En Ouganda, la difficile réintégration des enfants soldats

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Je n’appelle pas ces gens là des rebelles : mais des fous furieux !

Et ce Kony se proclame pasteur et veut instaurer un Etat chrétien. Je me demande quelenseignement biblique il instrusait ses serviteurs, si tenter que l’on trouve un passage de la bible où il est dit qu’il faut tuer son prochain.... Révoltant ! ! !

La question est de savoir qui fournit leurs armes a la LRA et pour quelles raisons.

Il semble que l’etat Soudanais soit le principal fournisseur.

Mais egalement que la France ait eu quelques implications moins directes dans les soutiens dont a beneficie la LRA au cours des annees 90 quand Paris voulait a tout prix contrer l’influence Americano-Britanique (en tout cas fantasmee comme telle) au Rwanda et qui s’appuie, entre autres, sur l’Ouganda. Il y aurait eu des gens pour percevoir un axe FPR (kagame)/Ouganda/USA contre un autre axe Rwanda (alors dirige par le Hutu Power d’Habyarimana)/Congo (Mobutu)/Paris pret a s’allier avec tout ce qui trainait d’anti US, comme le Soudan et indirectement ses allies locaux (dont la LRA).

Ceci n’est pas une information de premiere main. Cela s’appuie sur un passage du bouquin « La Francafrique » de FX Verschave.

A recouper donc.

Tout ce qui les intéresse, c’est porter un costume j’ai dit !

Le mouvement de Kony est l’héritier de celui de Alice Lakwena qui est morte récemment après être partie en exil au Kenya.

Pendant longtemps Khartoum a utilisé la LRA comme proxy pour contrer le SPLA ; des pourparlers avaient eu lieu à Juba en 2007 mais ils n’ont mené à rien et les exactions ont repris.

Kony espérait pouvoir négocier un cessez le feu en échange d’un abandon des charges de la Cour pénale internationale (CPI) et un exil au Kenya comme Alice Lakwena, devant l’impossibilité de la chose, il a préféré reprendre les armes et le maquis. Un débat avait alors eu lieu pour savoir ce qui était le mieux : un déni de justice mais une paix immédiate, ou une justice mais les tueries qui continuent...

Pour les soutiens, il faut aussi regarder du côté des marchands ougandais, congolais et autres qui traversent ces frontières (Congo, Centre Afrique, sud soudan) régulièrement. On ne parle que de quelques milliers de personnes, mais leur capacité de nuisance est énorme ; des zones entières sont terrains morts la nuit, les habitants délaissant leurs villages pour dormir dans des camps retranchés...

pour ceux là c’est un peu foutu , une petite pension de victime de guerre , beaucoup de temps et de la gentillesse

Ça me fait penser au film Johnny Mad Dog qui est assez cru vu qu’il dépeint bien les atrocités qu’on leur force à commettre.
Néanmoins vu qu’il est assez facile de se procurer des armes surtout dans un pays disposant de ressources minières intéressant des grandes puissances (le coup d’Etat au Niger,pays ayant un sol très riche en uranium,dont personne ne parle,contrairement à la Côte d’Ivoire ).
Mais la religion n’est pas à blâmer,ni les africains car n’en déplaise aux théologiens de la suprématie intellectuelle de la race blanche,on a quand même eu parmi « nos » rangs Hitler qui voulait se faire le chef des aryens alors qu’il était petit et brun tout en massacrant ce qui le dérangeait.En plus il était contre les religions.
La seule coupable c’est la nature humaine est la cupidité sans limite qui la caractérise.

ça donne une vision très sombre de l’ouganda, qui est l’un des pays les plus agréable d’afrique, les moins dangereux pour le touriste, et qui vient de connaitre des élections générales pas tant contestées que cela

les enfants que l’on voit dans les rues de kampala sont de l’est, de la région de karamojo, la région la plus déshéritée d’ouganda

l’ouganda, la perle de l’afrique, allez-y faire un tour vous reviendrez sous le charme

pour prolonger mon cri d’amour à l’ouganda ajoutons que l’ouganda recueille toute la misère des pays voisins, dont on trouve des quartiers entiers de réfugiés, ethiopiens, kenyans, somaliens, rwandais, congolais et soudanais, croisement des exils qui ne se passe pas si mal due à la grande hospitalité bienveillante des bagandas,

le nord de l’ouganda connait maintenant la paix et la lra après avoir été semble t-il virée du nord kivu doit trainer maintenant entre centrafrique et sud-soudan

je vous conseille de lire « Allah n’est pas obligé “ de Ahmadou Kourouma
Un livre formidable.

Et bien content de vivre en France,ouf,on la échappée belle ! ! ! !

À Arnaud Bebien :
Rien à dire sur l’article (sinon que ces faits sont relativement bien connus depuis longtemps).
En revanche, attention à la grammaire. La phrase « La plupart ne se confie pas, ne parle pas » n’est pas correcte. « La plupart de » est une locution comme « beaucoup de ». L’accord se fait avec le nom qui suit quand il y en a un, et au pluriel quand il n’y en a pas. La phrase correcte est « La plupart ne se confient pas, ne parlent pas ».
C’est une faute de plus en plus fréquente chez les journalistes, notamment au journal télévisé où l’on entend couramment « Une centaine de rebelles a été capturée ». Ce n’est pas la centaine qui a été capturée, mais les rebelles. « Une centaine de » est un déterminant. Il faut donc dire « Une centaine de rebelles ont été capturés ».

Combattre ce fléau serait un beau combat et un beau programme pour nos politiciens et notre gouvernement. Sarkozy pourrait nous annoncer qu’il a un an pour éradiquer ce groupe et soutenir l’Ouganda dans une politique de développement. Le terme de « France pays des droits de l’homme » prendrait alors tout son sens.