Quantcast

à lire...

Trop de gens parlent de l’islam sans avoir lu les textes fondateurs : il faut lire d'abord et juger ensuite. Ce site s'adresse aux croyants et aux non-croyants. Il ne soutient aucune religion ou parti. Il n'est pas contre Dieu mais contre les excès de toutes les religions. Il rejette l'intégrisme non les croyants modérés qui en sont aussi victimes.

Ce site est CONTRE LE RACISME. L'islam n'est pas une race mais une idéologie politico-religieuse. Ce site n'est pas islamophobe mais islamo-REALISTE. Il s'appuie sur les FAITS HISTORIQUES.

Les CITATIONS EXACTES SANS INTERPRETATION sont écrites noir sur blanc dans le Coran.

La TRADUCTION du Coran utilisée principalement se distingue "par la FIDELITE AU SENS" selon l'Institut de recherches islamiques d'El Azhar, une des plus hautes autorités de l'islam dans le monde. Ce site expose l'exégèse (analyse) faite par la majorité des IMAMS et SAVANTS de l'islam.

Ce site ne se moque pas de l'islam : ce qui se passe dans le monde à cause de l'islam est trop grave pour en rire. Ce site est CONTRE LA HAINE. Les seuls appels au meurtre que vous trouverez ici sont ceux contenus dans des versets du Coran.

Guerre

La Turquie a averti mercredi 28 décembre soir qu'elle prendrait de nouvelles mesures contre la France si le Sénat français adopte la loi pénalisant la négation des génocides, dont le génocide arménien de 1915 reconnu comme tel en France par une loi de 2001.

Ankara a rappelé son ambassadeur et promis des représailles économiques dès l'adoption le 22 décembre par l'Assemblée nationale d'une proposition de loi faisant de la négation des génocides un délit pénal passible d'un an de prison et de 45 000 euros d'amende.

 

LeMonde 

Publié dans : Guerre

Turquie-genocide-kurde.jpg Trente-cinq villageois kurdes ont été tués et un autre blessé dans des raids menés mercredi soir par l'aviation turque en territoire irakien, à la lisière de la frontière turque. Le parti au pouvoir à Ankara s'est excusé, évoquant une possible erreur. 'Selon les premières informations, ces gens étaient des trafiquants et non des terroristes', c'est-à-dire des rebelles séparatistes pour lesquels ils ont été pris, a déclaré Hüseyin Celik, vice-président du Parti de la justice et du développement (AKP, issu de la mouvance islamiste).

 

LeMonde

2011/12/28

Publié dans : Guerre

Plusieurs évènements d’une extrême importance se sont passés ces dernières semaines dans le sud de la Serbie. Passés inaperçus dans la presse européenne,  ils sont les témoins capitaux d’une nouvelle crise qui s’annonce.

 

Les musulmans de Novi Pazar (Sandjak, sud de la Serbie) ont affronté la police serbe le 7 septembre dernier. Un litige cadastral pour la construction d’une école a servi de prétexte à la revendication d’un Sandjak musulman indépendant. Après les affrontements qui ont faits plusieurs blessés du côté de la police serbe, des musulmans de Bosnie (le pays voisin) ont renchéri  en demandant « l’envoi sur place d’observateurs européens ». Par cette ingérence dans les affaires internes à la Serbie, ils mettent clairement en cause la réaction parfaitement légitime et proportionnée du pouvoir de Belgrade dans cette affaire. Imagine-t-on quelque pays africain ou musulman réclamant des observateurs internationaux après chaque émeute en France ?

 

Ces musulmans de Bosnie envoient également un signal fort à Belgrade en lui rappelant qu’ils n’hésiteront pas à faire appel à l’UE pour promouvoir la création d’une zone musulmane autonome supplémentaire au sein de la Serbie. La méthode est toujours la même : évoquer le non respect « des droits de l’Homme », agiter le spectre du génocide et émouvoir par le mensonge et la désinformation. Utilisant une Union Européenne incapable de voir où sont ses intérêts propres, cette stratégie semble malheureusement toujours fonctionner.

