La Russie a lancé une guerre d'envergure contre l'Ukraine. Si Moscou surclasse Kiev militairement, l'armée ukrainienne a renforcé ses capacités ces dernières années.
Ce jeudi 24 février, la Russie a lancé une attaque d'envergure contre toute l'Ukraine. Depuis huit ans, la guerre sépare déjà les habitants du Donbass du reste de la société ukrainienne. Ils témoignent.
Dès début décembre, Joe Biden a prévenu qu'il n'enverrait pas de troupes en Ukraine et privilégierait des sanctions économiques. Au risque d'être accusé de lâcher Kiev.
Ces derniers mois, la France et l'Ukraine ont signé d'importants contrats commerciaux. La crise avec la Russie pourrait changer les plans des entreprises sur place.
Les résidents de Milové, en Ukraine, se souviennent du temps où leur ville-frontière symbolisait l'union entre deux peuples frères. Mais plus rien ne sera jamais comme avant...
Le PDG de la compagnie nationale Naftogaz, Yuriy Vitrenko, parle de la guerre du gaz avec Moscou, du pipeline controversé Nord Stream 2 et des perspectives de guerre...
Pour brouiller les cartes, le président russe va laisser toutes les options ouvertes jusqu'au dernier moment. Et décidera seul s'il veut la guerre ou la paix.
Les premières sanctions des Occidentaux contre la Russie ont été dévoilées ce mardi. Elles touchent les secteurs économiques et financiers du pays, sans pour autant être transcendantes.
Si la tension ne cesse de croître depuis le mois de novembre à la frontière entre la Russie et l'Ukraine, Vladimir Poutine a franchi une ligne lundi soir. Retour sur l'escalade des tensions depuis novembre dans la région.
Le Kremlin envoie ses soldats dans les provinces séparatistes de l'Est ukrainien, mais l'Europe et les États-Unis ne parlent pas d'invasion et répondent par des sanctions "ciblées". Insuffisant.
A deux mois du premier tour de la présidentielle, les différents candidats principaux à l'élection ont unanimement condamné l'envoi de troupes russes dans le Donbass.
Avant d'ordonner l'envoi de troupes dans le Donetsk et le Lougansk, Vladimir Poutine a annoncé reconnaître l'indépendance de ces régions séparatistes pro-russes. Une manoeuvre déjà testée avec la Géorgie en 2008.
Les Etats-Unis ont annoncé qu'ils allaient imposer de nouvelles sanctions contre la Russie ce mardi, après une première réponse prudente. Un mot d'ordre : frapper fort.
Vladimir Poutine, qui vient de reconnaître l'indépendance des régions ukrainiennes séparatistes, dispose de forces modernes et puissantes, explique Katarzyna Zysk, spécialiste de la défense russe.
Une entreprise américaine a dévoilé dimanche de nouvelles images satellites montrant un déplacement de troupes et de matériel près de trois localités du sud-ouest de la Russie.
Dimanche soir, un consortium de médias a publié les résultats d'une enquête sur la banque suisse, révélant que Crédit Suisse a hébergé des dizaines de milliards d'euros de fonds d'origine criminelle ou illicite.
Madrid accroît les livraisons de GNL en provenance d'Algérie, l'OTAN discute avec d'autres fournisseurs. Objectif : se passer du gaz russe si la guerre éclate.
Après une série d'entretiens dimanche, les présidents russe et américain ont accepté de se rencontrer à la condition qu'une invasion de l'Ukraine n'ait pas eu lieu d'ici là.
Ce samedi, la France et l'Allemagne appellent leurs ressortissants à quitter le pays alors que les incidents se multiplient à la frontière ukrainienne.
Peu convaincant sur le plan diplomatique, Bruxelles entend en revanche défendre ses intérêts économiques. Ses nouvelles "armes" doivent maintenant être validées par les Vingt-Sept.
Alors que la crise atteint un nouveau paroxysme, l'ex-comédien devenu chef d'Etat doit tempérer l'alarmisme de Washington et gérer des luttes politiques internes.
Moscou assure avoir commencé à retirer ses troupes massées aux abords de l'Ukraine. Les Occidentaux, eux, certifient que leur nombre augmente et craignent une invasion.
Une grande bataille de communication se joue autour de la crise en Ukraine. Les États-Unis amplifient les menaces d'invasion russe pour l'éviter, tandis que la Russie feint l'innocence et moque l'Occident.
En restant ferme sur son projet d'obligation vaccinale, Olaf Scholz prend le risque d'attiser la révolte d'antivax unis dans leur haine de la démocratie et des élites.
