Louis Giscard d’Estaing, un député d’expérience.

M. Louis Giscard D'Estaing Vice President  seance du 27 septembre 2011

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Louis Giscard d’Estaing lance depuis Austin, capitale du Texas, un appel en faveur de la compétitivité de l’économie française, et invite ses concurrents à concentrer leurs attaques sur les candidats de la majorité présidentielle.
En campagne à Houston, San Antonio et Austin, je lance en tant que vice-Président de la Commission des finances de 2007 à 2012, un appel en faveur de la compétitivité de l’économie française, thème qui nous a réuni très nombreux à New York mercredi autour de Clara Gaymard dans le cadre d’une réunion phare de cette campagne législative partielle pour élire le Député des français d’Amérique du nord.
 
Poursuivant cette campagne lundi à Greenville, avec la visite du principal site de production de Michelin aux États-Unis, puis mardi à Chicago, capitale d’une célèbre école d’Economie, je ne peux que déplorer que les responsables actuels de notre pays s’en prennent à l’Allemagne, alors que celle-ci a précisément réalisé les efforts de compétitivité dont notre économie a de toute urgence besoin.
 
Président du Groupe d’amitié France-États-Unis de l’Assemblée nationale de 2007 à 2012, je rappelle que c’était  à l’initiative conjointe du Président français Valéry Giscard d’Estaing et de son homologue américain Gérald Ford, qu’avait été créé en 1975 le G7, afin de coordonner les politiques économiques des 7 pays les plus industrialisés d’alors.
 
Dans le contexte que connait notre pays, je considère, comme tous les Français d’Amérique du nord que je rencontre tout au long de cette campagne, que tous les efforts doivent être focalisés sur les conditions du redressement de notre économie et de sa compétitivité. J’invite donc, depuis le Texas où la croissance est repartie, mes concurrents de droite à éviter de se tromper d’adversaires, et à ne concentrer leurs attaques qu’à l’égard des candidats de la majorité présidentielle.
C’est bien cela l’enjeu de cette élection, et au-delà, l’effort indispensable de compétitivité de notre économie.
 

L’UDI et Jean-Louis Borloo soutiennent Louis Giscard d’Estaing et Séverine Boitier !


par TV-udi

Nos engagements envers vous

1. Etre votre lien transatlantique

J’agirai avec détermination pour être votre lien, porter vos préoccupations et faire entendre votre voix des deux côtés de l’Atlantique, vous associant étroitement et régulièrement à mon action. En vous représentant sur les bancs de l’Assemblée nationale, j’entends ainsi porter votre message pour faire gagner nos idées et en faire une source d’inspiration pour les Français eux-mêmes.
En particulier je me battrai pour que l’Assemblée nationale reconnaisse officiellement le rôle de la suppléance du député. Son rôle sera de représenter notre circonscription sur le terrain. Séverine sera quotidiennement au contact de notre communauté et assurera le relais avec moi, quand je siégerai à l’Assemblée nationale. Ensemble, nous servirons tous les Français, au plus près de leur réalité.

2. Restaurer notre compétitivité économique

Il faudra revenir sur la durée légale du temps de travail et adapter notre droit social.
Il n’y a pas de fatalité à ce que la France prenne la tête des pays en crise de l’Europe du Sud.
Conjurer ce risque bien réel de décrochage suppose à la fois une politique de convergence à l’échelle européenne et des mesures nationales permettant de libérer les initiatives, de réduire le poids de la dépense publique et de limiter le fardeau de la dette léguée aux jeunes générations.

3. Assurer l’accès à une éducation française de qualité

J’ai pu mesurer les difficultés que vous rencontrez depuis la suppression de la prise en charge des frais de scolarité.
Aussi, je vous proposerai avec Séverine plusieurs actions visant à améliorer l’accès à l’éducation et à donner à nos jeunes les meilleures chances d’insertion professionnelle, passant notamment par une plus grande utilisation des programmes du Centre National d’Enseignement à Distance (CNED), du programme Français Langue Maternelle (FLAM), des sections bilingues et des associations bénévoles.
Nous devons établir un suivi efficace de l’accord de reconnaissance des diplômes, car il subsiste encore de nombreuses difficultés dans la mise en application des accords d’équivalence de diplôme signés en 2009.

4. Garantir un traitement fiscal équitable

Les Français d’Amérique du Nord sont trop souvent appelés à contribuer financièrement à des services dont ils ne peuvent bénéficier. La prospérité relative de cette région ne doit pas faire des Français qui ont choisi d’y vivre une cible toute désignée de la politique fiscale du gouvernement.
C’est la raison pour laquelle je m’engage à agir, dans le droit fil de l’action que j’ai menée à l’Assemblée nationale en tant que Vice-Président de la Commission des Finances, pour dénoncer toute atteinte au principe de non-rétroactivité fiscale, d’égalité devant l’impôt, mettre en échec les projets de hausse du gouvernement et encourager fiscalement les investissements dans l’économie réelle.
Je veux obtenir l’harmonisation des taux d’imposition entre les Français de l’étranger vivant dans l’Union Européenne et hors Union sur les plus-values immobilières françaises. Depuis l’extension de la CSG et CRDS aux plus-values immobilières réalisées en France pour les non-résidents, le taux global d’imposition est de 34,5% pour les résidents de l’Union Européenne et de 48% pour les résidents hors Union. Il faut corriger au plus vite cette grave anomalie qui vous surtaxe injustement et crée deux catégories de Français de l’étranger.

5. Améliorer les services consulaires

Vous avez été nombreux à évoquer avec moi les conséquences de la fermeture ou de l’éloignement de nos services consulaires, notamment pour l’établissement de vos actes d’état civil et la délivrance des passeports. Je m’engage à agir pour améliorer les services en ligne et de proximité.

6. Assurer l’accès à la protection sociale

Face aux aléas de la vie, au problème de la dépendance, la solidarité nationale doit venir compléter les dispositifs d’assurance lorsqu’ils sont défaillants. C’est pourquoi je m’engage dans la droite ligne de l’action que j’ai toujours menée, à alléger les contraintes administratives des Français vivant en Amérique du Nord et améliorer la condition des retraités qui ont choisi d’y vivre.
Je souhaite notamment obtenir l’accès à la Carte Vitale pour les non-résidents ayant été assujettis à un régime de sécurité sociale en France, ou par la CFE, pour des séjours ou en cas de retour en retraite.
Et afin de mieux aider les personnes âgées particulièrement isolées, je compte constituer et soutenir des réseaux offrant aux personnes âgées françaises des places au sein de maisons de retraites privées locales, et leur offrir des réseaux bénévoles d’aide aux démarches administratives.

J’ai fait de la formule de Raymond Barre dans les années 80, un précepte de mon action publique: « Il faut que la France cesse de dépenser plus, de travailler moins, et d’emprunter la différence ». Voilà les principes que je défendrai à l’Assemblée nationale en votre nom, si vous m’honorez de votre confiance, avec crédibilité et autorité, face au gouvernement et à la majorité actuelle.

En faisant gagner nos idées, maintenant.