlatine - on parle de causes "multifactorielles", et classiquement en France trois "formes cliniques" sont distinguées (hébéphrénieschizophrénie simple et schizophrénie paranoïde.  La "psychose hallucinatoire chronique" n'y est pas comptée comme une forme clinique, contrairement à ce qu'il en est de la classification suédoisequi inclue (ou incluait en 1988) la PHC dans "le groupe des schizophrénies", et peut-être aussi "la paraphrénie")

Quoique ces états ne soient pas d'origine génétique, si les parents, les frères et les sœurs sont affectés, le risque d'être malade augmente.

En France comme en Suède les maladies psychosociales se retrouvent dans toutes les classes de la société, presque à égalité chez les  femmes et chez les hommes, quoique les hommes soient un peu plus souvent touchés.

En ce qui concerne ce que l'on appelle improprement "la schizophrénie", les circonstances de découverte sont variables.

Souvent la personne tend à s'isoler de plus en plus, est perçue par l'entourage comme un peu étrange, la maladie ne devenant évidente qu'à travers un épisode psychotique aiguë, (une bouffée délirante inaugurale) des peurs ou des inquiétudes irraisonnables, des hallucinations, auditives le plus souvent, des illusions, des idées de persécutions.

Ces états nécessitent un premier traitement antipsychotique pour enrayer le passage à la chronicité.

En Suède, l'écoute des malades, les aides et les méthodes de traitement se sont améliorées au fil du temps. Johan Cullberg y a pour beaucoup contribué, qui s'était fait l'avocat d'une prise en charge plus humaine, moins axée sur l'administration compulsive d'antipsychotiques.

Les remèdes pharmacologiques sont devenus plus efficaces et mieux tolérés du fait d'effets secondaires moins incapacitants, du moins en Suède, où la psychiatrie n'est pas inféodée au freudisme et donc à sa thématique iatrogène, et iatrogène parce que délirante et persécutrice (en France les mères d'enfants autistes ou retardés sur le plan cognitifs ont longtemps été considérées, à travers les concepts psychanalytiques freudiens, comme des mères toxiques, et mises en cause dans l'autisme ou retard intellectuel de leurs enfants, cf. Maud Mannoni, "L'enfant arriéré et sa mère", un livre ambiguë, que Jacques Lacan recommanda chaudement, comme s'il avait à travers son livre et ses prises de positions trouvé matière à pointer la débilité intrinsèque du "père de la psychanalyse"(c'est-à-dire de la théorie du "non du père"), lui substituant celle de la "forclusion du-nom-du-père" (le nom-du-père de l'inventeur du complexe d’œdipe  ne serait pas (n'est pas) Jakob Freud, mais Jacob Nathanson) à l’œuvre dans la l’imbécillité des psychanalystes courants (par leurs "disque-ourcourants" ils signalent qu'ils sont semblables à un disque rayé., à des perroquets qui répètent sans comprendre (il n'est pourtant pas certains que tous les père OK ne sachent pas ce qu'ils disent).  

En Suède, Johan Cullberg restait attaché à la théorie oedipienne, qui la répercutait sans la critiquer encore en  1988 dans son traité de "psychiatrie dynamique" !   

Le célèbre psychiatre Suisse Carl-Gustave Jung, après qu'il s'est séparé de Freud en 1913, en fut réellement persécuté en vertu de sa personnalité et de la théorie qui la reflétait, celle-ci étant à son image, une construction paranoïaque, le fruit des pratiques incestueuses de son père biologique.

Le controuvé complexe d’œdipe est en effet on ne saurait plus projectif, à son insu l'expression d'une "équation" relative à lui-même, mais "forclose", c'est-à-dire "délirogène" et par conséquent iatrogène, selon Jacques Lacan

D'où son expression boomerang "retour à Freud", Freud ayant été son principal, pour ne pas dire son unique, sujet d'étude: Lacan craignait d'avoir été deviné et dépassé sur la question de la "forclusion du nom du père" dans la survenue des psychoses paranoïaques, c'est-à-dire projectives.

Lacan convoqua ainsi la psychanalyste Marie Balmary : Balmary avait sous-titré sa thèse sur l'aveuglement de Freud, sur "le point aveugle" de Freud  et de ses thuriféraires  "La faute caché du père". Son analyse pointait l'origine sans doute criminelle de sa père des chemins de fer, la deuxième épouse secrète de Jakob Freud, Rebecca, y ayant apparemment "laissé la vie" pour que Jakob Freud puisse la remplacer par une plus jeune épouse, une jeune fille de 19 ans déjà enceinte de son père, et de ce fait devenue difficile à marier (voir aussi Gabrielle Rubin, "Le roman familial de Freud", Payot, 2002)  

Une faute évidente mais sur laquelle il avait fallu à Freud "fermer les yeux"  ( c'est l'objet du séminaire de Lacan sur "La lettre volée"), faute de quoi Freud aurait été jeté aux orties (voir infra comment le "psychanalyste orthodoxe" Roger Perron perpétue l'aveuglement princeps de son maître à penser )      

Jung,tombé dans le panneau, avait failli sombrer définitivement dans la schizophrénie, subir l'internement psychiatrique dans son propre établissement, la célèbre Clinique Universitaire de Zurich, où Eduard Einstein, le fils caché d'Albert Einstein, avait dut finir ses jours après plus de trente ans d'internement, en y servant de jardinier.

Dans dernière parution de "Le Monde des Religions" le psychanalyste Stéphane Gumper ne cache pas que non seulement Jung, mais d'autres psychiatres, "disciples" de Freud, ont été intoxiqués par ses constructions délirantes, pour sombrer dans la folie et la mort.

Freud, très cyniquement, se réjouissait d'ailleurs d'en "consommer" autant.

Sans compter que Freud a beaucoup inspiré Adolf Hitler, si tant est qu'il n'a pas été quelques temps son thérapeute, comme le suggère certaines ressemblances en miroir, certains aveux inconscients et d'autres, qui le sont moins, et ses effets sur celui-ci. Mais chut !  

En Suède, Freud a depuis longtemps été jeté aux oubliettes par la psychiatrie, ce qui explique probablement pourquoi "la" schizophrénie y est 3 fois moins fréquente qu'en France, où les constructions  freudiennes tiennent encore la vedette, tout au moins dans les médias (Cf. supra  Stéphane Gumper dans "Le Monde des Religions") 

Dans une émission de grande écoute de France Inter ("Grand bien vous face"), on a dernièrement pu entendre un des animateurs dire qu'il parlait "sous la supervision"  du psychanalyste qui participait à l'émission.

Malgré "Le réel escamoté", de Jeffrey Moussaïeff Masson, (1984) "Tempête aux archives Freud", de Janet Malcolm, "Le livre noir de la psychanlyse", publié aux éditions Les Arènes en 2005, en passant par bien d'autres, dont  "Anna O, une mystification centenaire", de Mikkel Borsh JacobsenMensonges Freudiens", de Jacques Bénesteau, "Le crépuscule d'une idole", de Michel Onfrey, et de bien d'autres études critiques de par le monde, Freud garde encore en France son pouvoir toxique pour ne pas dire maléfique.

Comment l'expliquer ?

Les concepts freudiens sont non seulement très lucratifs pour ceux qui en tiennent les ficelles, mais servent d'alibis aux pédocriminels comme aux violeurs lambdas, quand ils ne sont pas de "haute volée". Un article du psychiatre "psychanalyste" Samuel Lepastier paru dans le journal "Le Monde" du 8 février 2006 au sujet des enfants d'Outreau, en est la démonstration, parce qu'ils auraient, bien qu'ils aient été reconnus par la justice avoir réellement subi les pires outrages, selon lui surtout été victimes de "fantasmes oedipiens inconscients", et l'article consacré à l'inceste du "psychanalyste" Roger Perron, paru en 2002  dans le "Dictionnaire international de psychanalyse" chez Calman-Lévy, qu'il termine en affirmant éhontément qu' << il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportement réels de type incestueux, infiniment plus rares >>  (sic, alors que les enfants qui ont réellement été incestés par des passages à l'acte se comptent par millions rien qu'en France, et par leurs équivalents symboliques, comme par exemple ceux que Freud fit lui-même subir à sa fille Anna en l'allongeant sur son divan alors qu'elle avait 19 ans pour qu'elle lui raconte ses activités et fantasmes érotiques.

Etait-il seulement conscient qu'il reproduisait ainsi à  la situation qui lui avait donné le jour, mais pas la lumière, d'être né d'une relation incestueuse entre son grand-père paternel Jacob Nathanson et sa mère Amalia !

Cf. à ce sujet les recherches pénétrantes de Marie Balmary, publiées en 1979 chez Grasset sous le titre "L'homme aux statues", recherches que complètent celles de Marianne Krüll, "Freud fils de jacob", publiées en 1984 chez Gallimard, et celles de Gabrielle Rubin, "Le roman familial de Freud" publiées chez Payot en 2002.

 

                                             Pierre Cretien, 28/10/2017

 

 

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25 octobre 2017 3 25 /10 /octobre /2017 00:57

Freud se tenait derrière le divan. Jamais il ne s'est couché sur le divan analytique, comme il l'avait exigé de ses adeptes après que Carl-Gustave Jung lui en a suggéré l'idée, avant que Freud ne s'en prenne à ses conceptions pour essayer de le faire basculer dans la schizophrénie, comme il tentera le faire plus tard avec Sandor Ferenczi, pour le faire taire (Cf. www. Michel Meignant "L'affaire Freud".)   