 

Cette rébellion du Sandjak couplée à l’ingérence bosniaque intervient au moment où la Serbie souhaitait proposer une nouvelle résolution sur le Kosovo au conseil de sécurité de l’ONU. Cela a fait dire à certains observateurs politiques serbes que le but premier de tout cela était de faire pression sur Belgrade afin que la Serbie adoucisse sa position sur le Kosovo. Et c’est justement ce qu’elle a fait en proposant une résolution prise de concert avec l’UE… 

 

C’est dans ce même sandjak musulman que dimanche dernier suite à la victoire de la Turquie sur la Serbie lors d’un match de Basket-ball, des manifestations spontanées ont eu lieu au cri de « Ici c’est la Turquie, pas la Serbie » avec les drapeaux à croissants qui vont avec.

 

 Au même moment au Kosovo plusieurs centaines d’Albanais franchissaient le pont de Kosovska Mitrovica et envahissaient la dernière zone serbe du Kosovo qui résiste encore. Les premiers Serbes à venir défendre le pont n’étaient qu’une dizaine et ont été grièvement blessés. Ce sont eux qui ont pu donner l’alerte, ce qui a très vite permis à plusieurs centaines de Serbes de faire face et de repousser l’attaque albanaise. Des coups de feu tirés depuis la zone musulmane ont terminé ce bref mais très violent affrontement. Un Serbe et un militaire français ont été blessés par balle. Cette attaque albanaise n’était pas seulement une ratonade antiserbe. Des miliciens armées y ont pris part et elle s’inscrit de manière violente dans la politique de l’Etat albano-kosovar de faire tomber cette dernière zone de résistance qu’est le nord de Kosovska Mitrovica.

 

 Et que fait l’Occident ? Pas grand-chose. Les soldats de l’OTAN montent une garde symbolique qui n’assure qu’une protection minimale. Elle est incapable de protéger les populations serbes lorsque des situations imprévues apparaissent. Dans une région d’Europe soumise à la terreur musulmane, il est également choquant de constater le silence médiatique qui entoure ces évènements et l’absence des grandes organisations caritatives. Hélas, ces associations se mobilisent quand elles peuvent espérer de bonnes retombées publicitaires. Or, il n’y a rien à gagner en venant en aide aux Serbes du Kosovo.

 

Quand l’Occident refuse de s’impliquer, quand les «humanitaires» détournent le regard, quand les journalistes se taisent, que reste-t-il ? Il reste vous et moi, des Français ordinaires révoltés par l’injustice.

 

Cette révolte qui nous anime depuis 2004 nous l’avons toujours transformée en actions. Suite à ces récents évènements je me rendrai dans les semaines à venir  dans le sud de la Serbie en compagnie d’un bénévole de l’association Solidarité Kosovo afin de mettre en place de nouvelles stratégies de soutien. 

 

Tant que l’injustice dont sont victimes les Serbes du Kosovo persistera nous serons à leurs côtés. Ils ne lâchent pas, nous ne les abandonnerons pas !

 

Arnaud Gouillon, président de Solidarité Kosovo

 

 

----------------------

Solidarité Kosovo

BP 1777

38220 VIZILLE

www.solidarite-kosovo.org

   Soutien aux Serbes du Kosovo Métochie depuis 2004 !

Publié dans : Guerre

2010/12/30

 

Le groupe islamiste "Boko Haram" — signifiant en langue haoussa que l'éducation occidentale est un "péché" — a revendiqué les attentats à la bombe et attaques contre des chrétiens qui ont fait au moins 80 morts à la veille de Noël dans la ville de Jos, dans le centre du pays. Ce jour-là, six autres chrétiens avaient aussi été tués à Maiduguri, au cœur d'une des régions les plus démunies du Nigeria, aux confins du Cameroun, du Tchad et du Niger.

 

Cette secte radicale avait orchestré l'an dernier un soulèvement qui s'était soldé par quelque 800 morts. Cette secte d'inspiration talibane qui veut imposer la charia dans l'ensemble du pays, dont le Nord est majoritairement musulman mais le Sud, principalement chrétien.

