Distinction
Le député socialiste Manuel Valls fait Commandeur du Ouissam alaouite
Ce responsable en vue du Parti socialiste (PS-opposition) et candidat aux primaires pour l'élection présidentielle de 2012, s'est dit «touché et ému par le geste de S.M. le Roi Mohammed VI et très sensible à l'immense honneur que lui fait un pays ami».
Ce catalan d'origine, très attentif à une relation harmonieuse entre les deux rives de la Méditerranée et à la consécration des valeurs de liberté et de démocratie à l'heure du «printemps arabe», a assuré que le Maroc jouait, dans ce contexte, un «rôle tout à fait essentiel».
A ce titre, il a salué «le dynamisme, la croissance économique et l'évolution politique, culturelle et sociétale que S.M. le Roi est en train d'impulser».
«Ce qui se passe en ce moment au Maroc et ce qui se passera après la révision constitutionnelle est un élément très important, en termes d'exemplarité, pour les autres pays» de la région, a estimé Manuel Valls devant une assistance formée de ses camarades, d'élus, d'intellectuels et d'acteurs associatifs de la ville d'Evry, dont notamment le philosophe Marek Halter, le recteur de la grande mosquée d'Evry, le marocain Khalil Merroun et le rabbin de la ville.
Il a redit «l'immense honneur» qu'il ressent face à ce geste de la part d'un «Maroc ancré dans l'histoire et des Marocains qui ont marqué la terre d'où je viens», en référence à sa Catalogne natale et à l'Espagne, mais surtout au modèle de la Cordoue du temps de l'Andalousie en termes de tolérance et de convivialité entre les religions et les cultures qu'il veut promouvoir dans la ville d'Evry.
En faisant l'éloge du récipiendaire, El Mostafa Sahel a rendu justement hommage à l'action de M. Valls et son «engagement connu de tous pour la promotion d'un nouveau +vivre ensemble+ porteur de beaucoup d'espoirs», dans cette ville baptisée «capitale spirituelle» du département de l'Essonne.
Le jeune maire d'Evry est connu pour son combat, «dans une conception ouverte de la laïcité», pour «la cohabitation entre confessions différentes et pour prévenir les risques du communautarisme» dans cette ville où se côtoient la dernière cathédrale bâtie en France, où officie un évêque né à Rabat, une synagogue dont le rabbin est d'origine marocaine, une pagode bouddhiste et la Grande Mosquée dirigée par le marocain Khalil Merroun.
Le Maroc est sensible à cette démarche car il est à son tour «une terre de tolérance, où se côtoient pacifiquement juifs, chrétiens et musulmans, mais aussi une terre où se mélangent harmonieusement plusieurs cultures», a relevé l'ambassadeur avant d'évoquer la grande réforme des institutions lancée par le discours royal du 9 mars en vue de consacrer la démocratie et l'Etat de droit.
Et de souligner que la «consécration de la pluralité de l'identité marocaine occupe une place de choix» dans la révision constitutionnelle.
L'ambassadeur a salué par ailleurs l'esprit d'ouverture et de tolérance de M. Valls et rendu hommage à son action pour «une intégration harmonieuse des populations immigrés» dont notamment la communauté marocaine.
Durant son parcours politique, Manuel Valls a été notamment le très proche collaborateur de plusieurs hommes d'Etat français, notamment les anciens Premiers ministres, Michel Rocard et Lionel Jospin.
Ce catalan d'origine, très attentif à une relation harmonieuse entre les deux rives de la Méditerranée et à la consécration des valeurs de liberté et de démocratie à l'heure du «printemps arabe», a assuré que le Maroc jouait, dans ce contexte, un «rôle tout à fait essentiel».
A ce titre, il a salué «le dynamisme, la croissance économique et l'évolution politique, culturelle et sociétale que S.M. le Roi est en train d'impulser».
«Ce qui se passe en ce moment au Maroc et ce qui se passera après la révision constitutionnelle est un élément très important, en termes d'exemplarité, pour les autres pays» de la région, a estimé Manuel Valls devant une assistance formée de ses camarades, d'élus, d'intellectuels et d'acteurs associatifs de la ville d'Evry, dont notamment le philosophe Marek Halter, le recteur de la grande mosquée d'Evry, le marocain Khalil Merroun et le rabbin de la ville.