Le numéro 53 du dossier du "Monde des Religions" est consacré au DIABLE CET ANGE QUI VOUS VEUX DU MAL

Le diable y est généralement orthographié avec un "petit d", sauf en page 5, dans le sommaire du dossier, titré en lettre majuscules, en page 35 et en page 46, dans  l'article que Bénédicte Lutaud consacre à la réalité de son existence, alors qu'à la même page lui est octroyé un D majuscule dans la citation d'un livre de Jacques Dusquesne sur la question ("Le Diable", Plon, 2009)

Dans celui de ce qu'en dit "la psychanalyse" ("Satan sur le divan, entretien avec Stéphane Gumper"), il est en quelque sorte question de ce que Freud pense de lui-même, c'est-à-dire de Satan, dans la mesure où sa pratique et son enseignement a été source de haines à n'en plus finir, et de désespoirs, souvent  mortels : le nombre de suicides causés par les interprétations psychanalytiques faites aux victimes de viols et d'incestes dépasse probablement dans le monde le nombre de morts provoqué par la deuxième guerre mondiale, d'autant que Sigmund Freud, qui avait un grand penchant pour les dictatures, et par conséquent les hommes à poigne, tels que Mussolini, ainsi qu'à osé le pointer Michel Onfray dans un article percutant publier dans "Libération" du  3 mai 2010 a beaucoup inspiré un certain Adolf Hitler, et pour cause ..., cf.  "Oui, Freud avait un goût pour le fascisme"  alors que  "Le Figaro" du 10 mai de la même année révèle qu' Adolf Hitler, que ses parents avaient d'ailleurs prénommé Adolfus était du point de vu génétique d'origine sémitique. 

Le psychanalyste Gumper ignore vraisemblablement que son prénom est un rien satanique pour un Suédois, puisque  Stéphane s'y écrit Stefan, comme en allemand, et que fan, en suédois, c'est satan.  

J'y reviendrais à propos de ce que depuis Carl-Gustave Jung on dénomme des synchronicités signifiantes.

Ces synchronicités peuvent tout à la fois avoir été "diabolique" et "providentielles". 

Telles celles qui avaient, dans un concours de circonstances épouvantables conduit Peter Richley à retrouver sa mère Sarah à bord du City of Leeds.   

Ces synchronicités peuvent tout à la fois avoir été "diabolique" et "providentielles".

Pour conclure son très remarquable "roman" "Sigmund Freud mon patient" (paru en 2006) Tobie Nathan trouve extraordinaire que Freud ait si longtemps  réussi à faire admettre comme la psychanalyse comme une science dans le monde entier, non seulement par des philosophes et de grands écrivains, mais aussi par de médecins psychiatres et des sommités scientifiques, des prix Nobel de physique. Albert Einstein, pour qui "Dieu ne joue pas aux dés",  s'était finalement laissé prendre au diable incaorné en Fraeude bien qu'il n'ait été d'aucune utilité pour son  fils Eduard, déclaré "schizophrène" par les psychiatres freudiens de la Clinique universitaire de Zürich. 

Thomas Lepoutre, psychologue attaché à la psychanalyste,  a saisi la récente publication de la correspondance entre Freud et Bleuler pour ‘‘réinterroger’’ l’introduction et la fixation en psychiatrie d’une entité clinique prétendument incurable, la schizophrénie, alors qu’il ne s’agit que d’un syndrome  transitoire, curable, pour peu que les personnes atteintes trouvent une meilleure oreille pour les entendre que celle que leur prêtent les psychiatres demeurés freudiens. Cette fixation fut l’œuvre du psychiatre suisse Eugen Bleuler, un exact contemporain de Freud, à partir des concepts fumeux et projectifs de ce dernier (les concepts « perlaborés » par Freud sont à la fois opportunistes,  projectifs et paranoïaques. Ils ont été jusqu’à servir Adolf Hitler, qui lui était si reconnaissant qu'il lui fait délivrer un sauf conduit pour qu’il puisse sans encombre quitter l’Autriche, après cette autre annexion que constituait le rattachement de l'Autriche au troisième Reich

Pär Hallström qui présidait le Comité pour l'attribution du Prix Nobel en 1936, lui ne s'y était pas laissé prendre : voir en quels termes il avait récusé la proposition que lui avait adressé Romain Rolland dans "Les Temps Modernes", numéro 643, paru en 2007 (article de Nils Wildlund)

Démontrer l'existence du diable serait démontrer l'existence de Dieu : mais-ou-et-donc-or-niktamer, puisque vu du monde comme il va, est plus facile de croire en l'existence du diable qu'en l'existence de Dieu. (Le diable se cache dans les détails, et quand on fait une analyse un peu plus attentive des textes de Freud, on se rend compte qu'il a finit par croire lui-même à ses propres mensonges (jusqu'à un certain point, car il a aussi avoué en privé que ses malades ne pouvaient guérir, qu'ils l'importunaient, qu'ils n'étaient que racailles - jugement très projectif - qu'il n'étaient bons qu'à ses "recherches", c'est-à-dire sa recherche de gloire et d'argent, ce qui explique pourquoi il s'intéressait surtout aux plus grosses fortunes, et aussi pourquoi si nombreux sont ceux qui on cherché à le suivre, et à faire comme lui, en mieux pire, tel Jacques Lacan, qui lui au moins n'était pas dupe.

Cf. aussi l'article consacré l'exorcisme (dix questions au père Vincenzo Taraborelli),

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23 octobre 2017 1 23 /10 /octobre /2017 13:25

Tout le monde n'a pas comme Martin Lüther eu à se battre avec le diable ... sinon avec des personnes à sa ressemblance ... qu'on les appelle "pervers narcissiques" ou "psychopathes".    

Interloqué par Au-delà de l'impossible j'ai fini par lire son Le nouveau dictionnaire de l'impossible. Je dédie donc au prestigieux Prix Goncourt 1997  Didier van Cauwelaert ce petit résumé d'un retour inattendu à la vie, celui de mon père, un retour miraculeux mais très mal vécu par les médecins qui l'avaient en charge à l'hôpital, par le Conseil de l'Ordre, mais aussi par la Justice !

Mon père ne se disait pas "croyant", il avait même les curés en horreur, mais m'a un soir avoué, c'était en 1994, en début d'année, avoir prié dans la journée pour que je passe le voir chez lui le plus vite possible (alors qu'il m'avait au cours de l'année précédente maudit - et mots dit, une explication de son aversion généralisée pour les curés)

Le 5 septembre 1990, en constatant de visu que le traitement que les médecins du CHU Charles-Foix appliquaient à la maladie de mon père le conduisait inéluctablement vers une issue fatale, les infirmières d'un service gériatrique de cet hôpital, apprenant que j'étais médecin, pensant que leur Chef de Service et son Assistante devaient s'être trompés, m'avaient discrètement demandé de venir "jeter un œil" sur le cahier de prescription.

J'ai ainsi pu, au moment où mon père était en passe de mourir, intervenir pour lui administrer en catastrophe le traitement qui l'a non seulement sorti d'un coma carus, mais qui, contre toute attente, n'a pas été terminal, mais a réussi à lui faire retrouver rapidement, à 30/30 au MMSE, ses capacités cérébrales alors qu'il avait été diagnostiqué par ses médecins comme dément souffrant de la maladie d'Alzheimer compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire", le tout  à l'origine d'une "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) déclarée incurable. <<Ne vous faîtes pas d'illusion - m'avait dit le médecin Chef de l' Unité de Soins Normalisés - votre père ne remarchera  jamais >> .

C'est ce qui leur avait fait dire - et même fait écrire noir sur blanc six ans  plus tard par un confrère sollicité en expertise, donc sciemment à faux  -  qu'il était (en 1990) "de toute façon inéluctablement voué à une plus grande aggravation" (sic, pour faire ressortir que les énormes fautes commises à son encontre par ses médecins n'avaient été que vénielles, quasiment sans importance, puisqu'il était "de toute façon voué etc ... une déclaration faite au mépris du CP qui condamne - en principe - sévèrement les faux en expertise. Mais ce principe, il pouvait en l'occurrence sans crainte s'asseoir dessus, parce qu'il le savait bien en tant que lui-même Chef d'un  Service de neurologie dans un CHU de l'AP, c'était ce que lui demandait l'Establishment. C'est d'ailleurs à lui que s'adressera le professeur Olivier Lyon-Caen pour dire au micro de France-Culture ce qu'il faut penser de l'objectivité des experts médicaux, dans une émission intitulée "Avec ou sans rendez-vous" ... au droit du plus faux ... une émission diffusée le 13 septembre 2013)

C'est que le rétablissement de mon père avait été tellement contrariant et dérangeant qu'il avait semé la panique au sein de l'Establishment, c'est-à-dire au Conseil de l'Ordre des médecins comme à la direction de  l'AP - HP,  qui se concertèrent (en 1992) pour que me soit appliqué l'article L 460 du CSP, applicable aux médecins "dérangés" dérangeants l'ordre établi.

Bien plus tard, en 2004,  l'AP -HP, la direction de l'hôpital Bicetre et le Chef du Service responsable de ces énormités m'ont menacé de poursuites en justice en m'accusant d'avoir été responsable de leur bavure, prétendant que j'avais moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, à cause de mon nom patronymique ? alors que si j'avais porté le nom de ma famille maternelle l'accusation aurait probablement été la même, parce que, c'est bien connu,  "la haine de soi d'être juif" est "maladie" courante, qui sévit chez certains journalistes de "Le Monde", selon le pédopsychiatre Georges Gachnochi, qui la dénonçait (dans un Colloque qu'il présidait, dont le thème était  la "Psychanalyse de l'antisémitisme", Colloque tenu au sein de l'AIU le  dimanche 15 novembre 2002).