 

LeMonde

Publié dans : Guerre

2011/02/16

 

Le puissant mouvement armé chiite libanais Hezbollah a menacé mercredi 16 février de s'en prendre aux 'dirigeants' et 'généraux' israéliens pour 'venger' l'assassinat de son chef militaire Imad Moughnieh en 2008 en Syrie après l'explosion d'une voiture piégée. 'La décision va être mise en oeuvre (...) au moment opportun et (en visant) la cible opportune. Je dis aux dirigeants et généraux sionistes, où que vous soyez dans le monde, à n'importe quel moment, prenez garde à vos têtes car le sang d'Imad Moughnieh n'a pas été versé en vain', a déclaré Hassan Nasrallah.

 

Lire l'article

Publié dans : Guerre

2011/02/16

 

Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a exhorté mercredi les membres de la guérilla chiite libanaise à se tenir prêts à envahir le nord d'Israël.

 

"Je dis aux saints guerriers de la Résistance islamique d'être prêts pour le jour où, si la guerre nous est imposée, votre commandement vous demandera de contrôler la Galilée", a déclaré le cheikh Nasrallah dans un discours télévisé.

 

Mardi, le ministre israélien de la Défense Ehoud Barak s'est rendu dans le nord de l'Etat hébreu. Il a dit aux soldats israéliens qui y sont postés que le calme régnant actuellement à la frontière israélo-libanaise risquait de ne pas durer. "Cela ne durera pas toujours et dans certaines conditions, cela pourrait se détériorer", a prévenu Ehoud Barak. "Il serait alors fait encore appel à vous".

 

La guerre de 34 jours qui a opposé le Hezbollah à Israël en 2006 avait fait 1.200 morts parmi les Libanais et 160 parmi les Israéliens.

 

Lire l'article

Publié dans : Guerre
Publié dans : Guerre

Les islamistes somaliens de la milice Al Chabaab menacent de lancer des attaques contre les capitales de l'Ouganda, Kampala, et du Burundi, Bujumbura, pour venger la mort de civils à Mogadiscio. Ces deux pays participent à la Mission de l'Union africaine en Somalie (AMISOM), qui appuie l'armée gouvernementale somalienne contre l'insurrection islamiste. "Nous ferons pleurer leur peuple. Nous attaquerons Bujumbura et Kampala (...) Nous porterons notre combat dans ces deux villes et nous les détruirons", a déclaré à la presse Sheikh Ali Mohamed Hussein, un des principaux commandants de la milice islamiste somalienne que Washington considère comme liée à Al Qaïda. Jeudi, des tirs d'artillerie ont fait au moins 30 morts et des dizaines de blessés dans Mogadiscio. Selon des employés de Reuters, les forces ougandaises et burundaises de l'AMISOM ont répliqué à des attaques au mortier des islamistes en faisant donner l'artillerie. Le commandant Barigye Ba-hoku, porte-parole de l'AMISOM à Mogadiscio, a démenti que des soldats de l'Union africaine aient bombardé la ville et a imputé les victimes civiles à des actions armées des insurgés. "Al Chabaab veut nous entraîner dans sa guerre. C'est eux qui nous ont bombardés et qui ont bombardé (le secteur de) Bakara avant de dire que c'était l'AMISOM qui avait tué des civils. Nous connaissons leur tactique", a-t-il dit. Les combats en Somalie ont fait 19.000 morts parmi les civils depuis janvier 2007 et déplacé 1,5 million d'habitants, créant l'une des pires situations d'urgence humanitaire dans le monde. Les agences occidentales du renseignement estiment parallèlement que le chaos a attiré sur ce territoire de la Corne de l'Afrique des djihadistes étrangers en quête de bases arrière pour préparer et mener leurs opérations. "Nous prenons leurs menaces au sérieux", a ajouté le commandant Ba-hoku. "Toute tentative d'attaque contre le Burundi ou l'Ouganda se heurtera à une réaction déterminée et sera mise en échec."