Souveraineté technologique, enjeux stratégiques et militaires... Pour Hervé Derrey, PDG De Thales Alenia Space, l'espace doit être au coeur de la politique européenne.
Si Moscou donne aujourd'hui des signes d'apaisement dans la crise russo-ukrainienne, le risque de conflit n'a pas disparu pour autant. Dans les chancelleries occidentales, un maître-mot : prudence.
Malgré l'alerte générale, Paris maintient le fil diplomatique avec Moscou et espère une désescalade. Mais la France se fait peu d'illusions sur la suite des événements.
Plusieurs pays européens ont annoncé l'allégement imminent de nombreuses mesures prises pour lutter contre la pandémie de Covid-19. La France en fait partie.
Critiquée pour avoir adopté un ton parfois conciliant avec la Russie, dont les soldats sont aux portes de l'Ukraine, l'Allemagne a durci son discours vis-à-vis du Kremlin.
Le président russe, qui effectue actuellement des manoeuvres conjointes chez son voisin, a complètement intégré l'ex-république soviétique dans son dispositif militaire.
Face au pouvoir solitaire du Kremlin, les Européens se démènent pour éviter la guerre à leur porte. Pour l'heure, le tourbillon diplomatique se révèle étonnamment coordonné.
Critiquée de toutes parts ces dernières années, l'Alliance atlantique se trouve revigorée par les inquiétudes que suscite Moscou pour la sécurité européenne.
Le président français s'est rendu en Russie et en Ukraine pour trouver une sortie de crise entre les deux pays. Sans résultat immédiat, le temps de la diplomatie paraît compté.
L'épiscopat étant muré dans le silence, le chef du gouvernement, Pedro Sanchez, a confié au Défenseur des droits le soin de recenser les victimes du clergé et de faire des propositions pour stopper le fléau.
A l'heure où la diplomatie s'active, les 400 000 anciens combattants ukrainiens de la guerre du Donbass se disent pour beaucoup sur le pied de guerre. Rencontre avec l'un d'entre eux.
En accusant Kiev de provoquer les Russes, l'ancien chancelier brouille la politique étrangère - déjà très ambivalente - du gouvernement allemand. Car Berlin, qui refuse de livrer des armes à l'Ukraine, peine à abandonner sa traditionnelle "Ostpolitik" des années 70.
Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors, examine le rôle joué par l'Union européenne et la France dans la crise ukrainienne, alors que le président français se rend en ce début de semaine à Moscou et Kiev.
Le président français, qui est à Moscou ce lundi, puis à Kiev mardi, multiplie les initiatives diplomatiques dans la crise russo-ukrainienne, alors que l'Allemagne apparaît effacée.
Olaf Scholz effectue ce lundi son premier déplacement de chancelier aux États-Unis, où il va rencontrer Joe Biden. L'occasion de recoller les morceaux.
Les Etats-Unis affirment que Moscou se prépare à une invasion d'ampleur en Ukraine, chiffres à l'appui. Tandis que Kiev tente de temporiser la menace, Moscou dément toute velléité d'agression.
Face au risque d'invasion de l'Ukraine par la Russie, les Occidentaux brandissent la perspective de sanctions notamment économiques. Efficace ? L'histoire apporte à cette question une réponse pour le moins nuancée.
Allié militaire de l'Ukraine et partenaire économique privilégié de la Russie, Recep Tayip Edrogan tente de jouer le médiateur. A Kiev ce jeudi, il rencontre son homolgue Volodymyr Zelensky.
L'Express reproduit le texte publié l'été dernier par le président russe au sujet de l'Ukraine. Il y justifie son désir d'annexion par un raisonnement historique très personnel...
Contre-exemple absolu de la France, le petit royaume scandinave a depuis longtemps mis en oeuvre une politique du troisième âge humaine, efficace et rationnelle.
Voilà plus d'un demi-siècle, le célèbre dissident et auteur de "L'Archipel du Goulag" écrivait de manière visionnaire sur la déchirure à venir entre Russes et Ukrainiens.
Comme la France qui a levé, ce mercredi, le port du masque en extérieur ou assoupli le télétravail en entreprise, de nombreux voisins européens ont fait de même durant les sept derniers jours.
Son succès aux élections législatives, ce dimanche, n'est pas vraiment une surprise. Et les points communs avec le candidat d'extrême droite français... nombreux.
Les conclusions de l'enquête menée par Sue Gray pointent du doigt les dysfonctionnements au sein de l'exécutif britannique étrillé par une série de scandales.