La loi, par l'article 40 du CPP  faisait d'ailleurs aux médecins de mon père obligation de me dénoncer, car ce qui aurait été ce l'on appelle en médecine un "syndrome de Münchhausen" est passible d'une très lourde condamnation pénale.

La correction de la  "bavure"  que ses médecins avaient commise - ils avaient à tort refusé à mon père le traitement de la maladie de Biermer,  jusqu'à faire semblant de le lui administrer - avait pourtant permis d'initier la découverte d'un syndrome neurologique resté jusqu'en 1990 méconnu parce que confondu dans ses manifestations cliniques avec la maladie d'Alzheimer, alors qu'il concerne des milliers de malades et est de traitement  très simple et efficace, pourvu qu'il soit vraiment administré.

Ce syndrome est maintenant connu  - depuis 2003  -  sous le nom de syndrome NDB12PP.  

Le cas de mon père avait ainsi été un cas princeps, mais la panique que suscita son rétablissement inattendu au sein de l'AP - HP avaient obligé les médecins à y réfléchir un peu plus longuement.

C'est en fin de compte madame le professeure Jacqueline Z., à qui j'avais écrit en 1992 pour attirer son attention sur le fait, comme je l'avais fait pour le professeur François Piette, gériatre, et bien avant, dès 1990,  au professeur Yves Najean à l'hôpital Saint-Louis, qui a été récompensée, en 2005, par la Fondation de France, pour ses recherches sur les états relatifs audit syndrome, et donc aux états cryptiques  B12 carentiels, un syndrome dont j'avais en 1990 postulé la possibilité avant d'en démontrer la réalité en le contrant avec le traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer.

De tout cela le journal "la Croix" ne s'est pas fait l'écho, pas plus que les autres journaux et magazine auxquels je m'étais adressé, et ce n'est pas non plus par "la Croix" que j'ai découvert qu'à l'Eglise Saint Nicolas des Champs se produisaient des guérisons étonnantes, mais ces jours-ci grâce à Didier van Cauwelaert, un écrivain qui n'a manifestement pas "la plume de bois" (je lui emprunte cette expression.)  

En attendant, je dois me contenter de vivre chichement après avoir été chassé de chez moi par une épouse cornaquée par un psychanalyste lambda à Lacan, jusqu'à devenir un temps SDF, et dormir dans ma voiture, car on m'a fait payer très cher mon "outrecuidance" (J'ai comme René van Cauwelaert, le père de Didier, été arnaqué par une avocate (Cf. "Le nouveau dictionnaire de l'impossible" chapitre "Matérialisation") 

La mienne m'avait été recommandée en octobre 1996 par une psychiatre de MSF pêchée à Enfance Majuscule. Elle est depuis mars 2014 devenue conseillère spéciale du pape François II (selon "le Parisien"). Elle m'a en juin 1999, quand elle-même a éprouvé les mêmes désagréments que moi vis à vis du Conseil de l'Ordre, demandé de la pardonner ... de m'avoir mal conseillé.

Aurait-elle été arnaquée - comme moi - par ladite avocate "Majuscule" ?  Tout ça n'est pas fini, car le problème est politique, et "ça" n'en finit pas depuis que les "possédés" ont de plus en plus l'outrecuidance de balancer ce que les "possédants" leur ont fait subir.

CQFD ce qu'il en est d'avoir mis les pieds sur les pavés très inégaux de l'Establishment. 

Pour en savoir plus, voir  les articles précédents 

"genocides.over-blog.com" (le blog de leon).

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Interloqué par son livre sur "l'au-delà du possible",  je dédie ce petit résumé du retour inattendu à la vie de mon père - un retour "miraculeux" - à l'illustre écrivain Didier van Cauwelaert, dont je viens de lire le "Nouveau dictionnaire de l'impossible".

Mon père ne se disait pas "croyant", il avait même les curés en horreur, mais m'a un soir avoué, c'était en 1994, en début d'année, avoir prié dans la journée pour que je passe le voir chez lui le plus vite possible (alors qu'il m'avait au cours de l'année précédente maudit - et mots dit, une explication de son aversion généralisée pour les curés)

Le 5 septembre 1990, en constatant de visu que le traitement que les médecins du CHU Charles-Foix appliquaient à la maladie de mon père le conduisait inéluctablement vers une issue fatale, les infirmières d'un service gériatrique de cet hôpital, apprenant que j'étais médecin, pensant que leur Chef de Service et son Assistante devaient s'être trompés, m'avaient discrètement demandé de venir "jeter un œil" sur le cahier de prescription.

J'ai ainsi pu, au moment où mon père était en passe de mourir, intervenir pour lui administrer en catastrophe le traitement qui l'a non seulement sorti d'un coma carus, mais qui, contre toute attente, n'a pas été terminal, mais a réussi à lui faire retrouver rapidement, à 30/30 au MMSE, ses capacités cérébrales alors qu'il avait été diagnostiqué par ses médecins comme dément souffrant de la maladie d'Alzheimer compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire", le tout  à l'origine d'une "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) déclarée incurable. <<Ne vous faîtes pas d'illusion - m'avait dit le médecin Chef de l' Unité de Soins Normalisés - votre père ne remarchera  jamais >> .

C'est ce qui leur avait fait dire - et même fait écrire noir sur blanc six ans  plus tard par un confrère sollicité en expertise, donc sciemment à faux  -  qu'il était (en 1990) "de toute façon inéluctablement voué à une plus grande aggravation" (sic, pour faire ressortir que les énormes fautes commises à son encontre par ses médecins n'avaient été que vénielles, quasiment sans importance, puisqu'il était "de toute façon voué etc ... une déclaration faite au mépris du CP qui condamne - en principe - sévèrement les faux en expertise. Mais ce principe, il pouvait en l'occurrence sans crainte s'asseoir dessus, parce qu'il le savait bien en tant que lui-même Chef d'un  Service de neurologie dans un CHU de l'AP, c'était ce que lui demandait l'Establishment. C'est d'ailleurs à lui que s'adressera le professeur Olivier Lyon-Caen pour dire au micro de France-Culture ce qu'il faut penser de l'objectivité des experts médicaux, dans une émission intitulée "Avec ou sans rendez-vous" ... au droit du plus faux ... une émission diffusée le 13 septembre 2013)

C'est que le rétablissement de mon père avait été tellement contrariant et dérangeant qu'il avait semé la panique au sein de l'Establishment, c'est-à-dire au Conseil de l'Ordre des médecins comme à la direction de  l'AP - HP,  qui se concertèrent (en 1992) pour que me soit appliqué l'article L 460 du CSP, applicable aux médecins "dérangés" dérangeants l'ordre établi.

Bien plus tard, en 2004,  l'AP -HP, la direction de l'hôpital Bicetre et le Chef du Service responsable de ces énormités m'ont menacé de poursuites en justice en m'accusant d'avoir été responsable de leur bavure, prétendant que j'avais moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, à cause de mon nom patronymique ? alors que si j'avais porté le nom de ma famille maternelle l'accusation aurait probablement été la même, parce que, c'est bien connu,  "la haine de soi d'être juif" est "maladie" courante, qui sévit chez certains journalistes de "Le Monde", selon le pédopsychiatre Georges Gachnochi, qui la dénonçait (dans un Colloque qu'il présidait, dont le thème était  la "Psychanalyse de l'antisémitisme", Colloque tenu au sein de l'AIU le  dimanche 15 novembre 2002).

La loi, par l'article 40 du CPP  faisait d'ailleurs aux médecins de mon père obligation de me dénoncer, car ce qui aurait été ce l'on appelle en médecine un "syndrome de Münchhausen" est passible d'une très lourde condamnation pénale.

La correction de la  "bavure"  que ses médecins avaient commise - ils avaient à tort refusé à mon père le traitement de la maladie de Biermer,  jusqu'à faire semblant de le lui administrer - avait pourtant permis d'initier la découverte d'un syndrome neurologique resté jusqu'en 1990 méconnu parce que confondu dans ses manifestations cliniques avec la maladie d'Alzheimer, alors qu'il concerne des milliers de malades et est de traitement  très simple et efficace, pourvu qu'il soit vraiment administré.

Ce syndrome est maintenant connu  - depuis 2003  -  sous le nom de syndrome NDB12PP.  

Le cas de mon père avait ainsi été un cas princeps, mais la panique que suscita son rétablissement inattendu au sein de l'AP - HP avaient obligé les médecins à y réfléchir un peu plus longuement.

C'est en fin de compte madame le professeure Jacqueline Z., à qui j'avais écrit en 1992 pour attirer son attention sur le fait, comme je l'avais fait pour le professeur François Piette, gériatre, et bien avant, dès 1990,  au professeur Yves Najean à l'hôpital Saint-Louis, qui a été récompensée, en 2005, par la Fondation de France, pour ses recherches sur les états relatifs audit syndrome, et donc aux états cryptiques  B12 carentiels, un syndrome dont j'avais en 1990 postulé la possibilité avant d'en démontrer la réalité en le contrant avec le traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer.

De tout cela le journal "la Croix" ne s'est pas fait l'écho, pas plus que les autres journaux et magazine auxquels je m'étais adressé, et ce n'est pas non plus par "la Croix" que j'ai découvert qu'à l'Eglise Saint Nicolas des Champs se produisaient des guérisons étonnantes, mais ces jours-ci grâce à Didier van Cauwelaert, un écrivain qui n'a manifestement pas "la plume de bois" (je lui emprunte cette expression.)  

