Ils ont des choses à dire...
 

Des devinettes d'Irma...




Sais-tu qui hante les placards
Ou les parquets quand il se fait tard
Usant ses dents de ci, de là
Ravie de jouer les scélérats ?
Il suffit de trouver ici
Son nom qui rime avec grigri.

J'ai chaud à la taille
Froid à la tête et aux pieds
Et je m'amuse tout le temps à tourner comme une folle.



Des poèmes d'Irma...




La mer s'est retirée
Qui la ramènera?

La mer est démontée
Qui la remontera?

La mer est emportée
Qui la rapportera?

La mer est déchaînée
Qui la rattachera?

Un enfant qui joue sur la plage
Avec un collier de coquillages!



Si tu trouves sur la plage un très joli coquillage
Compose le numéro O.C.E.A.N.
Et l'oreille à l'appareil, la mer te racontera
Dans sa langue des merveilles
Que papa te traduira.


Un poème de Réan...




Pourquoi tu es partie?
Maintenant, tous les jours je me dis:
Quand je me lave les mains; je souffre
Quand je vais à l'école; je souffre
Quand je joue au tennis; je souffre
Quand je dors; je souffre
Et tout ça car je t'aime



Le CNED selon Réan...




Le CNED est organisé pour trois élèves: Irma, Saora et moi. On apprend comme dans une école normale.
Le mercredi et le vendredi on est avec Karla, Katarina, Benji et Matéa pour les cours de français... c'est bien, on revoit nos amis de l'an dernier.
Le CNED sixième c'est très sérieux surtout pour passer en cinquième, il faut se concentrer et travailler.
Parfois, le jeudi, on va avec le classe d'Alain au ski, à la piscine, à l'escalade. C'est pour ça que moi, Réan .......j'aime le CNED



Un poème de Benjamin...




Si j'ai mon école, la salle de classe décolle!
Personne n'aime travailler, on est venus pour rigoler,
Pour jouer, danser et papoter!
Pas de livre sur les rayons
Pas de stylo, pas de crayon!

Mais comment apprend-on?
Voici ma grande question.

Tout le monde sera bête
Et ce sera fini, la fête!

Heureusement que moi
Je ne vais pas dans mon école à moi !



Le renard et le lapin



Une fable en prose écrite par Matéa et Katarina

Le renard se promenant toute la journée dans la forêt, cherchait quelque chose à se mettre sous la dent. Il vit un blanc lapin qui se promenait à côté de la rivière. Il s’approcha de lui, cherchant une raison valable pour le dévorer.
« Qui te rend si courageux de manger mon bifteck ? »
L’autre répondit : « Comment puis-je manger votre bifteck, je ne suis pas carnivore ! »
Voyant que son accusation avait échoué, le loup, énervé, lui répondit :
« Je me moque de tes réponses ! »
Il l’emporta dans son terrier et le mangea sans aucun mot.

Face à des gens décidés à être injustes, le plus juste plaidoyer n’a aucun poids.



La panthère et la gazelle



Une fable en prose écrite par Irma et Benjamin

Une panthère mourait de faim et cherchait une proie. Soudainement, elle vit une gazelle perdue. La panthère qui cherchait une raison valable de la dévorer, dit :
« Viens dans ma grotte, je sais où est ta mère, elle t’attend. »
La gazelle qui n’était pas bête répondit :
« Mais les panthères ne dorment pas dans des grottes ! »
La panthère, voyant que sa ruse avait échoué la prit par le cou, la ramena dans son arbre et la dévora en une bouchée.

Le plus fort a toujours le dernier mot.



Le chien et l’écureuil



Une fable en prose écrite par Réan

Dans la forêt, le chien avait énormément faim. Il essaya de chercher un animal à manger. Il vit l’écureuil qui cherchait des noisettes. Le chien voulant manger l’écureuil cherchait une raison valable de le dévorer. Le chien dit :
« Pourquoi l’an dernier as-tu dit à mon père que j’avais trop bu ?
- Mais je n’ai jamais vu ton père !
- Si ce n’était pas mon père, c’était mon frère !
- Mais tu n’en as pas !
- OK, mais pourquoi la semaine dernière tu m’as volé mon oiseau que j’avais si difficilement attrapé ?
- Mais je suis frugivore ! »
Voyant que son accusation avait échoué, le chien décida d’aller le manger loin de la forêt.

Face à des gens décidés à être injustes, le plus juste plaidoyer n’a aucun poids.




Le renard et la poulette



Une fable en prose écrite par Saora et Karla

Il était une fois une poulette qui se promenait dans la forêt. Soudain, derrière elle se trouva un renard affamé. Il cherchait une raison valable pour la dévorer.
« Toi, là-bas, pourquoi as-tu marché sur ma terre ?
- Mais ce n’est pas votre terre !
- Mais qui t’a raconté cette histoire ?
- C’est le fermier, mon maître qui me l’a dit !
- Voyant que son accusation avait échoué, il la dévora.

Face à des gens décidés à être injustes, le plus juste plaidoyer n’a aucun poids.


 
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