Fonctionnaire civile au ministère de la défense, j'ai refusé de participer à des détournements et j'ai géré avec rigueur un bureau de marchés. Pour tout remerciement, le ministère m'a mise d'office 26 mois en arrêt de maladie pour raisons psychiatriques et m'a licenciée à 56 ans sans droit à indemnités de chômage ni retraite. Je suis chef de famille.
J'ai établi un recours devant les tribunaux administratifs et j'ai aussi porté plainte pour faux, usage de faux, discrimination et harcèlement. En effet, le médecin du travail ayant demandé ma mise d'office en arrêt de maladie pour raisons psychiatriques ne m'a ni convoquée ni vue. Son rapport et ses certificats ne m'ont pas été transmis en dépit de demandes. Le comité médical a établi des arrêts médicaux rétroactifs de 4 et de 8 mois. Mon dossier administratif et l'expertise du propre psychiatre du ministère témoignent de mon importante dévotion pour le travail. Mon licenciement repose sur des mesures discriminatoires et un faux dossier d'un directeur du personnel s'arrogeant le droit de statuer sur des questions médicales en lieu et place de médecins. Sa propre correspondance atteste des problèmes médicaux soulevés. Je n'ai pas été licenciée pour faute. Aucun des représentants du personnel n'a participé à cette mesure.
Toutefois, je n’ai pu faire valoir mes droits devant les tribunaux en raison des écrits et interventions de l’équipe au pouvoir.
J’ai crée un site internet http://florence.jarrier.net/ qui donne plus d’informations et un comité de soutien.