En attendant, je dois me contenter de vivre chichement après avoir été chassé de chez moi par une épouse cornaquée par un psychanalyste lambda à Lacan, jusqu'à devenir un temps SDF, et dormir dans ma voiture, car on m'a fait payer très cher mon "outrecuidance" (J'ai comme René van Cauwelaert, le père de Didier, été arnaqué par une avocate (Cf. "Le nouveau dictionnaire de l'impossible" chapitre "Matérialisation") 

La mienne m'avait été recommandée en octobre 1996 par une psychiatre de MSF pêchée à Enfance Majuscule. Elle est depuis mars 2014 devenue conseillère spéciale du pape François II (selon "le Parisien"). Elle m'a en juin 1999, quand elle-même a éprouvé les mêmes désagréments que moi vis à vis du Conseil de l'Ordre, demandé de la pardonner ... de m'avoir mal conseillé.

Aurait-elle été arnaquée - comme moi - par ladite avocate "Majuscule" ?  Tout ça n'est pas fini, car le problème est politique, et "ça" n'en finit pas depuis que les "possédés" ont de plus en plus l'outrecuidance de balancer ce que les "possédants" leur ont fait subir.

CQFD ce qu'il en est d'avoir mis les pieds sur les pavés très inégaux de l'Establishment. 

Pour en savoir plus, voir  les articles précédents 

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Addenda  et conclusion : on est en France, pays classé dans les derniers des pays d'Europe sur le plan judiciairece qui rend compte que ce n'est pas tant d'avoir œuvré à la résurrection de mon père qui m'était reproché par l'Ordre et la Justice, mais de ne pas l'avoir ensuite empêché de porté plainte.

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21 octobre 2017 6 21 /10 /octobre /2017 16:59

Après que les réseaux sociaux ont fait circuler "balance ton porc",  la Grande Presse a fini par cesser de taire les scabreuses pratiques de Gilbert Rozon, de DSK,  du Pr. André  Hazout, d'Harvey Weinstein, et les journalistes du Boston Globe celle de l'Eglise catholique, osera-t-on enfin balancer que les médecins, y compris les "psys-ka", sont en la matière aussi consternants que concernés ?

Pour ma part je balancerais bien des contrepètries à deux roupies à l'encontre des pointeurs, qui quoique désensoutanés, n'en gardent pas moins l'Esprit ceint de l'habit de prêtre sous leur petite étole, mais je m'en garde, parce qu'elles sont éculées.

Mais chut ! Le sentiment océanique, qui est selon le Père Freud, à l'origine des vocations sacerdotales prend l'O. Le bon docteur Josef Breuer n'avait-il pas pris son pied paradisiaque avec la petite Bertha, qu’il avait disait-il avoir guéri de ses symptômes hystériques par un très long "ramonage de cheminée" (sic - cf. Josef Breuer et Sigmund Freud, 1895, "Etudes sur l'hystérie", un travail  aux fondements de la psychanalyse : le ramonage de cheminée avait été efficace : Anna O, alias Bertha Pappenheim avait dû être envoyée en Suisse, à la Clinique Bellevue, pour être soulagée de sa "grossesse hystérique")

 

Il y a depuis "Unbehagen in der Kultur", (malaise dans la civilisation) et pour Cause (freudienne) . Cf. l'anti culturel blog-de-leon, puisque relatif à l'eX Clinique Léon Elmelik  "protégée en hauts lieuX", c'est-à-dire par l'Ordre des médecins, l'AP - HP ... et le parquet - via Michel Barrau, c'est-à-dire par l'Etat !

 

L'action de mon père visait explicitement des médecins de la Clinique Léon Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, sous-préfecture du Val-de-Marne, et à travers eux inconsciemment le curé de son village phatal (se reporter au site 34640255 html pour voir comment et savoir pourquoi l'Ordre, à qui l'Etat a confié "mission de service public", a été soutenu  dans ses manœuvres pour la saboter)

 

A la demande de son avocate, en tant que médecin inscrit à l'Ordre du Val-de-Marne je m'étais en mars 1992 adressé au Conseil de ce département pour faire oralement part de ce que les médecins de cette Clinique s'étaient permis de lui infliger sans crier gare, en dépit de tous les interdits.

La secrétaire qui me reçut au Conseil départemental ("madame André") me dit que les plaintes relatives à la Clinique Elmelik étaient du ressort exclusif du docteur Jean Pouillard, le président de cet Ordre; qu'il fallait lui écrire avant de prendre rendez-vous.

Pouillard  me reçut quelques jours plus tard, lut ma lettre en grimaçant, et visiblement agacé, se mit à se boucher les oreilles, y plaquant ostensiblement la paume des mains quand j'ai voulu parler.

 

En guise d’explication il me fit rageusement savoir 1° qu'il allait falloir que je refasse ma copie et 2° que ce n'était pas à moi d'écrire, mais à mon père. 

Ille fit, mais entre-temps Pouillard dépêcha son acolyte, le docteur Patrice Bodenan, un ami intime du docteure Edith Elmelik « très influent au Palais », le nommant illicitement "rapporteur" de cette affaire,  mais missionné pour barrer la route à la plainte de mon père.

 

<< Mon pauvre monsieur, comment voulez-vous que l'Ordre poursuive des (médecins) violeurs et des pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre >> me fit ironiquement (ou gentiment ?)  remarquer la secrétaire du CROM qui me remit le dossier relatif à la plainte que mon père avait adressé au docteur Pouillard, une plainte qui n'avait a priori pourtant rien à voir avec des pédophiles.

 

La suite sur "Balance ton CROM"

 

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18 octobre 2017 3 18 /10 /octobre /2017 17:04

<< Mon pauvre monsieur, comment voulez-vous que l'Ordre poursuive des violeurs et des pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre >> me fit ironiquement (ou gentiment ?)  remarquer la secrétaire du CROM,  en me remettant le dossier relatif à la plainte que mon père avait adressé à l'Ordre des médecins à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik (voir www.34640255 html)

Je m'étais, en tant que médecin, rendu en avril 1993 au siège du CROM (au Conseil de l'Ordre Régional de l'Ordre des Médecins de l'Île-de-France) à Paris rue de l'Université, l'Etat lui ayant confié "mission de Service public", pour garantir que les principes qui gouvernent l'éthique des pratiques médicales sont respectées par les médecins, savoir ce qu'il en était de sa plainte (il l'avait premièrement adressée directement au procureur de la République, au TGI de Créteil, le 17 décembre 1990, et réafirmée le 23 janvier 1991 au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, où il s'était entendu dire que les médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient "protégés en hauts-lieux", et qu'en conséquence ses médecins pouvaient y faire "ce qu'ils voulaient", toutes les plaintes à leur encontre étant systématiquement "bloquées au parquet " : << J'ai là sur mes étagères cent-cinquante plaintes pour viols, toutes sont bloquées au parquet, les médecins de cette Clinique sont milliardaires, ils peuvent y faire ce qu'ils veulent, ils sont protégés en hauts-lieux >>   

De fait, les médecins de cette monstrueuse Clinique, bien qu'elle ne soit déja plus aux normes réglementaires, lui avaient infligé sans crier gare, le vendredi 25 mai 1990, c'est-à-dire lors d'un long WE de Pentecôte, profitant de ce qu'ils me savaient très loin de Paris (je les avais pourtant prévenu de ne surtout rien faire de ce qu'ils lui avaient proposé, et de se limiter à un acte a minima, en K20, en l'occurrence la cure d'un cor au pied sur un orteil et un seul, par une IPP, sur le seul orteil à être vraiment gênant, compte tenu de son  état de santé déjà très dégradé et inquiétant, tant sur le plan neurologique que psychique et cardio-vasculaire, et de l'inutilité de ce qu'ils avaient proposé : un "alignement généralisé des orteils" sur pied-rond antérieur, une opération orthopédique en son cas aussi illicite qu'inutile et  dangereuse. J'ignorais alors que le cardiologue de mon père, le docteur Joseph Heller, avait dans une lettre précédemment donné le même avis. 

L'opération, qui était à plus d'un titre scandaleuse et délictueuse, s'est effectivement soldée par de graves complications (des hémorragies difficiles à juguler) conduisant à une lourde invalidité et à la perte de son autonomie, après qu'il failli à plusieurs reprises partir les pieds devant. D'abord à la Clinique elle-même, ensuite à l'AP - HP, par la faute des neurologues inféodés à un Service redevable à cette Clinique pour lui servir de dépotoir. Celle-ci servait en effet à débarrasser les hôpitaux de l'AP - HP des malades à problèmes, notamment les malades âgés qui avaient été malencontreusement contaminés par le VIH lors des transfusions faites dans la première moitié des années 1980 (25.000 malades avaient été contaminés). Il valait mieux laisser mourir les plus vieux, voire les faire activement passer l'arme à gauche, avant qu'ils aient le temps de développer un SIDA maladie, une situation qui n'était pas à l"époque seulement celle de mon père, cf. infra ce qui se passera au CHU de Mantes la Jolie en 1997, avec Christine Malèvre et le docteur Olivier Ille, après que la Clinique Elmelik a changé de statut et de propriétaires (1995), donc en même temps que l'AP - HP a, en guise de rideau de fumées, pris la précaution de mettre en place l'Espace Ethique de l'AP - HP à Bicêtre, puis à l'hôpital Saint-Louis, cf. infra)

L'Ordre des médecins avalisera leurs escroqueries en 1994 au prétexte, tenu pour recevable, que si j'avais renouvelé mes avertissements et que si j'avais pris la peine de me pointer à la Clinique le matin de l'opération, le docteur Antoine Denis se serait "certainement abstenu d'opérer" (sic), que j'étais donc "responsable" (resic) de son opération (c'était un rhumatologue de 68 ans qui se prenait et se faisait passer pour un chirurgien orthopédiste, cf. son Mémoire de défense, avalisé par l'Ordre des médecins, au prétexte avoué "qu'il fallait bien qu'il gagne de l'argent" (dixit le médecin rapporteur de cette affaire, le docteur Pierre Brassart, que le docteur Antoine Denis a chaudement remercié dans une lettre datée du 29 mars 1994, cf..Bavures médicales couvertes par l'AP - HP et le Conseil de l'Ordre ... 106212950.html )

Le verdict de l'Ordre me fait dire depuis qu'au mot éthique, je sors mon rigole-vert. 

