Articles de Nikolay Starikov

L’Europe d’une guerre à l’autre (XX) – Qui a posé le mur de Berlin?

Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW  Je pense que certains d’entre vous ont peut-être entendu à plusieurs reprises parler de la façon dont le tyran assoiffé de sang Staline a mis en place un blocus de Berlin-Ouest en 1948 et de la façon dont les nations éprises de liberté ont organisé le pont aérien de Berlin pour le contourner. Mais aujourd’hui, nous allons vous raconter ce qui s’est réellement passé. Après que Staline

L’Europe d’une guerre à l’autre (XVIII– 3) – Comment la Grande-Bretagne a aidé l’Union Soviétique à combattre Hitler

Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW   Partie I Partie II Le 28 juillet 1942, Staline publia son fameux ordre no. 227: « Pas un pas en arrière! » Et ce n’était pas parce qu’il avait oublié de le faire en 1941, mais parce que la situation sur les premières lignes de la guerre était devenue beaucoup plus dangereuse et la perspective d’une défaite militaire soviétique beaucoup plus possible qu’au début de la guerre. C’est pourquoi, le 19

L’Europe d’une guerre à l’autre (XVIII– 2) – Comment la Grande-Bretagne a aidé l’Union Soviétique à combattre Hitler

Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW   Partie I  Le désastre qui a frappé le légendaire convoi PQ 17 de la Grande-Bretagne, qui apportait une aide militaire à l’Union Soviétique en juillet 1942, reste un mystère pour ceux qui ne comprennent pas le véritable programme de Londres pendant la Seconde Guerre Mondiale. Le deuxième front, que les Alliés avaient promis à Moscou en 1941, n’a été ouvert ni cette année ni la suivante. Après

L’Europe d’une guerre à l’autre (XVIII– 1) – Comment la Grande-Bretagne a aidé l’Union Soviétique à combattre Hitler

Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW  Dans les épisodes précédents des Episodes, nous avons souvent décrit des exemples évidents de manœuvres diplomatiques britanniques à l’égard d’Hitler juste avant et au début de la Seconde Guerre Mondiale (lisez par exemple, les chapitres « La Pologne trahie » et » Qui a signé la condamnation à mort de la France en 1940? »)  Le principal objectif de la politique britannique à l’époque était de mettre le fascisme allemand

L’Europe d’une guerre à l’autre (XV – 3) – La Pologne trahie

Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW  Partie I Partie II Quels sont les problèmes qui ont occupé les dirigeants et les diplomates des grandes puissances du monde au printemps et à l’été 1939? La tâche première d’Hitler était de neutraliser la menace de l’entrée en guerre de l’Union Soviétique. Espérant que l’Angleterre et la France trahissent une fois de plus leur allié – la Pologne, le Führer a voulu éliminer la menace

L’Europe d’une guerre à l’autre (XV – 2) – La Pologne trahie

Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW   Partie I  Dans les chapitres précédents, nous avons examiné les relations cordiales entre l’Allemagne nazie et la Deuxième République polonaise dans les années 1930 qui n’étaient troublées que par un conflit territorial mineur, insignifiant comparé aux ambitions des deux pays de l’Est … Les Allemands offraient une solution pacifique et civilisée au problème territorial – un référendum devait avoir lieu dans les zones contestées [Note de

L’Europe d’une guerre à l’autre (XV – 1) – La Pologne trahie

Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW  La vérité sur les racines du conflit germano-polonais qui a mené à la Seconde Guerre Mondiale a toujours été soigneusement dissimulée. Afin de masquer le détestable agenda politique des puissances occidentales, le mythe a d’abord circulé qu’Hitler était fou, possédé par une manie de s’emparer du monde, et que par conséquent sa nature agressive l’a forcé à attaquer tous ses voisins un par un, jusqu’à ce

L’Europe d’une guerre à l’autre (XIV – 3) – Comment Adolf Hitler est devenu un « agresseur provocateur »

Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW   Partie I Partie II Voyons maintenant les dates et les événements de cette tempête de mars 1939, afin d’établir avec certitude qu’Hitler a subitement été redéfini comme un  » agresseur « , non pas parce qu’il a pris le contrôle de la Tchécoslovaquie qui était sans défense, mais parce qu’il l’a fait d’une manière totalement contraire à ce qui avait été négocié avec les représentants de l’Occident.