Christine

Tout de même !

lundi 21 avril | 12:02

On en a fait des progrès, non ? Autrefois c'était des maîtresses, des amantes, du champagne, on a bien évolué tout de même ! Que des mecs et des substances chimiques pour améliorer l'ordinaire ou pour supporter le choc !

lola

Affligeant

lundi 21 avril | 09:10

Affligeant que des personnes haut placées, se droguent, moi ça me choque. Consommer de la drogue est un délit, c'est puni par la loi. Un jeune de banlieue qui se drogue on le met directement en prison, mais un directeur de chaîne, sous prétexte qu'il a du pouvoir, on le laisse en liberté. En effet ce sont des majeurs qui ont pris des risques, mais VIP ou pas, ces gens là contribuent à l'argent facile des dealers, des gros trafiquants.

B la lunaire

Le pouvoir

dimanche 20 avril | 15:52

Le véritable problème réside, à mon avis, dans le comportement suicidaire de personnes qui possèdent "presque" tout. Vivant dans un royaume doré, dans des palais étincelants, pataugeant dans un océan de profits... Posant uniquement un regard mercantile sur tous les moments de vie, s'enveloppant dans des liens superficiels, ils ne peuvent plus distinguer le vrai du faux, le bonheur de l'enfer, liant siamoisement le meilleur et le pire. Malgré un intellec enviable à de nombreux égards, ces gens "du pouvoir" tenant les rênes d'un illimité univers, pouvant influer sur de nombreuses décisions, mais oubliant de se tenir à distance des excès, sûrement par excès de vanité contagieuse... Et les voilà plongés dans la consommation de produits stupéfiants, soulageant par un certain plaisir procuré, la pression inhumaine qui pèse sur des épaules, elles, bien humaines... Incapables d'introspection, baignant jusqu'au cou dans une auto-satisfaction aveuglante, dans une course à la reconnaissance, ces personnes de pouvoir se perdent s'égarent... Présomptueux, ils se gargarisent, pensant avoir le dernier mot en affrontant la vie dans un jeu de "roulette russe", qui à leur yeux ne possède déjà plus la même valeur qu'à mes yeux. À ceux qui pensaient que les privilèges avaient été abolis, à ceux qui espéraient que l'instruction, la réussite permettaient d'atteindre une vie meilleure, à ceux qui croyaient à une justice juste et équilibrée, à ceux qui croyaient en la liberté d'expression, en la vérité éclatante, à ceux qui rêvaient à une existence ayant la même valeur pour chacun de nous, je leur présente mes condoléances les plus sincères, regardez ce monde qui vous fait face. Les marionnettistes se moquent bien des pantins qu'ils agitent, se donnant en spectacle, ils ne sont pas forcément l'exemple à suivre... Rions sournoisement qu'une telle affaire soit passée sous silence. Pantins, libérez vous de la vérité que l'on vous impose, fouillez avec des groins de cochons, décortiquez les mots avec lesquels les médias vous abreuvent, pensez pensez... Résistons...

Agatha

Début de polar

dimanche 20 avril | 08:47

Avec un appel sur le Net, une surdose de GHB, trois mecs et un décès, on fait un polar, mais il manque une femme là-dedans.

circus

En effet décadence

samedi 19 avril | 23:25

Totalement d'accord avec Radalbert ! Arrêtons de nous voiler la face un peu ! Ce n'est pas là une histoire de droite ou de gauche, de compte rendu plus ou moins objectif en fonction des identités politiques. C'est plus profond. Le scandale est moral. On me dira que ça ne date pas d'hier. Mais, oui, seulement, ces scandales ont toujours été suivis de problèmes politiques : les histoires de maîtresses sous les rois, plus ou moins exagérées, la fausse affaire du collier, les intrigues de favoris, les excès du second empire, les scandales de la Troisième République, ceux de la cinquième (celui qui avait éclaboussé Madame Pompidou, innocente pourtant)... Ces affaires plus ou moins scabreuses ont souvent donné lieu à l'exaspération des gens, à un sentiment d'immoralité générale, d'abaissement des élites, créant ainsi des tensions sociales, plus ou moins contenues, favorisant parfois à terme, des soulèvements, des révolutions ou du moins des convulsions sociales et politiques, de façon directe ou indirecte. Nos sociétés sont entrées dans une phase de décadence morale sévère. Il ne faut pas être d'extrême droite, fondamentaliste de tout poil ou intolérant maladif pour le constater. D'ailleurs, si le fondamentalisme existe hélas, c'est qu'il répond, à l'excès et sans lucidité aux errements de nos sociétés sur les questions de la vie. Le relativisme chic des cercles privilégiés (politique, médias, art officiel) a atteint de tel sommet qu'on nous fait croire n'importe quoi. La vulgate transgressive et inutilement révolutionnaire, dans l'art comme dans l'opinion, tente de se convaincre que nous allons vers des paradis d'émancipation et de progrès de civilisation. Certainement, car je suis pour ma part, un grand optimiste et un défenseur passionné des droits de l'homme. Mais les conditions actuelles pourraient s'avérer plus compliquées. Et des réveils pourraient être difficiles, sans jouer les pauvres Cassandre : les questions relatives au mariage, à l'euthanasie, à l'homoparentalité, à la polygamie, à l'avortement recèlent toutes des enjeux essentiels qui nous exposent à des conséquences incalculables sur le plan moral, social et anthropologique. Notre affaire, selon moi, relève de ce contexte, qu'on le veuille ou non. Nous prenons difficilement du recul pour le voir ; nous ne le voulons pas, car cela demanderait une remise en question trop complexe ou exigente pour nous. Or il ne s'agit pas de condamner ou d'accabler, il s'agit de discerner la déchéance de certains comportements et discours et de comprendre les conséquences funestes que ce nihilisme occidental actuel peut entraîner. On parle souvent de vigilance... Circus

Geneviève

À Jack2

samedi 19 avril | 20:02

Il arrive que les méchants soient de gauche : Chavez, Marulanda et les gentils de droite : Uribe, Bush. Mais la vérité ?

jaquy

Et bien !

samedi 19 avril | 19:31

Bravo Le Point ! Apparemment la tv est muette ! Pourtant il s'agit d'un fait divers ! Bien sûr que leur vie privée leur appartient, mais le trafic de stups c'est un délit à ce que je sache ! Personnalité ou pas !

Bastringue

Règle de l'anonymat ?

samedi 19 avril | 17:47

Tiens, je constate que l'on donne le nom. Moi, je veux bien mais j'ai comme l'impression que c'est pas toujours la même règle ?

tizzone

Entre adultes consentant

samedi 19 avril | 17:41

La prise de stupéfiants est évidemment dangeureuse et je veux croire qu'un adulte de plus de 40 ans sait ce qu'il fait GHB + coke c'est détonnant pour le coeur... S'il est prouvé que ces gens étaient tous là de leur plein gré, je ne vois pas ce que la justice vient faire là dedans...

Ode

A Abner de Sabatier

samedi 19 avril | 16:32

Dites, elle n'a tué personne, Ségolène ! Alors s'il vous plaît, comparez ce qui est comparable !