Le "quand j'entends le mot culture, je sors mon révolver" a été attribué au ministre de la propagande nazie, Josef Goebbels comme au ministre de la guerre Hermann Göring.

Renseignement pris (auprès de Tatoufaux.com, site rationaliste), le propos serait tiré de la première scène de l'acte I de "Schlageter ", une pièce de théâtre écrite à l'intention comme à la gloire d'Adolf Hitler par un de ses admirateurs, l'écrivain Hanns Johst, un ex communo-marxiste passé au nazisme. La première aurait eu lieu le 20 avril 1933,  en célébration du quarante-quatrième anniversaire du Führer.

Il faut savoir que, outre que Adolf Hitler a pro-bablement et vraisemblablement été un des patients de Sigmund Freud après avoir été celui du docteur Eduard Bloch (Freud n'a pas su passer cette "cure" totalement sous silence dans la mesure où il n'a pas pu s'empêcher d'en faire ressortir "à l'insu de son plein gré" les "strates archéologiques" dans ses écrits anthropologiques et sociologiques, en particulier dans ceux de la seconde version de "Das Unbehagen in der Kultur" (Malaise dans la civilisation) parue un an après la première, c'est-à-dire après l'inquiétant succès électoral de son ex patient.

Goebbels, titulaire d'un doctorat en philosophie, était un homme en principe cultivé. A l'instar de Hanns Johst, il avait été marxiste et "bolcho" (d'après Robert Merle, dans sa préface au journal de Goebbels consacré aux dernières semaines du IIIe Reich).

L'enfer étant pavé de "bonnes intentions", non content d'avoir fait cinq enfants à son épouse  Magda avant de se suicider, Goebbels ne s'était pas interdit, bien qu'affligé d'un pied-bot du côté gauche, de prendre son pied droit avec bien d'autres jolies femmes, pour leur faire beaucoup d'enfants, au risque de leur infliger la pareille nazie. Mais ça n'a aucun rapport avec ça, sauf pour les freudiens, pour qui "le ça" impose nécessairement sa loi marque de fabrique sur les mentalités âmes, donc sur les idéologies, dont celle de Freud et de ses followers crampons (Freud était aveugle à sa propre équation, et avec lui ses folles followers, comme l'avait tout au long de son œuvre trop ouvertement signalé Jacques Lacan,de façon métaphorique avec son séminaire sur "La lettre volée" (on a reproché à Jacques Lacan de pas avoir fondé ses concepts à partir de cas cliniques très concrets alors que le cas sur lequel il les fondait était Freud lui-même, d'où son fameux aphorisme "retour à Freud",  et l'énigmatique "l'inconscient est structuré comme un langage", en l'occurrence l'inconscient à l'oeuvre   dans le délire hystéro-paranoïaque de Freud, pour qui concevait avant 14  septembre 1929 la soumission à l'interdit d'inceste  (la soumission au "non-du-père", cf. Totem und Tabou) comme préalable au progrès civilisationnel, c'es-à-dire avant qu'il ne s'avise de l'évidence du contraire avec l'accession de 107 députés nazis au Reichtag aux élections parlementaires allemandes .  

Sur l'aveuglement hystéro-paranoïaque des intéressés, cf. aussi le texte calembourdesque délirant du psychiatre-"psychanalyste lacanien" Bernard This sur Sieg is Mund Freud, l'amputation d'un IS à son prénom ayant, selon Bernard This conduit Sigismund Freud (a fortiori Adolfus Hitler) à la Mort, car "Tot" (la mort) aime "Mund" (la bouche), d'où son cancer de la mâchoire, et le cancer nazi issu de la bouche vociférante de son ex patient secret Adolfus Hitler (de fait, le nom de leurs grands-pères respectifs étaient "forclos", ce qui faisaient de leurs petits-fils des grands délirants paranoïaques, CQFD (Cf. aussi le test du gorille invisible, imaginé et réalisé à Harvard en 1999 par les psychologues Christopher Chabris et Daniels Simons,test présenté en 2015 par Brigitte Axelrad,dans les cahiers rationalissimes de l'AFIS (dans le n° 312 de Science et pseudo sciences)

L'Allemagne nazie avait besoin de beaucoup de futurs petits soldats pour étendre son hégémonie sur l'Europe et le monde. Les infidélités conjugales du ministre de la propagande furent donc bien acceptées par le Führer

En France, les IVG furent après la guerre une aubaine pour certains obstétriciens, tel le Dr.Jean-Claude Elmelik, l'ex propriétaire de la Clinique Léon Elmelik, à l'Haÿ-les-Roses (aujourd'hui La Haÿ-les-Roses) qui les pratiquaient par centaines, moyennant, un petit plus, en passant, qui lui permettait d'y prendre gratuitement son pied, bien qu'il soit "milliardaire" (aux dires de la police locale, comme aux sus du Conseil de l'Ordre).

Jean-Claude Elmelik gagnait même du pèze à baiser les parturientes, endormies par sa sœur, mademoiselle Edith Elmelik, "anesthésiste des hôpitaux" (sic) et amie du docteur Patrice Bodenan, Responsable (sic) du bureau de Presse du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne et futur président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins au CROM de l'Île-de-France, après l'obtention d'un DEA d'éthique médicale (ce DEA lui sera dévré en 1999 par son Frère en maçonnerie le professeur Christian Hervé, directeur d'un "Laboratoire d'Ethique Médicale", au cinquième étage de la Faculté de Médecine de Paris)

 Il se faisait même payer pour, avec Laval l'aval du Conseil de l'Ordre des médecins et du parquet de Créteil, alors sous la coupe de Michel Barrau, lui-même sous la coupe de l'Etat mitterrandien.  

C'est-ainsi que le sydrome neuro-anémique lié à la maladie de Biermer, qui évolue inéluctablement vers l'aggravation et la mort dans des souffrances dont les personnes qui souffrent ou ont souffert de sciatalgies peuvent avoir l'idée quand il est laissé à lui même (à ceci près que les douleurs ne s'y limitent pas à un membre, mais sont généralisées et doublées d'angoisses de mort) peut délibérémment  n'être pas traité, alors que ces douleurs et ces angoisses peuvent rapidement disparaître, comme par enchantement, pourvu que le traitement de cette maladie soit promptement appliqué.

A mon père, qui souffrait manifestement de cette maladie, ses médecins avaient, en toute connaissance de causenon seulement refusé de lui administrer le traitement dudit syndrome, mais, me sachant médecin, avaient ordonné qu'un faux-semblant de ce traitement lui soit, devant moi administré !

L'ordre avait été exécuté et poursuivi même après que les infirmières d'un Service gériatrique ont elles-mêmes fait le diagnostic de la maladie : une quinzaine de jours après l'hospitalisation de mon père dans son Unité de Soins, madame Pondu, la Surveillante, s'était aperçue, en essayant de le faire manger, que le malade présentait une glossite de Hunter, caractéristique du syndrome neuro-anémique. La maladie de Biermer est en effet une maladie fréquente chez les personnes âgées.

Mais pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient-ils transmis un tel ordre au docteur Jean-Yves Beinis, médecin-chef de l'l'U.S.N. de l'hôpital Charles-Foix ?

Et comment le docteur Beinis a-t-il pu si fidèlement souscrire à une consigne manifestement mortifère ? (U.S.N. ==>> Unité de Soins "Normalisés", et non pas, comme on pourrait le penser, "Unité de Soins Nazifiés ").

Car le docteur Jean-Yves Beinis a réellement et "normalement" suivi fermement la consigne, en dépit du fait que madame Pondu lui a signalé la présence manifeste de cette glossite ! 

Et pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient-ils fait transférer leur malade à Charles-Foix dans une Unité de Soins "Normalisés" ?

C'est difficile à admettre, inadmissible même, mais pas très difficile à comprendre.  Le prétexte était que le malade s'aggravait au lieu de guérir (évidemment puisqu'il ne recevait pas réellement le traitement qu'il lui fallait, qui n'aurait pourtant coûté en tout ete pour tout que le prix de deux ou trois  paquets de cigarettes), qu'il occupait donc inutilement à grand frais le lit d'un coûteux Service de spécialité, et qu'un lit d'USN coûtait dix fois moins cher.

Une logique made in Assistance Publique !  

--> D'une part les neurologues de l'hôpital Bicêtre savaient pertinemment que le docteur Beinis,en vertu du führer prinzip en vigueur à l'AP - HP,ne chercherait surtout pas à déroger aux ordres de ses "supérieurs" (l'atteste le fait qu'il a maintenu l'ordre de simuler le traitement même après que madame Pondu lui a signalé l'existence de cette glossite)

--> D'autre part les neurologues de Bicêtre ne tenaient pas à ce que leur malade vienne à décéder dans leur propre Service, classement oblige, alors que son décès dans un Service de gériatrie pouvait paraître chose banale et donc "normale" (l'expérience, bien qu'elle ait échouée par ma faute -cf. infra - sera répétée avec l'hospitalisation d'autres malades de l'AP - HP, cette fois au CHU de Mantes la Jolie, encore une fois avec Olivier Ille en tant que neurologue et donneur d'ordres, mais avec cette fois Christine Malèvre dans le rôle du docteur Beinis. (Christine Malèvre n'avait pas obéi au "führer prinzip", mais avait avant tout cherché à plaire à son cher et beau Chef de Service).  

