Dur, dur ! La première étape du Tour de France, samedi 7 juillet entre Londres et Canterbury, dans le Kent, a été plus difficile que ce que prévoyait Guillaume Prébois.

"Ça commence fort", relatait le journaliste-cycliste, joint au téléphone samedi en début de soirée. "Je suis couvert de moucherons, je ne suis pas lavé, ni massé", ajoutait-il alors qu'il s'apprêtait à traverser la Manche pour revenir en France - vous retrouverez la chronique quotidienne rédigée par Guillaume Prébois dès demain dimanche.

"C'était presque une étape de montagne, il n'y avait que des montées et des descentes, raconte Guillaume Prébois, et en plus il y avait beaucoup de vent de face."

Le parcours de 203 kilomètres, qui comportait trois côtes de 4e catégorie, a été couvert en 6 h 38.

"On a fait une bonne moyenne quand même", reconnaît Guillaume Prébois qui est accompagné pour son "autre Tour de France" par Fabio Biasiolo.

Mais cette première journée sur les routes du Tour a aussi été marquée par une circulation monstre.

"Déjà les 50 premiers kilomètres étaient urbains, mais en plus il y a eu des embouteillages dramatiques dans le Kent. Nous avons été ralentis, il nous a fallu passer à droite à gauche des voitures", relate Guillaume Prébois.

Samedi soir, il n'avait qu'une hâte : prendre une douche, se faire masser et se reposer. "On comprend tout le problème de la récupération pour les coureurs lorsqu'il y a des transferts comme celui-ci entre l'Angleterre et la France", relevait-il.

Dimanche, Guillaume Prébois s'élancera de Dunkerque pour rejoindre Gand, en Belgique.

page mise en ligne par SVP

vélo ski de fond plongeon
Consultez notre ENCYCLOPÉDIE sportive