 

Source : Reuters

Publié dans : Guerre

Al-Aulaqi-terroriste-islamiste.jpg

 

  

«Vous n'avez sûrement jamais entendu parler de lui, mais c'est le nouveau visage du terrorisme international», avertit The Daily Telegraph en présentant Anwar al-Aulaqi. Cet imam de 39 ans est depuis quelque mois sur la liste des cibles à abattre de la CIA. Et le chef du MI5, le service de renseignements britannique, l'a désigné la semaine dernière comme l'ennemi public numéro un de l'Occident.

 

C'est en utilisant Internet qu'al-Aulaqi s'est fait connaître. Initié aux nouvelles technologies, cet infatigable prêcheur aurait mis en ligne  plus de 5.000 vidéos, devenant une star de YouTube. Une méthode de propagande qui s'avère particulièrement efficace, souligne le Telegraph:

«Le web lui donne une portée mondiale – jusque dans les chambres des jeunes musulmans désenchantés et crédules qui peuvent avoir déjà été radicalisés par un imam extrémiste ou un ami. Pour les services de renseignement, cela représente une nouvelle menace car c'est très difficile à surveiller.»

Né au Nouveau-Mexique de parents yéménites, Anwar al-Aulaqi a fait ses études aux États-Unis. A 25 ans, il est devenu imam à la mosquée de San Diego, en Californie. Un parcours qui a servi la propagation de son message islamiste, explique USA Today:

«Les experts du terrorisme affirment que l'aisance d'al-Aulaqi en anglais, ses qualifications religieuses et sa profonde familiarité avec la culture américaine lui ont permis de recruter avec succès des fidèles aux États-Unis – ce que Ben Laden avait du mal à faire.»

Mais si Anwar al-Aulaqi inquiète tant les services secrets occidentaux, c'est parce qu'il réussit à faire passer ses partisans à l'acte. Ses sermons auraient inspiré les kamikazes du 11 septembre à New York, ainsi que ceux du 7 juillet 2005 à Londres. Plus récemment, il est apparu qu'al-Aulaqi était en contact avec le militaire qui a tué 13 personnes sur la base texane de Fort Hood en novembre 2009 et avec l'auteur de l'attentat manqué contre le vol Amsterdam-Detroit en décembre dernier.

 

Depuis cette dernière tentative, l'administration Obama a décidé de neutraliser Answar al-Aulaqi, quitte à commettre un assassinat ciblé. Une décision qui fait des vagues aux États-Unis, jusqu'à provoquer un procès contre le gouvernement, comme le rapporte The New York Times. En effet, né outre-Atlantique, où il a passé une grande partie de sa vie, la nouvelle figure du djihadisme international a le statut de citoyen américain! L'homme est décidément insaisissable.

 

À LIRE ÉGALEMENT SUR SLATE.FR: Portraits des chefs d'al-Qaida au Yémen

Photo: Answar al-Aulaqi en novembre 2008. Muhammad ud-Deen via Wikimedia Commons, CC licence by

 

Publié dans : Guerre

Bruno Tertrais est un expert reconnu des questions nucléaires. Maître de recherches à la Fondation pour la recherche stratégique, ancien membre de la commission du Livre blanc sur la Défense, il vient de publier un nouvel ouvrage consacré à la prolifération nucléaire, "le Marché noir de la Bombe" (Buchet-Chastel, 18 euros). Nourri aux meilleures sources, ce document retrace l'histoire du réseau A.Q. Kahn, le père de la bombe pakistanaise, qui a cédé sa technologie a de nombreux pays. Bruno Tertrais (que nous remercions vivement) nous a autorisé à reproduire le passage de son livre consacré à un aspect souvent tabou des questions nucléaires : les ambitions de l'Algérie.