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre obéissaient à plusieurs obligations : ils savaient ne fallait surtout pas faire de l'ombre aux propriétaires d'une Clinique des environs "protégée en hauts lieux" : elle était protégée par le parquet pour des raisons spécifiques mais inavouables.

D'autre part, ils savaient que l'Ordre des médecins la protégeait également, mais pour des "raisons" différentes, quoique tout aussi spécifiques et inavouables.

Il s'agissait en l'occurrence l'ex Clinique Léon Elmelik, sise à La Haÿ-les-Roses.

La Justice, c'est-à-dire le pouvoir politique, voulait garder cette Clinique en fonction malgré ce qui s'y passait - les femmes en couches, les parturientes,  y étaient "régulièrement" violées en salle de réveil par le docteur Jean-Claude Elmelik, son médecin-propriétaire, protégé parce que sa Clinique rendait un grand "service" aux hôpitaux de l'AP et au CNTS. 

Cette pantalonnade médico-judiciaire eut lieu dans les années 1990.

La loi Leonetti-Claeys ne date que de février 2016. Elle n’autorise qu’une «sédation profonde jusqu’au décès », et seulement pour  « les malades en phase terminale ».

Le docteur Jean-Marie Faroudja, président de la section « éthique et déontologie » de l’Ordre des médecins, dit << qu'il peut y avoir des dérives dangereuses.  Qu'un médecin ne doit pas pouvoir donner délibérément la mort. C’est pour cela que nous sommes tout à fait contre toute forme d’euthanasie. >> (sic)

Comme s'il ignorait ce qui s'était passé en 1990 contre mon père, quand  ses médecins ont décidé, de leur propre chef, que mieux valait qu'il ne survive pas très longtemps (dixit en s'adressant à moi le "bon" docteur Pascal Masnou, alors neurologue Chef de Clinique dans Service du professeur Gérard Saïd, où mon père était hospitalisé depuis deux semaines. Lesdits médecins firent secrètement mais effectivement en sorte qu'il ne puisse survivre longtemps à sa maladie, une maladie qui certes était devenue handicapante, mais encore parfaitement curable, sans risque de séquelles.

Mon intervention de dernière heure avait trois semaines plus tard, en septembre 1990, permis à mon père de sortir très rapidement du coma, et, chose étonnante, lui avait fait regagner ses esprits alors qu'il avait été déclaré par Pascal Manou atteint d'une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une démence de type Alzheimer (dixit le même Masnou, à l'époque Chef de Clinique et par la suite élevé au grade d'Assistant).

Le prétexte avancé pour excuser ses fautes - évidemment sciemment fallacieuces - était que mon père "était de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation". (sic, l'antienne fut tout aussi à faux sciemment répétée en 1996 par le docteur François Chedru, dans son expertise, complaisamment rédigée et rendue six ans plus tard, conformément à la demande expresse de ses Confères René-Claude Touzart et André Lienhart, Touzart et Lienhart, qui, en tant pontes de l'AP - HP,  avaient cherché à lui faire supporter la responsabilité de rédiger un faux en expertise. Ils s'étaient-ils donc arrangés pour le tenir éloigné de mon témoignage direct, d'une part en lui faisant savoir qu'il était inutile de venir au rendez-vous du 5 janvier 1996 fixé par madame Bénédicte Scelle parce qu'ils enregistraient - sans évidemment m'en avertir, puisque c'était illégal, - et d'autre part en lui disant que je n'étais qu'un "méchant", sic, dixit François Chedru lui-même quand je lui ai téléphoné le lendemain pour savoir pourquoi il ne s'était pas rendu à la convocation du juge.

Il faut savoir que le professeur René-Claude Touzart était au sein de l'AP - HP, à l'instar de Harvey Weinstein à Hollywood, un mandarin très respecté craint de ses semblables, ainsi que me l'a fait savoir une Consœur, qui avait été Interne dans son Service à l'Hôtel-Dieu. Ce qui explique pourquoi André Lienhart s'était empresser de téléphoner à ma sœur, qu'il savait hostile à tout procès (par peur des dépenses touchant à ce qu'elle appelait "son héritage") pour qu'elle vienne témoigner contre moi au rendez-vous du 5 janvier.

Comment le savait-il ?

Après la mort de nos parents, survenue au troisième trimestre de 1994, furieuse contre moi d'avoir laissé mon père intenter un procès contre X après qu'il a retrouvé ses esprits, ma sœur s'était adressée à Me Nicole Holstein en me décrivant comme un affreux machiste.
Cette avocate féministe, par ailleurs la mère d'une Consœur exerçant à l'hôpital Charles-Foix, lui avait pourtant fait savoir que dans cette affaire, j'avais eu raison d'avoir laissé mon père attenter un procès contre ses agresseurs.
      

Madame Bénédicte Scelle,juge d'instruction, s'était premièrement adressé à René-Claude Touzart pour expertiser cette affaire.

Mon intervention en septembre 1990 avait en quelques semaines permis à mon père de sortir très rapidement du coma, et, chose étonnante, lui avait fait regagner ses esprits alors qu'il avait été déclaré  atteint d'une encéphalopathie vasculaire irréversible (Cf. supra.)

Sa résurrection avait mis ses médecins en émoi (elle avait plongé dans la panique), et avec eux la direction de l'hôpital Bicêtre. Tous se dépêchèrent de prétendre que le dossier d'hospitalisation de mon père avait été perdu quand j'ai demandé à le consulté - avant d'essayer cinq ans plus tard de me faire signer que la totalité du dossier m'avait été restitué quand me fut remis des documents qui n'avaient rien à voir avec ledit dossier. 

 Dans un second temps (en 2004) ils m'accusèrent d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, le professeur Gérard Saïd  était encore et doit l'être toujours  membre de l'IFREM, Institut Français de Recherche en Ethique Médicale juive, l'éditeur Médica Judaïca) tout en promettant de porter cette affaire devant la Justice (en vertu de l'article 40 du CPP ! ) - ce qu'ils se dépêchèrent aussi très curieusement d'oublier de faire)

La résurrection de mon père me valut aussi les persécutions des ennemis traditionnels des membres de l'AMIF, c'est-à-dire de l'Ordre des médecins, qui en la circonstance tenta de se réconcilier avec  les médecins de l'AMIF. Le docteur Bruno Halioua fut en échange  "autorisé" et même promptement invité - par Bernard Weber, ainsi qu'il l'a lui-même avoué, à publier son "Blouses blanches, étoiles jaunes" (ouvrage paru en décembre 1999vchez Liana Lévi) à l'époque où, comme par hasard, on pouvait entendre dire à l'hôpital Saint-Louis, où "Espace Ethique de l'AP - HP" avait essaimé depuis Bicêtre, que << dans cette affaire, on a rien à craindre : on tient la médecine, la Presse et la Justice >> (sic, à propos de l'affaire "Christine Malèvre", une affaire connexe, dans laquelle Christine Malèvre avait joué en 1997 au CHU de Mantes la Jolie le rôle que les neurologues de Bicêtre avaient fait jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis (ils lui avaient passé la consigne de ne surtout pas appliquer à mon père le traitement qui pouvait lui sauver la vie, mais de n'administrer devant moi qu'un faux-semblant. La consigne fut transmise verbalement, mais aussi par une lettre manuscrite d'Olivier Ille, le futur patron de sa très zélée Christine Malèvre, au docteur Beinis)    

Deux des "hauts" représentants supermaçoniques de l'Ordre des Médecins, les nommés docteurs Jean Pouillard et Patrice Bodenan avaient de leur côté cherché à me faire appliquer l'article L 460 du CSP 

au bénéfice de leur poulain "milliardaire" le médecin serial-violeur Jean-Claude Elmelik, l'ex propriétaire de la Clinique Léon Elmelik, milliardaire,  selon le Principal du Commissariat de La Haÿ-les-Roses.  

Un médecin ne doit pas pouvoir donner délibérément la mort. C’est pour cela que nous sommes tout à fait contre toute forme d’euthanasie.

Morale et résultats des courses : le docteur Patrice Bodenan accédera dix ans plus tard à la présidence du Conseil Régional de l'Ordre des Médecins d'Île-de-France  et le docteur Olivier Ille fera de beaux discours les 15 et 16 mars 2014 à Peray-le-Monial sur le thème "Prends soin de lui"  (Cf. Olivier Ille - Cinquième rencontre d'Amour & Vérité le 15 mars 2013 à la Communauté de l'Emmanuel

Vérification faite ce jour, le site a disparu depuis l'an dernier. 

Pourquoi ? A-t-il été supprimé ? 

On ne trouve plus que : 

Prends soin de lui 3 [ Dr Olivier Ille Réf: E003948 Produit original: L ...

www.exultet.net/eshop/pages-product.../dr-olivier-ille-prends-soin-de-lui-3.html
Téléchargement de MP3 chrétiens Prends soin de lui 3 [ Dr Olivier Ille Réf: E003948 Produit original: L'Emmanuel AVM-DEP4635] - 5°Rassemblement .

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10 octobre 2017 2 10 /10 /octobre /2017 14:53

Le sydrome neuro-anémique lié à la maladie de Biermer, quand il est laissé à lui mêmeévolue inéluctablement vers l'aggravation et la mort dans des souffrances dont les personnes qui souffrent ou ont souffert de sciatalgies peuvent avoir l'idée, à ceci près que les douleurs ne s'y limitent pas à un membre, mais sont généralisées et doublées d'angoisses de mort, alors que ces douleurs et ces angoisses peuvent rapidement disparaître comme par enchantement pourvu que le traitement de la maladie soit promptement appliqué.