Il a redit «l'immense honneur» qu'il ressent face à ce geste de la part d'un «Maroc ancré dans l'histoire et des Marocains qui ont marqué la terre d'où je viens», en référence à sa Catalogne natale et à l'Espagne, mais surtout au modèle de la Cordoue du temps de l'Andalousie en termes de tolérance et de convivialité entre les religions et les cultures qu'il veut promouvoir dans la ville d'Evry.
En faisant l'éloge du récipiendaire, El Mostafa Sahel a rendu justement hommage à l'action de M. Valls et son «engagement connu de tous pour la promotion d'un nouveau +vivre ensemble+ porteur de beaucoup d'espoirs», dans cette ville baptisée «capitale spirituelle» du département de l'Essonne.
Le jeune maire d'Evry est connu pour son combat, «dans une conception ouverte de la laïcité», pour «la cohabitation entre confessions différentes et pour prévenir les risques du communautarisme» dans cette ville où se côtoient la dernière cathédrale bâtie en France, où officie un évêque né à Rabat, une synagogue dont le rabbin est d'origine marocaine, une pagode bouddhiste et la Grande Mosquée dirigée par le marocain Khalil Merroun.
Le Maroc est sensible à cette démarche car il est à son tour «une terre de tolérance, où se côtoient pacifiquement juifs, chrétiens et musulmans, mais aussi une terre où se mélangent harmonieusement plusieurs cultures», a relevé l'ambassadeur avant d'évoquer la grande réforme des institutions lancée par le discours royal du 9 mars en vue de consacrer la démocratie et l'Etat de droit.
Et de souligner que la «consécration de la pluralité de l'identité marocaine occupe une place de choix» dans la révision constitutionnelle.
L'ambassadeur a salué par ailleurs l'esprit d'ouverture et de tolérance de M. Valls et rendu hommage à son action pour «une intégration harmonieuse des populations immigrés» dont notamment la communauté marocaine.
Durant son parcours politique, Manuel Valls a été notamment le très proche collaborateur de plusieurs hommes d'Etat français, notamment les anciens Premiers ministres, Michel Rocard et Lionel Jospin.
Lire également...
Recherche rapide
Dernière minute
L'essentiel de l'actualité
-
S.M. le Roi, Amir Al Mouminine, accomplit le rituel de la Omra
22.07.2014 314 lectures
-
S.M. le Roi rend une visite de courtoisie au Serviteur des Lieux saints
21.07.2014 1 068 lectures
-
S.M. le Roi s'entretient au téléphone avec le Président Mahmoud Abbas de la situation tragique à Gaza
Le Souverain insiste sur la nécessité de resserrer les rangs arabes pour soutenir le peuple palestinien
21.07.2014 996 lectures
-
Résultats semestriels
Les revenus de Maroc Telecom frémissent au premier semestre 2014
21.07.2014 388 lectures
-
Clôture après demain de la session parlementaire du printemps
La majorité et l’opposition divisées sur le bilan législatif
21.07.2014 349 lectures
-
«Massar»
Les notes des contrôles continus dévoilées
13.02.2014 315 825 lectures
-
«L’Année du Maroc au Canada»
Une tribune privilégiée
30.03.2014 97 769 lectures
-
Diplomatie du Maroc
S.M. le Roi a fait de l’Afrique une priorité
15.04.2014 93 459 lectures
-
Maroc-Russie
2e session de la commission mixte
07.04.2014 86 080 lectures
-
Michael Schumacher
L'hôpital de Grenoble dément la mort du sportif
08.02.2014 74 926 lectures
-
Sécurité urbaine
La Préfecture de police de Casablanca reçoit 40 MDH d'équipements
09.07.2014 2 commentaires
-
«Massar»
Les notes des contrôles continus dévoilées
13.02.2014 2 commentaires
-
Art et culture
L'«Eté des Oudayas» souffle sa 4e bougie
22.07.2014 0 commentaires
-
Forum de Brazzaville sur la RCA
La présidente Catherine Samba prône une solution durable
22.07.2014 0 commentaires
-
Patrimoine populaire
Settat accueille le 4e Festival de l'art de la Halka
22.07.2014 0 commentaires
Sondage
Suppléments du MATIN
Editions spéciales
SPÉCIAL ENSEIGNEMENT
Poursuivre, renouveler et capitaliser sur les chantiers en cours
La réforme de l’éducation et de la formation place l’apprenant, en général, et l’enfant en particulier, au...