La zone euro a enregistré une croissance historique de 5,2% en 2021. Pourtant, l'Europe n'atteint pas les progressions enregistrées par la Chine ou les Etats-Unis.
Afin d'assurer une stabilité politique, les parlementaires italiens ont réélu le président sortant, Sergio Mattarella. Mario Draghi reste à la tête du gouvernement.
La Commission européenne a refusé de dévoiler des échanges par SMS entre sa présidente Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, qui ont eu lieu à l'époque des négociations du contrat pour l'achat de doses de vaccin.
Le spectre d'une attaque russe en Ukraine ravive de douloureux souvenirs en Lettonie, Lituanie et Estonie. Ces trois membres de l'UE pressent leurs alliés de se mobiliser.
Les présidents français et russe sont convenus de la "nécessité d'une désescalade" et d'une "poursuite du dialogue" dans la crise ukrainienne, a annoncé l'Elysée.
La police britannique a provoqué l'indignation en demandant que soit expurgé d'éléments clés un très attendu rapport administratif sur le scandale des fêtes à Downing Street, qui menace le Premier ministre.
La croissance du PIB s'est élevée à 7% en France en 2021, un bond record après une année 2020 morose. L'Espagne rebondit aussi à 5%, tout comme l'Allemagne mais plus fébrilement à 2,8%.
Les deux dirigeants s'entretiennent au téléphone ce vendredi pour parler Ukraine. L'histoire du quinquennat Macron démontre hélas que ce dernier n'a pas l'oreille de son homologue.
Emmanuel Macron, qui échange avec Vladimir Poutine ce vendredi, tente d'imposer la diplomatie tricolore au coeur de la crise en Ukraine. L'Élysée se montre prudemment optimiste.
Dans la capitale ukrainienne, la tension s'accroît chaque jour un peu, à mesure que l'hypothèse d'une offensive russe paraît de moins en moins fantaisiste.
L'attitude de Vladimir Poutine, qui ne choisit pas entre guerre et diplomatie, n'est pas cohérente, estime le fondateur de Geopolitical Futures George Friedman.
Les pourparlers Etats-Unis-Russie sur l'Ukraine ont démarré à Genève. Avant même le coup d'envoi, le Kremlin a marqué le premier point, estime le fondateur de Geopolitical Futures.
Pour exister, aux côtés de la Chine et des Etats-Unis, dans le monde qui se dessine, l'UE doit faire preuve de lucidité. Et renoncer à toute nostalgie, souligne le spécialiste des questions européennes.
Malgré les négociations en cours entre le Kremlin et la Maison-Blanche, jamais le déclenchement d'une guerre entre la Russie et l'Ukraine n'a semblé aussi proche.
Avec la présidence de l'UE, Emmanuel Macron doit rassembler les Vingt-Sept et faire de "l'Europe puissance" une réalité. Indispensable pour tenir tête à Vladimir Poutine.
Fin du couvre-feu en Catalogne, durée d'isolement des malades réduite à une semaine à Madrid... Les Espagnols sont déjà dans "le monde d'après". Trop optimistes ?
Depuis plus de deux mois, les Occidentaux - Etats-Unis en tête - et Moscou s'affrontent sur le dossier ukrainien. Avec l'impression d'un retour en arrière vers les tensions entre blocs qui ont caractérisé la guerre froide.
La crise en Ukraine inquiète Stockholm. En cas de conflit Europe-Russie, le contrôle de l'île suédoise de Gotland représenterait un enjeu géostratégique majeur pour le Kremlin.
L'armée ukrainienne s'est drastiquement étoffée depuis une dizaine d'années mais reste bien en deçà de la Russie, considérée comme la deuxième force mondiale.
L'ancien bras droit de Boris Johnson distille son venin avec un sens aigu de la dramaturgie. Son but : faire chuter son ancien boss. En sortira-t-il gagnant ?
Le chef de la diplomatie américaine doit s'entretenir avec son homologue russe ce vendredi. Mais en parallèle, Moscou ne cesse de faire monter la pression.
Candidat très probable à l'élection présidentielle, Emmanuel Macron a proposé la création de ce dispositif pour les moins de 25 ans. L'avis de Sylvie Bermann, membre du think tank de L'Express.
Diplomate de haut vol, l'ancien ambassadeur français Gérard Araud livre son éclairage sur les pourparlers Etats-Unis-Russie sur l'Ukraine qui commencent ce lundi à Genève.
Le président français a défendu son agenda européen des six prochains mois à Strasbourg. Si ses intentions sont saluées, les eurodéputés se montrent sceptiques devant l'ampleur du programme français.