A mon père, qui souffrait manifestement de cette maladie, ses médecins avaient, en toute connaissance de causenon seulement refusé de lui administrer le traitement dudit syndrome, mais, me sachant médecin, avaient ordonné qu'un faux-semblant de ce traitement lui soit, devant moi administré !

L'ordre avait été exécuté et poursuivi ... 

... même après que les infirmières d'un Service gériatrique ont elles-mêmes fait le diagnostic de la maladie: au bout d'une quinzaine de jours d'hospitalisation dans son Unité de Soins, madame Pondu, la Surveillante, s'était aperçue, en essayant de le faire manger, que le malade présentait une glossite de Hunter, caractéristique du syndrome neuro-anémique. La maladie de Biermer est en effet une maladie fréquente chez les personnes âgées.

Mais pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient-ils transmis un tel ordre au docteur Jean-Yves Beinis, médecin-chef de l'l'U.S.N. de l'hôpital Charles-Foix ?

Et comment le docteur Beinis a-t-il pu si fidèlement souscrire à une consigne manifestement mortifère ? (U.S.N. ==>> Unité de Soins "Normalisés", et non pas, comme on pourrait le penser, "Unité de Soins Nazifiés ").

Car le docteur Jean-Yves Beinis a réellement et "normalement" suivi fermement la consigne, en dépit du fait que madame Pondu lui a signalé la présence manifeste de cette glossite ! 

Et pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient-ils fait transférer leur malade à Charles-Foix dans une Unité de Soins "Normalisés" ?

C'est difficile à admettre, inadmissible même, mais pas très difficile à comprendre.  Le prétexte était que le malade s'aggravait au lieu de guérir (évidemment puisqu'il ne recevait pas réellement le traitement qu'il lui fallait, qui n'aurait pourtant coûté en tout ete pour tout que le prix de deux ou trois  paquets de cigarettes), qu'il occupait donc inutilement à grand frais le lit d'un coûteux Service de spécialité, et qu'un lit d'USN coûtait dix fois moins cher.

Une logique made in Assistance Publique !  

--> D'une part les neurologues de l'hôpital Bicêtre savaient pertinemment que le docteur Beinis,en vertu du führer prinzip en vigueur à l'AP - HP,ne chercherait surtout pas à déroger aux ordres de ses "supérieurs" (l'atteste le fait qu'il a maintenu l'ordre de simuler le traitement même après que madame Pondu lui a signalé l'existence de cette glossite)

--> D'autre part les neurologues de Bicêtre ne tenaient pas à ce que leur malade vienne à décéder dans leur propre Service, classement oblige, alors que son décès dans un Service de gériatrie pouvait paraître chose banale et donc "normale" (l'expérience, bien qu'elle ait échouée par ma faute -cf. infra - sera répétée avec l'hospitalisation d'autres malades de l'AP - HP, cette fois au CHU de Mantes la Jolie, encore une fois avec Olivier Ille en tant que neurologue et donneur d'ordres, mais avec cette fois Christine Malèvre dans le rôle du docteur Beinis. (Christine Malèvre n'avait pas obéi au "führer prinzip", mais avait avant tout cherché à plaire à son cher et beau Chef de Service).  

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre obéissaient à plusieurs obligations : ils savaient ne fallait surtout pas faire de l'ombre aux propriétaires d'une Clinique des environs "protégée en hauts lieux" : elle était protégée par le parquet pour des raisons spécifiques mais inavouables.

D'autre part, ils savaient que l'Ordre des médecins la protégeait également, mais pour des "raisons" différentes, quoique tout aussi spécifiques et inavouables.

Il s'agissait en l'occurrence l'ex Clinique Léon Elmelik, sise à La Haÿ-les-Roses.

La Justice, c'est-à-dire le pouvoir politique, voulait garder cette Clinique en fonction malgré ce qui s'y passait - les femmes en couches, les parturientes,  y étaient "régulièrement" violées en salle de réveil par le docteur Jean-Claude Elmelik, son médecin-propriétaire, protégé parce que sa Clinique rendait un grand "service" aux hôpitaux de l'AP et au CNTS. 

Cette pantalonnade médico-judiciaire eut lieu dans les années 1990.

La loi Leonetti-Claeys ne date que de février 2016. Elle n’autorise qu’une «sédation profonde jusqu’au décès », et seulement pour  « les malades en phase terminale ».

Le docteur Jean-Marie Faroudja, président de la section « éthique et déontologie » de l’Ordre des médecins, dit << qu'il peut y avoir des dérives dangereuses.  Qu'un médecin ne doit pas pouvoir donner délibérément la mort. C’est pour cela que nous sommes tout à fait contre toute forme d’euthanasie. >> (sic)

Comme s'il ignorait ce qui s'était passé en 1990 contre mon père, quand  ses médecins ont décidé, de leur propre chef, que mieux valait qu'il ne survive pas très longtemps (dixit en s'adressant à moi le "bon" docteur Pascal Masnou, alors neurologue Chef de Clinique dans Service du professeur Gérard Saïd, où mon père était hospitalisé depuis deux semaines. Lesdits médecins firent secrètement mais effectivement en sorte qu'il ne puisse survivre longtemps à sa maladie, une maladie qui certes était devenue handicapante, mais encore parfaitement curable, sans risque de séquelles.

Mon intervention de dernière heure avait trois semaines plus tard, en septembre 1990, permis à mon père de sortir très rapidement du coma, et, chose étonnante, lui avait fait regagner ses esprits alors qu'il avait été déclaré par Pascal Manou atteint d'une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une démence de type Alzheimer (dixit le même Masnou, à l'époque Chef de Clinique et par la suite élevé au grade d'Assistant).

Le prétexte avancé pour excuser ses fautes - évidemment sciemment fallacieuces - était que mon père "était de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation". (sic, l'antienne fut tout aussi à faux sciemment répétée en 1996 par le docteur François Chedru, dans son expertise, complaisamment rédigée et rendue six ans plus tard, conformément à la demande expresse de ses Confères René-Claude Touzart et André Lienhart, Touzart et Lienhart, qui, en tant pontes de l'AP - HP,  avaient cherché à lui faire supporter la responsabilité de rédiger un faux en expertise. Ils s'étaient-ils donc arrangés pour le tenir éloigné de mon témoignage direct, d'une part en lui faisant savoir qu'il était inutile de venir au rendez-vous du 5 janvier 1996 fixé par madame Scelle parce qu'ils enregistraient - sans évidemment m'en avertir, puisque c'était illégal, et d'autre part en lui disant que j'étais un "méchant" (sic, dixit Chedru  lui-même quand je lui ai téléphoné le lendemain pour savoir pourquoi il ne s'était pas rendu à la convocation du juge).

Il faut savoir que le professeur René-Claude Touzart était au sein de l'AP - HP, à l'instar de Harvey Weinstein à Hollywood, un mandarin très respecté craint de ses semblables, ainsi que me l'a fait savoir une Consœur, qui avait été Interne dans son Service à l'Hôtdel-Dieu. Ce qui explique pourquoi André Lienhart s'était empresser de téléphoner à ma sœur, qu'il savait hostile à tout procès (par peur des dépenses touchant à ce qu'elle appelait "son héritage") pour qu'elle vienne témoigner contre moi au rendez-vous du 5 janvier. Comment le savait-il ?

Après la mort de nos parents, survenue au troisième trimestre de 1994, furieuse contre moi d'avoir laissé mon père intenter un procès contre X, ma sœur s'était adressé à Me Nicole Holstein en me décrivant comme un affreux machiste.

Cette avocate féministe, par ailleurs la mère d'une Consœur exerçant à l'hôpital Charles-Foix, lui avait pourtant fait savoir que dans cette affaire, j'avais eu raison d'avoir laissé mon père attenter un procès contre ses agresseurs.      

Madame Bénédicte Scelle,juge d'instruction, s'était premièrement adressé à René-Claude Touzart pour expertiser cette affaire.

Mon intervention avait trois semaines, en septembre 1990, permis à mon père de sortir très rapidement du coma, et, chose étonnante, lui avait fait regagner ses esprits alors qu'il avait été déclaré  atteint d'une encéphalopathie vasculaire irréversible (Cf. supra.)

Sa résurrection avait mis ses médecins en émoi (elle avait plongé dans la panique), et avec eux la direction de l'hôpital Bicêtre. Tous se dépêchèrent de prétendre que le dossier d'hospitalisation de mon père avait été perdu quand j'ai demandé à le consulté - avant d'essayer cinq ans plus tard de me faire signer que la totalité du dossier m'avait été restitué quand me fut remis des documents qui n'avaient rien à voir avec ledit dossier. 

