Retour au fascicule

Lettre sur la découverte de la Vénus de Milo, séance du 29 mai 1874

[article]

Vogüé Melchior de. Lettre sur la découverte de la Vénus de Milo, séance du 29 mai 1874. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 18ᵉ année, N. 2, 1874. pp. 152-160.

DOI : https://doi.org/10.3406/crai.1874.68130

www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1874_num_18_2_68130

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/text doc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/image doc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-in doc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-out doc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmark doc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page

N° VI.

LETTRE DE M. DE VOGUÉ SUR LA DECOUVERTE DE LA VENUS DE MII.O.

Péra, 9 mai 187/1.

Monsieur le Président et cher confrère ,

Depuis qu'une polémique nouvelle s'est engagée au sujet de la Vénus de Milo et de l'état dans lequel elle a été découverte, on a eu recours à moi de divers côtés pour savoir si les archives de l'ambassade de France à Constantinople ne renfermeraient pas la solution du problème qui divise les archéologues. La première invitation m'a été faite par M. Rayet, l'habile et heureux explorateur des ruines de Milet; pendant que je me livrais aux recherches qu'il m'avait indiquées, notre confrère M. Ravaisson a eu la même pensée; d'autres appels m'ont été adressés depuis. Pour répondre en une fois aux questions qui m'ont été ainsi posées, je viens réclamer votre obligeant intermédiaire : l'Académie voudra bien, j'espère, accueillir favorablement cette communication et se charger elle-même de produire au débat les renseignements qui lui paraîtront de nature à l'élucider.

La correspondance de l'ambassade avec le consulat général de Smyrne et l'agence consulaire de Milo pendant les années 1820-21-22 renferme un certain nombre de dépêches relatives à la célèbre statue , mais les contestations nées de la découverte et les réclamations qui l'ont suivie y tiennent plus de place que les détails archéologiques. Par une fatalité regrettable, la pièce principale, le premier rapport de M. Brest, me manque : je le fais rechercher à Smyrne, mais sans grand

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw