Le tueur raciste de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, a utilisé le live Facebook pour diffuser en direct le meurtre de 50 personnes dans des mosquées.
La direction a annoncé qu’elle était prête à discuter des revendications des syndicats. En signe d’apaisement, les journalistes ont décidé de reprendre le travail, après deux jours d’arrêt.
Cette annonce intervient douze jours après les attentats dans deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, dont l’auteur a diffusé les images en direct sur le réseau social.