 Dans un second temps (en 2004) ils m'accusèrent d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, le professeur Gérard Saïd  était encore et doit l'être toujours  membre de l'IFREM, Institut Français de Recherche en Ethique Médicale juive, l'éditeur Médica Judaïca) tout en promettant de porter cette affaire devant la Justice (en vertu de l'article 40 du CPP ! ) - ce qu'ils se dépêchèrent aussi très curieusement d'oublier de faire)

La résurrection de mon père me valut aussi les persécutions des ennemis traditionnels des membres de l'AMIF, c'est-à-dire de l'Ordre des médecins, qui en la circonstance tenta de se réconcilier avec  les médecins de l'AMIF. Le docteur Bruno Halioua fut en échange  "autorisé" et même promptement invité - par Bernard Weber, ainsi qu'il l'a lui-même avoué, à publier son "Blouses blanches, étoiles jaunes" (ouvrage paru en décembre 1999vchez Liana Lévi) à l'époque où, comme par hasard, on pouvait entendre dire à l'hôpital Saint-Louis, où "Espace Ethique de l'AP - HP" avait essaimé depuis Bicêtre, que << dans cette affaire, on a rien à craindre : on tient la médecine, la Presse et la Justice >> (sic, à propos de l'affaire "Christine Malèvre", une affaire connexe, dans laquelle Christine Malèvre avait joué en 1997 au CHU de Mantes la Jolie le rôle que les neurologues de Bicêtre avaient fait jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis (ils lui avaient passé la consigne de ne surtout pas appliquer à mon père le traitement qui pouvait lui sauver la vie, mais de n'administrer devant moi qu'un faux-semblant. La consigne fut transmise verbalement, mais aussi par une lettre manuscrite d'Olivier Ille, le futur patron de sa très zélée Christine Malèvre, au docteur Beinis)    

Deux des "hauts" représentants supermaçoniques de l'Ordre des Médecins, les nommés docteurs Jean Pouillard et Patrice Bodenan avaient de leur côté cherché à me faire appliquer l'article L 460 du CSP 

au bénéfice de leur poulain "milliardaire" le médecin serial-violeur Jean-Claude Elmelik, l'ex propriétaire de la Clinique Léon Elmelik, milliardaire,  selon le Principal du Commissariat de La Haÿ-les-Roses.  

Un médecin ne doit pas pouvoir donner délibérément la mort. C’est pour cela que nous sommes tout à fait contre toute forme d’euthanasie.

Morale et résultats des courses : le docteur Patrice Bodenan accédera dix ans plus tard à la présidence du Conseil Régional de l'Ordre des Médecins d'Île-de-France  et le docteur Olivier Ille fera de beaux discours les 15 et 16 mars 2014 à Peray-le-Monial sur le thème "Prends soin de lui"  (Cf. Olivier Ille - Cinquième rencontre d'Amour & Vérité le 15 mars 2013 à la Communauté de l'Emmanuel

Vérification faite ce jour, le site a disparu depuis l'an dernier. 

Pourquoi ? A-t-il été supprimé ? 

On ne trouve plus que : 

Prends soin de lui 3 [ Dr Olivier Ille Réf: E003948 Produit original: L ...

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Téléchargement de MP3 chrétiens Prends soin de lui 3 [ Dr Olivier Ille Réf: E003948 Produit original: L'Emmanuel AVM-DEP4635] - 5°Rassemblement .

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5 octobre 2017 4 05 /10 /octobre /2017 12:21

La loi Leonetti-Claeys de février 2016 n’autorise qu’une «sédation profonde jusqu’au décès » seulement pour  «les malades en phase terminale ».

Le docteur Jean-Marie Faroudja, président de la section « éthique et déontologie » (sic) de l’Ordre des médecins, dit qu'il peut << y avoir des dérives dangereuses.>>

Et d'ajouter, comme s'il ignorait ce qui s'était passé en 1990 pour contre mon père, quand  ses médecins ont décidé, de leur propre chef, que mieux valait qu'il ne survive pas très longtemps (dixit en s'adressant à moi le "bon" docteur Pascal Masnou, alors neurologue et Chef de Clinique dans Service du professeur Gérard Saïd où mon père était hospitalisé depuis deux semaines. Les dits médecins qui firent secrètement mais effectivement en sorte qu'il ne puisse survivre longtemps à sa maladie, une maladie qui certes était devenue handicapante, mais encore parfaitement curable, au prétexte - évidemment fallacieux - qu'il était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic, l'antienne fut à faux répétée en 1996 par le docteur François Chedru dans son expertise rendue six ans plus tard à la demande de la juge d'instruction Bénédicte Scelle), alors même que mon intervention avait trois semaines plus tard, en septembre 1990, permis à mon père de sortir très rapidement du coma et lui avait fait regagner ses esprits.

Sa résurrection mit ses médecins en émoi, pour ne pas dire dans la panique, ainsi que la direction de l'hôpital Bicêtre, qui se dépêchèrent, dans un premier temps, de prétendre que le dossier d'hospitalisation de mon père avait été perdu - tout en essayant de me faire signer qu'il m'avait été remis quand me fut remis des documents qui n'avaient rien à voir avec celle-ci, et qui dans un second temps (en 2004) m'accusèrent d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, le professeur Gérard Saïd  était membre de l'IFREM, Institut Français de Recherche en Ethique Médicale juive, l'éditeur Médica Judaïca) tout en promettant de porter cette affaire devant la Justice (en vertu de l'article 40 du CPP ! ) - ce qu'ils se dépêchèrent aussi très curieusement d'oublier de faire)

Elle me valut aussi les persécutions de leurs ennemis traditionnels à l'Ordre des médecins, avec qui ils se réconcilièrent et s'allièrent (le docteur Bruno Halioua fut en échange "autorisé" et même promptement invité - par Bernard Weber, ainsi qu'il l'a lui-même avoué - à publier son "Blouses blanches, étoiles jaunes", chez Liana Lévi (paru en décembre 1999, au moment où, comme par hasard on pouvait entendre dire à l'hôpital Saint-Louis, où "Espace Ethique de l'AP - HP" avait essaimé depuis Bicêtre, que "dans cette affaire, on a rien à craindre : on tient la médecine, la Presse et la Justice" (il s'agissait de l'affaire connexe, où l'infirmière Christine Malèvre avait joué en 1997 au CHU de Mantes la Jolie le rôle que les neurologues de Bicêtre avaient voulu faire jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis en lui recommandant de ne surtout pas appliquer à mon père le traitement qui pouvait lui sauver la vie, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, mais devant moi seulement un faux-semblant (consigne transmise verbalement et par lettre manuscrite au docteur Beinis par le docteur Olivier Ille, futur patron de la très zélée Christine Malèvre.)    

Deux des "hautsreprésentants supermaçoniques de l'Ordre des Médecins, les nommés docteurs Jean Pouillard et Patrice Bodenan avaient deleur côté cherché à me faire appliquer l'article L 460 du CSP - relayés par le procureur Michel Barrau, au bénéfice de leur poulain "milliardaire" (selon le Principal du Commissariat de La Haÿ-les-Roses) le médecin serial-violeur Jean-Claude Elmelik, l'ex propriétaire de la Clinique Léon Elmelik) que << un médecin ne doit pas pouvoir donner délibérément la mort. C’est pour cela que nous sommes tout à fait contre toute forme d’euthanasie.>>

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3 octobre 2017 2 03 /10 /octobre /2017 17:21

La législation française n'a pas permis à Anne Bert de mourir en France "dans la dignité ".

Alors que l'Ordre des médecins et la justice française avait en 1990 avalisé le fait que les médecins de mon père aient cherché à le faire mourir en France dans un Service de l'AP - HP dans la souffrance et dans l'indignité.  

Je demande au Pr. Jean-Louis Touraine, en tant qu'il est médecin, franc-maçon et député EM  de s'intéresser au cas de mon père.

Hospitalisé en neurologie à l'âge de 79 ans, il avait en 1990 "bénéficié" d'une euthanasie passive alors qu'il ne la réclamait absolument pas, soi-disant "parce qu'il était de toute façon voué à une inéluctable aggravation" (sic, le compte-rendu du docteur François Chedru, neurologue commis expert par madame Bénédicte Scelle, juge d'instruction au TGI de Créteil, qui a prononcé un non-lieu, obéissant en cela la réquisition du procureur Michel Barrau, qui non content de requérir un non-lieu, s'était permis de se payer ma tête (Cf. sur ce site "Ordonnance de non-lieu abusive" (site n° 116517337 html, en ligne depuis mars 2013 "Ordonnance de non-lieu en date du 3 juin 1998 relative à l'affaire rapportée sur le site 34640255  html).

J'avais dû intervenir au dernier moment pour mettre en route le traitement de la maladie de Biermer après que les infirmières du Service où il avait été transféré pour y finir ses jours m'ont fait savoir que seulement un faux-semblant de ce traitement lui avait été administré.

Mon intervention de dernière heure avait eu l'heur, du moins pour lui, qui ne voulait absolument pas mourir, de le remettre assez rapidement sur ses pieds et de lui faire regagner ses facultés cérébrales à 30/30 au MMSE (contre 22/30 précédemment, lors de son transfert à Charles-Foix, ce qui avait fait dire à ses médecins qu'elles étaient définitivement compromises.)

Le cas d’Anne Bert a ainsi remis l’euthanasie sur le devant de la scène médiatique. 

C'était certes une personne diminuée et promise à un handicap de plus en plus plus éprouvant, mais qui pouvait expliquer sa volonté de mourir.

Le cas de Vincent Humbert était très différent, qui a cependant beaucoup contribué à soulever le débat en France, mais curieusement pas celui de mon père. aux dires de ses médecins "inéluctablement voué à une plus grande aggravation" (sic) . 

Avant de mourir, Anne Bert a voulu laisser un manifeste posthume. "Mon dernier été"  est à paraître le 9 octobre prochain chez Fayard.

L'appel d’Anne Bert sera-t-il entendu ?

Le Pr. Jean-Louis Touraine, médecin et député de la 3e circonscription du Rhône, en a tenu compte. Il a présenté en septembre dernier une proposition de loi signée de plusieurs dizaines de députés d'EMLR, du PS et des RDG pour que la loi actuelle soit remplacée par "une assistance médicale active à mourir, pour que toute personne majeure et capable, en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable provoquant une douleur physique ou une souffrance psychique insupportable puisse  demander à bénéficier d’une assistance médicalisée active à mourir".  

à suivre sur les précédents articles et les suivants ...

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Published by leon
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