Publié dans : Guerre

 


le Génocide des Arméniens en toile de fond

lundi19 octobre 2009



Depuis le clash du Forum de Davos (29 janvier 2009), rien ne va vraiment plus entre la Turquie et Israël. A Istanbul, tandis que l’antisémitisme rampant s’est accentué, Ankara a exclu Israël des manoeuvres militaires aériennes de l’opération "Aigle anatolien". Une configuration qui relance, curieusement, la question arménienne en terre sainte, alors que la Knesset a rejeté plusieurs fois les résolutions présentées par la gauche.

Cette fois c’est la société civile qui monte au créneau.

Vendredi dernier, un mouvement baptisé "Si tu veux", créé par des étudiants des universités israéliennes après la seconde guerre du Liban, a organisé une manifestation impromptue de protestation devant l’ambassade de Turquie à Tel-Aviv, exhortant le gouvernement turc de reconnaître "l’holaucoste" des Arméniens dans l’Empire Ottoman.

Le mouvement militant a brandi pour l’occasion des photos illustrant le génocide du peuple arménien.

Pendant ce temps là, en Turquie, Abdulah Gul a déclaré, à la suite d’une série télévisée antisémite intitulée "Eyrilik" (Séparation), -montrant des soldats israéliens tuant des civils et des enfants-, que son pays ne se taira pas face aux « injustices » israëliennes. "Aucun État ne dictera à notre pays, quelle politique étrangère il doit poursuivre "

"La Turquie est l’un de ces rares Etats qui est étroitement associé à la fois avec les pays arabes et avec Israël. Nous allons continuer à critiquer et agir lorsque ce sera nécessaire, sans saper les fondements de ces relations. Ankara cherche à établir une paix juste et la stabilité au Moyen-Orient.", a-t-il dit. Ajoutant "Malgré le fait qu’Ankara veut entretenir des relations amicales fortes avec Israël, nous n’avons pas le droit moral de rester silencieux quand à Gaza sont tués des femmes et des enfants sans défense ", a souligné le président Turc.

Le scandale ne s’est pas fait attendre. le Ministre des Affaires étrangères israëlien, Avigdor Lieberman, convoquera l’ambassadeur de Turquie pour éclaircissements afin de protester contre la diffusion de la série télévisée qui incite à la haine anti-israélienne à la télévision d’Etat TRK1", a indiqué un communiqué des Affaires étrangères, le 14 octobre, jour du match Turquie-Arménie à Bursa.

"Cette série n’a pas le moindre rapport avec la réalité et présente les soldats israéliens comme des tueurs d’enfants (palestiniens). Elle ne mérite pas d’être diffusée même dans un pays ennemi (d’Israël) et sûrement pas dans un pays entretenant de pleines relations diplomatiques avec Israël",ajoute le communiqué.

Les chaînes de télévision israéliennes ont diffusé des extraits de la série hebdomadaire de la télévision publique turque dans laquelle on voit notamment un soldat israélien tirer délibérément sur une fillette palestinienne qui s’écroule morte en souriant. Une autre scène présente l’image d’une balle au ralenti tirée par un soldat de Tsahal qui atteint de plein fouet un autre petit Palestinien.

La veille, le premier ministre Erdogan avait de nouveau évoqué les critiques d’Israël, en disant : « La Turquie dans son histoire n’a jamais été du côté des persécuteurs, et toujours défendu les opprimés."

Réponse des membres arabes du parlement israëlien à l’adresse du premier ministre turc, notamment accusé pour sa politique guerrière anti-kurde : "Monsieur Erdogan, vous feriez mieux de vous taire. Si vous insistez, nous allons vous informer en détail sur tous les crimes de guerre commis par la Turquie. Par exemple le génocide arménien dont vous ne dites pas un mot."

12h00 A la suite de ce clash diplomatique entre les deux nations, le café turc et les voyages en Turquie font l’objet d’une campagne de boycott en Israël, rapporte aujourd’hui le quotidien israélien "Yediot-Aharonot".

Une chaîne de cafés a décidé de ne plus vendre une de ses spécialités, l’"Istanbul coffee", "jusqu’à ce que les choses s’améliorent" entre Israël et la Turquie", explique Michal Steg, responsable de la société Ilan.

