La mise au jour, à un mois des élections municipales, d’un complot fomenté au sein de l’armée belge par un groupe de néonazis flamands a stupéfait de nombreux Belges et provoqué l’ire de l’extrême droite flamande, qui crie à la manipulation préélectorale. L’ensemble de la presse belge, néerlandophone et francophone, faisait sa une sur l’événement et, comme le quotidien bruxellois Le Soir, dénonçait ces « militaires néonazis qui voulaient déstabiliser le pays ». Jeudi à la mi-journée, plus de 150 policiers ont perquisitionné cinq casernes et 18 habitations privées du nord du pays, et procédé à l’interpellation de 17 membres d’un groupuscule néonazi qui préparait des « actions terroristes » pour déstabiliser les institutions du royaume. Même si rien ne démontre qu’un « attentat spécifique » était en préparation, les enquêteurs sont persuadés que le leader du groupuscule « avait l’intention de mettre ses idées terroristes en pratique ».
La mise au jour, à un mois des élections municipales, d’un complot fomenté au sein de l’armée belge par un groupe de néonazis flamands a stupéfait de nombreux Belges et provoqué l’ire de l’extrême droite flamande, qui crie à la manipulation préélectorale. L’ensemble de la presse belge, néerlandophone et francophone, faisait sa une sur l’événement et, comme le quotidien...
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