« Va-t-on arrêter de pourrir la vie des Nantais ? », fulmine la sénatrice LR Laurence Garnier

Des usagers inquiets : « C’est déjà l’enfer au quotidien »

 Ça va créer un beau bazar , lance Jocelyne, sur notre compte Facebook. Une réaction largement partagée après l’annonce de la fermeture du pont Anne-de-Bretagne à partir d’avril 2024 pendant un an environ. La raison ? La transformation de l’ouvrage en  morceau de ville  : il accueillera les futures lignes 6 et 7 du tramway, mais abritera aussi une place, un belvédère en bois et près de 1 300 m² d’espaces verts. Seuls les piétons et les vélos pourront encore y passer pendant le chantier.

Pour Marité :  Les galères continuent pour les Nantais qui travaillent. Peu à peu, cette ville qui ne fait plus rêver. Et Rennes va en profiter pour augmenter son attractivité. 

Trop c’est trop pour JL :  Toutes les entreprises qui viennent de s’installer sur la pointe de l’île sont ravies. Stationnement payant plus pont fermé, la joie. 

Pour un autre internaute :  C’est déjà l’enfer au quotidien , et Jayce d’ajouter :  Le chaos est à prévoir sur le pont Haudaudine et toute la zone… C’est juste fou.  Antoine s’inquiète :  Donc les nombreuses fois où Cheviré sera coupé, Nantes sera littéralement sous blocus.  Le plan de déviations n’est pas encore dévoilé, mais Jean-Pierre s’interroge :  Où vont passer les 13 000 véhicules par jour qui circulent sur le pont, déjà que dans les quartiers ouest une vague de sens interdit s’invite et que la ville passe les quartiers périphériques payants… 

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