Par ailleurs, le nombre de réservations touristiques vers la Turquie serait en notable baisse, toujours selon le "Yediot-Aharonot".

15h00 Concernant l’offre de médiation de la Turquie entre la Syrie et Israël, "la Turquie ne peut être un intermédiaire honnête", a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a rejeté la possibilité d’une participation de la Turquie dans les négociations syro-israéliennes comme médiateur.

Selon les médias israéliens, lors des pourparlers qui se sont tenus il ya quelques jours à Jérusalem, l’un des thèmes principaux a porté sur les perspectives de paix au Moyen-Orient. Interrogé sur la possibilité de continuer la mission de médiation d’Ankara entre Jérusalem et Damas, le dirigeant israélien a reconnu qu’il ne voit pas de perspectives pour l’avenir de la participation de la Turquie dans le processus de négociation : « La Turquie ne peut être un honnête courtier entre les parties." — A déclaré M. Netanyahu.

Et, selon le vice-ministre des Affaires étrangères d’ Israël, Danny Ayalon, « Les relations entre Israël et la Turquie traversent une période difficile, mais le problème pourrait être réglé avec une diplomatie discrète et prudente."

Vendredi dernier, le Conseil des Droits de l’homme de l’ONU (Rapport Goldstone)a recommandé que le Conseil de sécurité de l’ONU se saisisse du dossier Israëlo-Palestinien et réclame aux deux parties l’ouverture d’enquêtes, sous peine de saisir la Cour pénale internationale.


vu sur http://www.armenews.com/article.php3?id_article=55447

Publié dans : Guerre

Lefigaro.fr, avec AFP 28/09/2009

Le missile de longue portée Shahab 3, tiré lundi.

Le missile de longue portée Shahab 3, tiré lundi.

Téhéran teste son nouvel arsenal, notamment des missiles capables d'atteindre Israël. Dans le même temps, le pays indique qu'il répondra à toute menace de manière «destructrice», notamment sur son programme nucléaire. A quoi jouent les dirigeants iraniens ? Les Gardiens de la révolution, l'armée idéologique du régime islamique iranien, ont tiré ce lundi, dans le cadre d'exercices militaires visant à «améliorer» les capacités de dissuasion du pays, deux missiles de longue portée capables d'atteindre des cibles situées à 2.000 km. De quoi irriter une nouvelle fois la communauté internationale et inquiéter Israël, leur ennemi juré, qui se trouve à 1.000 km des frontières iraniennes. Durant le week-end, Téhéran avait déjà pratiqué deux séries d'essai de missiles, de courte et de moyenne portée cette fois. Commentant cet exercice militaire, le commandant des forces aériennes des Gardiens de la révolution, Hossein Salami, a affirmé que le principal objectif des manoeuvres, baptisées «Grand prophète 4», était «d'évaluer les progrès techniques récemment réalisés dans les missiles sol-sol». L'un des deux missiles tirés aujourd'hui, le Sejil, est une arme de «nouvelle génération», aux «capacités extraordinaires», avait déjà assuré l'an dernier l'ancien ministre de la Défense iranien lors d'un premier test. Un deuxième tir avait été mené en mai. Téhéran tente de rassurer sur sa deuxième usine nucléaire L'Iran effectue régulièrement de telles manoeuvres dans les eaux stratégiques du Golfe. Mais celles-ci interviennent à un moment d'intenses tensions avec l'Occident sur le programme nucléaire de la République islamique. «Face aux menaces contre l'existence, l'indépendance, la liberté et les valeurs du régime [islamique], notre réponse sera directe, ferme et destructrice», a ajouté le commandant Hossein Salami, ajoutant que cette réponse ferait «regretter» à l'ennemi ses menaces. Ce discours très ferme tranche cependant avec une certaine volonté d'appaisement manifestée dans le même temps sur le dossier nucléaire. Sommée de s'expliquer sur l'existence d'un second site d'enrichissement d'uranium, l'Iran a une nouvelle fois assuré lundi que ce site serait placé sous la supervision de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). La révélation vendredi de l'existence de ce site situé à une centaine de kilomètres de Téhéran avait accentué la pression internationale sur le pays. Cette nouvelle usine en construction près de Qom «ne viole aucune loi internationale. Les pays occidentaux se livrent à des commentaires qui ne sont pas réalistes», a déclaré lundi à la presse le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Hassan Ghashghavi. «Les allégations [...], le battage médiatique, sont sans fondement», a-t-il poursuivi. Le président Ahmadinejad avait affirmé depuis New York que le site était «parfaitement légal»et conforme aux règles de l'AIEA. Obama n'écarte pas un recours à la force militaire Les Occidentaux somment l'Iran de faire toute la lumière sur ses activités nucléaires à la réunion du 1er octobre avec le groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et l'Allemagne), faute de quoi il ne pourra plus échapper à de nouvelles sanctions. Les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne accusent l'Iran d'avoir dissimulé pendant des années la construction de cette deuxième usine d'enrichissement d'uranium, la technologie produisant le combustible pour les centrales civiles mais pouvant aussi fournir la matière à l'arme nucléaire. La Russie et la Chine ont aussi appelé l'Iran à la coopération. Pour les Occidentaux, non seulement la construction d'une seconde usine à cet effet aurait dû être déclarée dès sa construction aux organismes internationaux, mais ses caractéristiques ne sont pas cohérentes avec une finalité civile. Le président américain Barack Obama a refusé d'écarter un recours à la force militaire contre l'Iran et a ensuite appelé Téhéran à «prouver ses intentions pacifiques». La situation «est en train de s'éclaircir et je ne crois pas» qu'elle dégénérera, a commenté lundi matin le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner. Selon lui, «il n'y a pas vraiment eu de dialogue» avec l'Iran jusqu'à présent. «On les rencontre tout le temps, mais le fond du problème n'est pas abordé. J'espère que ce sera à partir du 1er octobre à l'ordre du jour, avec des réponses fournies à l'AEIA», a-t-il poursuivi.

Publié dans : Guerre

EX-musulmans et fiers

Clique ici pour rejoindre les EX-musulmans  

Ex musulman - Libre & Fier   

Pur Sang Arabe, symbole de la liberté retrouvée

contre le racisme et l'islamisme

anti-integrisme

liens

liberté pour les territoires occupés

boycott-islam

CLIC SUR LE MUR : FAITES LE TOMBER

BOYCOTT APARTHEID ISLAM

pour la tolérance et l'amitié

Vous pouvez librement

mettre des liens vers ce site

et reproduire son contenu

 

 

"Bienvenue dans ma communauté.

Vous êtes le premier à me rejoindre

et déjà je sens en lisant vos articles

sur la connaissance de l'Islam

que vous allez beaucoup m'apporter

car vous avez un raisonnement

très sainet très interressant

avec beaucoup de précisions.

J'ai beaucoup à apprendre de vous.

A bientôt."

 

 

"Merci.

Par ces temps troubles,

je veux savoir, comprendre

par moi-même cette religion

qui déchaîne les passions.

Je trouve votre blog

très respectueux, droit, neutre.

J'approfondirai bien sûr

mes recherches

pour forger mes idées.

J'avoue commencer à sentir

des menaces "ambiantes".

Je sens l'oppression

qui se fait sur les gens

souhaitant s'exprimer sur l'islam,

sur ceux qui souhaitent "révéler"

les mauvais aspects du Coran

ou tout simplement

en débatre objectivement !

Je ne peux plus supporter la

confusion racisme/islamophobie.

Mais je me sens perdue,

et mon entourage également,

cela fait l'unanimité

quand on en parle...

mais entre nous...

car à l'extérieur...

nous avons peur.

Alors merci de faire exister

votre réflexion et vos analyses."   

Créer un blog gratuit sur over-blog.com - Contact - C.G.U. - Rémunération en droits d'auteur - Signaler un abus - Articles les plus commentés